L'HÉRITIÈRE MILLIADAIRE

Chapitre 10

Alex ne veux pas lâcher l'affaire 💝🥰🥰

1. L'arrivée de Jessie la bimbo

1. La jalousie de Soraya

__ Alex... Je suis... Ta foutu patronne... Ne l'oublie pas... tenté-je d'articuler pendant qu'il étouffe mes dires en enfonçant sa langue toute fraîche dans ma bouche...

Après plusieurs secondes à lui résister comme toujours, je me laisse emporter par ce baiser doux et tendres.

Alex me retourne brusquement et se place derrière moi avant de me chuchoter.

__ J'adore tes lèvres Soraya, elles sont divines et me donne envie de les posséder comme un malade. Je pourrais passer toute la journée à les sucer avec délice, soufle t-il de nouveau au creux de mon oreille.

Ses mains baladeuses me maintiennent fermement par la taille.

J'ai envie de lui crier dessus afin qu'il s'éloigne de moi, mais ce que je ressens pour lui est plus fort que moi. Plus fort au point où j'aimerais qu'il reste coller à moi ainsi pour l'éternité... Envie qu'il fasse de moi ce qu'il veut.

__ Je dois y aller maintenant... Je veux dire... Tout le monde nous attend, balbutie-je 

__ D'accord princesse !

**** Alex Matondo***

La journée a été longue. Soraya et moi, sommes obligé de jouer un couple parfait devant sa famille exigeante.

On a survécu à un dîner rempli de questions pertinentes et de regards meurtriers de son grand frère Marcus ainsi que sa femme Djamila. Nous montons les escaliers menant certainement à notre suite, où nous sommes censé passé nos nuits durant les séjours.

En arrivant, Soraya pousse la porte et entre dans la chambre la première. C’est une chambre spacieuse, décorée avec luxe, mais son regard se fixe immédiatement sur le lit. Un seul lit, king-size, trône au centre de la pièce. Elle inspire profondément, essayant de contenir sa colère, ma petite dame de fer.  

— C’est une blague ou quoi bordel ?  dit-elle d’un ton sec, les bras croisés.  

J'entre à mon tour, jette un regard au lit et éclate de rire.  

—  Woow, ça, c’est magnifique. Parfait pour un couple amoureux  pas vrai bébé ?   

Soraya se tourne vers moi, furieuse.  

—  Ne commence pas, Alex. 

—  Je ne fais que constater. Allez, détends-toi, bébé. Ce n’est pas la fin du monde. 

On dormira à deux sur ce lit.

Elle pince l’arête de son nez, visiblement à bout de patience.  

—  Écoute-moi très bien, Alex. Ce n’est pas parce que je t’ai payé pour jouer ce rôle que tu peux commencer à croire que tu vas partager mon lit. Tu dormira par terre. 

J'éclate de rire, un rire franc et moqueur qui résonne dans la pièce.  

—  Par terre ? Sérieusement ? Soraya, je suis peut-être ton employé, mais je ne suis pas un chien, alors ne me tente pas car tu sais très à quel point je peux désagréable lorsqu'on me tape sur les nerfs, dis-je d'une voix imposante.

—  Et tu n’es certainement pas mon petit ami non plus, alors ne te berce  pas d’illusions.

Je la regarde, un sourire en coin, et m'approche lentement, réduisant la distance entre nous.  

—  Détends-toi, princesse. J'ai vu des femmes riches et plus belles que toi qui m'ont draguer et j'ai eu le malin plaisir de les baiser une par une. Je suis un homme qui déteste vivre au dépend d'une femme. Sinon ma vie ne serait pas telle qu'elle est aujourd'hui retiens-le dans ta petite tête.

Elle me fixe, ses yeux me lancent des éclairs, mais au fond elle sait que j'ai  raison. Insister pour que je dorme par terre serait suspect si quelqu’un de sa famille venait à passer. Elle prend une grande inspiration, essayant de calmer la colère qui monte en elle.  

— Très bien. Mais écoute-moi très bien, Alex. Si tu oses franchir cette ligne imaginaire, je te jure que je t'arracherai les couilles ! grogne t-elle 

— Marché conclu, boss ! D'ailleurs tu pourras med arracher autant que tu voudras, mes couilles t'appartienne ...

__ Non mais tu te fous de ma gueule ou quoi bordel ?

Tu es vraiment le Roi des connard tu sais ?

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__ Oui bébé, mais c'est seulement quand je suis avec toi, dis-je d'un ton moqueur 

Elle serre les dents à mon sourire insolent et s’éloigne pour ouvrir sa valise. Elle sort un pyjama en soie noir sexy, tout en essayant d’ignorer ma présence , je me suis déjà affalé sur le lit, les bras derrière la tête.  En train d'admirer son joli derrière.

—  Tu comptes bouger ? Ou tu veux que je me change ici devant toi? demande-t-elle froidement.  

—  Pourquoi pas ? On est censés être un couple, non ? Fais comme si j’étais pas là.  

Elle attrape un oreiller et me le lance au visage. 

—  Sors. Maintenant ! 

Riant doucement, je me lève et sort, levant les mains en signe de reddition.  

—  D’accord, d’accord. Mais dépêche-toi, Soraya. Le lit m’appelle. J'ai vraiment hâte de partager ma première nuit avec la femme qui me fait vibrer.

***Quelques minutes plus tard***  

Lorsque je reviens, Soraya est déjà dans le lit, dos tourné, les couvertures tirées jusqu’à son menton. J' éteints la lumière principale et m'installe de mon côté, m'étirant comme si de rien n’était.  

—  Tu prends beaucoup de place pour quelqu’un qui a insisté sur les ‘limites’, tu sais.  dis-je dans l’obscurité.  

—  Alex, je te jure que si tu continues à parler, je…  

— Oui, oui, tu me feras regretter de t’avoir rencontré. Je connais la chanson.  

En fait ce n'est pas l'envie de te prendre ici même et te faire l'amour qui me manque. Je n'arrive pas à croire que pour la première fois de ma vie, je vais dormir avec une paire de fesses, sans pourtant la toucher. Mais tu n'as rien à craindre car je ne compte pas te forcer à faire quoi que ce soit avec moi ce soir. Ce n'est pas dans mes habitudes de forcer mes femmes. Mais je te promets que quand ce moment arrivera, tu viendras toi-même frapper à ma porte afin que je te fasse gémir de plaisir mille et une fois.

__ Ouais c'est ça ! Continue de rêver et on verra bien !

—  Bonne nuit, princesse.  dis-je avec un sourire qu’elle ne peut pas voir, mais qu’elle devine.  

__  Bonne nuit, Alex le connard! 

__ Ouais Ça c'est ma petite tigresse sauvage !

*** Soraya Ngakosso***

Je viens de passer une agréable nuit ce soir je vous jure. 

Je me réveille en sursaut, encore engourdie par les restes d’un rêve que je n'ai pas oublié .

Ce connard arrogant d'Alex est devenu mon pire cauchemar. J'ai rêvé de lui durant toute la nuit. Alors je n'ai aucune envie de le croiser aujourd'hui.

D'ailleurs je me demande où il est encore passé celui-là ? Sûrement en train de draguer ma garce de sœur Kendall. Mais quoi qu'il en soit, j'en ai rien foutre, il fait ce qu'il veut de sa vie.

Je descends du lit en satin immaculé et enfile  mon peignoir en soie rouge vif. Avec une démarche assurée de celle qui ne laisse jamais rien ni personne la détourner de ses objectifs, j'entre dans sa salle de bain. Les murs sont recouverts de mosaïques dorées, et l’odeur de lavande flotte dans l’air.

J' ouvre la porte de la douche en verre givré, prête à me laisser envelopper par l’eau chaude, mais je me fige instantanément.  

Devant moi, sous le jet brûlant, se trouve Alex, mon employé et, temporairement, mon « petit ami . J'avoue qu'il est un homme aux charmes irrésistible... Euh je veux dire que c'est un vilain macaque qui se prend pour le plus beau du monde.

Alex est complètement nu en ce moment . Ses muscles tendus sous l’eau ruisselante. Il lève les yeux vers moi avec un sourire provocateur, il n'a pas l'air d'être embarrassé d’avoir été surpris par sa patronne .

— Soraya... lançe-t-il d’une voix rauque, presque amusée. 

Quelle agréable surprise de te voir si tôt.  Tu peux me rejoindre si tu veux.

Je reste figée, choquée et indignée. Mes yeux tentent de rester fixés sur son visage, mais ils glissent involontairement sur ses épaules larges, son torse sculpté, et sa queue qui est parfaitement bien debout comme le bâton de Moïse ... Oh mon Dieu je suis perdue.

Je me force à détourner le regard, mon visage en sueur, pendant qu'il m'observe sans être gêné que je le vois nu. Je n'ai jamais vu un homme avec une queue aussi énorme.. Je préfère m'arrêter là sinon je risquerais de perdre la tête. Je me tourne brusquement afin de reprendre mes esprits.

— Alex ! Qu’est-ce que tu fais ici ? grondé-je, le dos tourné croisant les bras pour masquer mon trouble.  

Il éteit l’eau du robinet, ses mouvements sont lents et calculés, comme s’il savourait la situation avec satisfaction. Il s’approche de moi, dégoulinant d’eau, une lueur de prédateurs dans ses yeux sombres.  

—  J’habite ici, tu sembles l'oublié ma petite tigresse sauvage ? répondit-il doucement, son ton empreint d’une arrogance déconcertante. 

 Et puis, je ne pensais pas que tu auras besoin de cette douche de si bon matin.  

Je recule instinctivement, mais ma fierté m' interdit de paraître faible devant cet homme arrogant.

— Sortez immédiatement ! ordonné-je, d'un ton aussi tranchant qu’un couteau. Je n'arrive même pas à poser un seul regard sur lui car je suis encore traumatisé par ce que je viens de voir en ce moment. Mais cet imbécile fait de son mieux pour que je le vois nu encore une fois.

__ Il en est hors de question que je sors de cette douche ! tonne t-il 

Je ferme les yeux en me dirigeant vers la porte de sortie. Mais avant que je ne puisse tourner mes talons, il attrape mon poignet avec une rapidité déconcertante.

 J' ouvre à peine la bouche pour protester, mais il ne me laisse pas le temps. En un geste fluide, il m'attire contre lui, son corps chaud contre mon peignoir glacé, et scelle ses lèvres sur les siennes dans un baiser brûlant et intense.  Oh mon Dieu c'est tellement délicieux ! Cet homme veut ma mort c'est sûr !

Pourquoi est-ce que je n'arrive jamais à le résister bon sang ?

Je reste paralysée, à la fois furieuse et déstabilisée par le cran d'Alex. Son arrogance habituelle semble s’effriter sous la chaleur de ce moment. Une partie de moi veux le repousser, mais une autre – une partie  répond à son baiser avec une passion égale et 'ne veux pas que cela s'arrête.

Quand il  recule enfin, son sourire est  plus insolent que jamais.  

— C’est une façon de dire bonjour ma petite tigresse sauvage, murmura-t-il, son souffle caressant ma peau.

Mais si vous n’avez pas apprécié, dites-le, et je m’arrêterai là.  

Je retrouve enfin mes esprits, mon visage est  toujours rouge de colère et de confusion.  

—   Si tu  recommence encore une fois à m'embrasser comme tu viens de le faire Alex, je te renvoie sans préavis.  

Il éclate d’un rire léger, tout à fait certain que je ne tiendrait pas cette menace.  

— Bien sûr, patronne, répondit-il, l’air de défier chaque mot que je viens de prononcer.

Je suis sûr que tu as apprécié chaque instant où je t'ai embrassé...

__ Alors désolé de te le dire mais je n'ai pas aimé et n'ose plus jamais de toute ta misérable vie insignifiante m'embrasser comme tu viens de le faire.

__ Ah ouais ? Alors pourquoi n'ouvre-tu pas les yeux, dit-il en s'approchant dangereusement de moi pendant que je recul jusqu'à me retrouver coincé contre le mur. Mon souffle se coupe à nouveau alors que je sens le poids de sa poitrine contre le mien.

__ Ne t'approche pas de moi connard! dis-je d'une voix autoritaire et imposante.

__ Tu dis que tu n'as pas aimé ce baiser ? Alors je compte vérifier quelque chose...

__ Qu'est ce que tu comptes faire de moi connard ?

Me violer imbécile ?

__ Tu devrais savoir que je suis un homme que les femmes courent derrière comme des chienne tigresse... Je n'irai pas jusque là.

__ Alors éloigne-toi de moi..

__ Alors Arrête-moi si tu peux...

Il coupa court à mes mots en enfonçant sa langue dans la mienne pour un baiser langoureux. Ses mains baladeuses maintiennent fermement mes fesses pendant que sa langue continue d'explorer ma bouche.

Ses mains virils parcourent mon corps entier. Je n'hésite pas à mouiller ma petite culotte, car je sens son membre frôler légèrement mes parties sensibles. J'ai juste envie qu'il me déshabille tout de suite et me fasses l'amour.

__ Anh... Je... Alex ... 

Il enfonce cette fois-ci ses doigts dans mon string et des doigts plonge délicatement dans ma chatte. Il entame des mouvements incroyables, me faisant lâcher des petits gémissements.

__ Anh... Je... Il prend ma main et la plaça brusquement sur sa grosse queue et je lâche un cri d'un coup.

__ Aaaaaaaaaaaaaaaah !  crié-je tel un enfant qui venait de voir l'anaconda pour la première fois et Alex se met à rire d'un coup pendant que je sors en courant.

Je claque la porte derrière moi, le cœur battant plus vite que je n’aurait voulu l’admettre.

J'attrape mes vêtements et sors en courant allant droit dans la chambre d'amis pour prendre un bain relaxant. À vrai dire j'ai envie d'y retourner, mais je ne veux surtout pas qu'il pense que je suis une femme de son niveau.

    ********

Notre maison de vacances est, perchée sur une falaise avec une vue imprenable sur l’océan, c'est un véritable palais moderne avec un luxe à couper le souffle. Les grandes baies vitrées donnent sur une piscine à débordement et, au-delà, la mer s’étend à perte de vue. Je suis vêtue d'une robe rose fuchsia malgré la chaleur, un verre de jus d’orange à la main.  

__ Salut beauté envoûtante ! Lance mon imbécile de faux petit ami qui vient de débarquer.

Wow! Je dois avouer qu'il est très beau dans ce tee-shirt qui laisse une vue imprenable sur ses muscles bien ciselé tel un Dieu Grec. 

Je n'arrive pas à détacher mes yeux de ses muscles et rien qu'en pensant à l'image de son corps nu de toute à l'heure dans la salle de bain, je me mouille abondamment dans ma petite culotte.

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À chaque fois qu'Alex est à mes côtés, je me sens faible et chaque jour qui passe est une pure torture pour moi car je tombe de plus en plus amoureux de lui.

__ Ça te plaît de les regarder n'est-ce pas ? Ne t'inquiètes pas ils sont tout à toi, tu peux prendre tout ton temps à les admirer tu sais ? Je pourrais même rester tout nu rien pour toi... Enfin je veux dire pour que tu prennes le temps d'admirer ce qui est déjà à toi ma petite tigresse sauvage, rauque t-il en s'approchant dangereusement de moi.

__ N'essaie surtout pas de t'approcher de moi Alex, dis-je d'un ton irrité.

D'ailleurs de quoi parles-tu connard ?

__ Tu n'as pas arrêté de me mater depuis que je suis arrivé. Je sais que tu aimé me voir tout nu tout à l'heure dans la salle de bain...

__ Alors laisse-moi te dire que tu te fous carrément le doigt dans le cul, grogne-je fermement.

Tu n'es pas si attirant et tu ne possède rien de grave que je n'ai jamais vu de toute ma vie. D'ailleurs j'ai vu mieux que toi alors arrête de raconter des salades et va te faire foutre ailleurs connard.

__ Je préfère me taire ! Mais je sais que quand ce moment viendra, tu frappera toi-même à ma porte pour que je te fasse hurler de plaisir. 

__ Ouais c'est ça ! Continue de rêver debout ! 

__ Je vais répondre à un appel très important, j'en ai pas pour longtemps princesse ! Notre conversation est loin d'être terminé, dit-il avant de s'éclipser, me laissant seule. Je me demande bien qui est cette personne qui vient de l'appeler ?

Quelques minutes après, c'est ma meilleure amie qui Jessie débarque comme une tornade, vêtue d’une robe hyper sexy et des talons aiguilles hauts, son sourire large illuminant son visage bronzé. Elle s’approche de moi pour me prendre dans ses bras.

__ Salut bébé ! Wow regarde toi tu es tellement superbe dans cette Robe Soraya...

__ Toi également ma puce !

— Installe-toi. Tu sais que je déteste les surprises, mais je vais faire comme si j’étais ravie de te voir ici sans prévenir, plaisanté-je   

Jessie se tourne, et son souffle semble lui manquer un instant avec l'arrivée d'Alex.  Ses cheveux légèrement décoiffés et son regard sombre lui donnent cette allure de mauvais garçon qui semble attirer tout le monde.  

Jessie reste un instant immobile, ses joues prennent une teinte rosée, avant de lancer un sourire gêné.  

— Wow c'est qui ce beau gosse bébé ? dit-elle en faisant des yeux doux à mon Alex... Je veux dire à Alex mon employé.

Alex, toujours maître dans l’art de jouer les provocateurs, s’avanve tranquillement et tend la main vers Jessica.

— Je suis Alex. Le petit ami de Soraya beauté envoûtante !

Le sourire de Jessie s’élargit légèrement, mais  je sens une tension naître dans mon ventre.  

— Jessie, voici Alex. Alex, Jessie, ma meilleure amie, dis-je en intervenant.

Alex, fidèle à lui-même, ignore la froideur dans ma voix et serre la main de Jessie avec un sourire charmeur.  

— Enchanté Jessie. Je ne savais pas que Soraya avait des amies aussi charmantes et sexy que toi.

Je sens une bouffée de chaleur monter en moi, un mélange de colère et de quelque chose que je refuse de nommer.  

— Alex, pourquoi ne pas aller voir si le barbecue est prêt ? dis-je sèchement, espérant l’éloigner.  

— Bien sûr, tigresse, répondit-il, avant de s’éloigner tranquillement.  

Jessie le suivit des yeux, visiblement captivée par le charme de mon Alex, et je sens une pointe d’agacement.  

— Jessie, arrête de le regarder comme ça bon sang, grogne-je.  

— Comme quoi bébé ? demande Jessie innocemment, bien qu’un sourire malicieux trahit sa fausse ignorance.  

— Comme si tu étais prête à tomber dans ses bras. Ce n’est pas le genre d’homme pour toi. 

Jessie éclate de rire.  

— Pas le genre d’homme pour moi ? Ou pas le genre d’homme pour toi ? Parce qu’à ce que je vois, tu ne sembles pas vraiment le détester comme tu me l'avais dit la dernière fois au téléphone ma belle.

Je croise les bras, prise au piège.

— Je n’ai aucune raison de l’aimer ou de le détester. Alex travaille pour moi, et il sait très bien où est sa place, dis-je avec un ton amère 

Jessie hausse un sourcil, visiblement peu convaincue.  

— Travaille pour toi ? Ok ! Si tu ne veux pas de ce beau spécimen très rare ma belle alors moi je le veux bien. Il est mon genre de mec tu le sais bien Soraya. De toute façon, vous faites juste semblant d'être un couple devant ta famille. J'ai vraiment hâte que cette mascarade prenne fin.

__ Tu plaisante ou quoi bordel ? 

À suivre....