DESTIN CROISÉ
On reconnaît la valeur d'une personne après l'avoir perdu
Chapitre 28
Le mal revient toujours à qui de droit
- Le départ de Chioma
- Les pleurs de Stanley
À présent je dois aller demander pardon à la femme que j'aime. Je n'ai jamais demandé pardon auprès de qui que ce soit car même lorsque j'étais encore fauché, j'étais déjà très arrogant. Je me demande si je vais y arriver.
Je ne me suis jamais plier auprès de qui que ce soit pour demander pardon. Mais je compte faire une exception ce soir pour celle qui me fait perdre la tête à chaque fois que je pose mon regard sur elle. J'aime énormément tout chez cette femme. Elle est pour moi la plus belle femme au monde et aucune autre ne lui arrive à la cheville.
J'aime son charme irrésistible, sa beauté, sa joie de vivre, sa gentillesse envers tout les employés de cette maison, son corps, ses lèvres sucrées et salées... Putain Chioma Chinédou qu'as-tu fait de moi bon sang ?
Je n'arrive plus à penser à autre chose qu'à toi car tu es la seule qui occupe mes pensées tout le temps.
Même sur les plateaux de tournage je n'arrive plus à me concentrer. Je compte t'ouvrir mon cœur ce soir et te prouver que tu as tort si tu penses que je ne t'aime pas.
Tu me rends complètement ivre d'amour pour toi et tu me fais perdre la tête comme un idiot.
J'ai longtemps ignoré ce que je ressens pour elle. Ce soir je veux bien faire les choses comme un vrai homme avec des couilles en place.
Quelques secondes après c'est mon téléphone qui se met à sonner alors que j'essaie de trouver les mots sur comment pour demander pardon à ma future femme. J'ignore l'appel mais la ce fichu téléphone continue de sonner. C'est alors que je me rends compte que c'est un appel important et que je dois absolument aller répondre. Je vais également en profiter pour faire une dernière répétition sur la manière dont je vais aborder le sujet avec Chioma car je suis très nul en discours et en romantisme. Je sais qu'elle est très en colère contre moi en passant à cause de ce qui s'est passé aujourd'hui.
*** Chioma Chinédou***
J'ai vécu tellement de choses depuis mon arrivée dans cette maison au point où j'en ai plus qu'assez. Je crois que je n'ai pas ma place dans cette maison. Je sais que maman Ngozi n'accepterai jamais de me laisser partir alors j'ai décidé de ne pas l'en tenir informé.
__ Mlle Chioma vous allez vraiment me manquer je vous jure ! Alors que vais-je dire à Mme Ngozi si elle se rend compte de votre absence ?
Que je vous ai laissé partir alors que vous êtes enceinte ?
__ Je ne veux pas qu'elle apprenne mon départ tout de suite Valentina, rétorqué-je
__ Et Mr Stanley ?
__ Mr Stanley n'en a rien à faire de moi, commençé-je. De toute façon je comptais déjà partir il y a longtemps mais c'est juste que j'étais un peu hésitante. Maintenant j'ai pris une décision radicale et je ne compte pas revenir en arrière.
__ Mais Mlle Chioma, vous vous êtes disputer c'est ça, c'était une grande dispute ? dit-elle d'un air triste
__ Pas si grande que ça mais je me suis rendu compte qu'il n'en vaut pas la peine de continuer, dis-je en prenant Valentina dans mes bras.
Dit à maman Ngozi que je l'aime énormément. J'aurais dû partir d'ici depuis des lustres. Mais quoi qu'il en soit, il n'est jamais trop tard.
__ Mais je croyais que vous étiez amoureuse de Mr Stan ? me questionne t-elle perplexe
__ Oui je suis toujours très amoureuse de lui et je l'aime énormément Valentina, dis-je d'un air triste.
Mais malheureusement il ne m'aime pas et me traite comme une merde malgré le fait que je suis enceinte de lui. J'ai accepté de porter cet enfant dans mon ventre par amour pour lui. Mais lui il préfère me traiter comme si j'étais une moins que rien juste parce que je suis une villageoise. De toute façon, je ne veux pas être à l'origine de sa séparation avec la femme qu'il aime. Je préfère m'en aller et je reviendrai une fois que le bébé sera né car avec son père il aura tout ce qu'il faut.
Je dois te laisser à présent, j'ai ton numéro et je te contacterai un peu plus tard. Je vais éteindre mon téléphone à partir de cet instant et changer de numéro...
__ Je n'arrive pas à supporter votre départ, j'ai juste envie d'aller là haut et appeler maman Ngozi dit-elle en pleurant.
__ Ne le fait pas s'il te plaît Valentina, répliqué-je fermement.
Ma décision a déjà été prise et même si tu l'appelles et qu'elle m'empêche de partir ce soir, je finirai toujours par m'en aller d'ici.
Ne t'inquiètes pas pour moi car j'ai assez d'argent ... Assez pour prendre soin de moi et de ma grossesse durant les prochains mois. Je dois y aller avant que quelqu'un ne me surprend.
__ D'accord prenez soin de vous Mlle Chioma, dit-elle en pleurant.
Après avoir dit au-revoir à Valentina je suis sortie inaperçu de la villa, sans être repéré par les gardes du corps qui sont très occupé en ce moment à regarder le match du Réal Madrid.
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Je file à l'extérieur puis arrête un taxi en direction d'un hôtel très loin du quartier résidentiel de Mr Stan. Je vais passer nuit ici en attendant que je trouve un appartement. Il m'a fallu deux heures de route pour arriver à destination. Le taxi man m'aide à descendre mes affaires jusqu'à l'intérieur de ce luxueux hôtel cinq étoiles. Je m'arrête un moment pour parler à mon fils.
__ Mon amour ne t'inquiètes pas je vais très bien prendre soin de nous deux tu vas voir, dis-je avec assurance.
Je sais que ton papa va beaucoup te manquer, mais tu le verras une fois que tu seras né. En attendant, je dois chercher à organiser ma vie, car je n'ai personne qui me me viendra en aide après ton départ.
__ Bonsoir Mme que puis-je faire pour vous ? demande la réceptionniste en affichant un sourire accueillant.
__ En fait j'aimerais avoir une chambre pour une nuit, reponde-je respectueusement.
__ D'accord mais il me semble que je vous ai déjà vu une fois quelque part ?
__ Je ne pense pas que ça soit le cas, je ne suis pas une star enfin, répondé-je
__ D'accord j'ai peut être que dû vous confondre avec quelqu'un d'autre, veuillez m'excuser. Alors pour une nuit vous aurez à payer 50.000 naira. En passant êtes-vous accompagner de votre mari ?
__ Non, dis-je fermement. Je suis seule et arrêter de me poser ce genre de question s'il vous plaît.
__ Je vois que vous n'êtes vraiment pas de très bonnes humeur, réplique t-elle.
Mais je suis vraiment navrée pour mon indiscrétion. Encore une fois désolé. Quel mode de paiement désirez-vous utiliser ?
__ Il n'y a aucun problème, répond-je
Je compte payer en espèces, tenez !
__ Un personnel de l'hôtel va vous conduire dans votre votre suite. Alors nous vous souhaitons une bienvenue, surtout n'hésitez pas à nous contacter en cas de besoin.
__ Je n'y manquerais pas merci !
En me retournant, je tombe sur un homme blanc qui me regarde avec un sourire lumineux au visage. Il doit sûrement être le fameux employé qui me conduira à ma chambre.
__ Bonsoir Mlle c'est vous qui allez occupé la chambre numéro 1242 ?
me questionne l'un des employés de l'hôtel vêtu d'une élégance incomparable.
__ Bien sûr que c'est moi, il y'a t-il un problème ?
__ Oui Mme, vous êtes en état d'arrestation...
__ Mais comment ça en état d'arrestation bon sang ? Qu'est ce que j'ai fait de mal ?
__ Ne l'interrompez pas s'il vous plaît, ajoute t-il.
Vous êtes en état d'arrestation pour avoir osé voler mon petit cœur fragile avec votre beauté envoûtante, dit-il d'un ton charmeur.
__ Mr pour votre information je suis une femme enceinte et mon mari viendra me rejoindre dans quelques jours, dis-je fermement.
Allez draguer ailleurs car je suis une femme mariée, dis-je avec assurance alors qu'au fond je suis en train de mentir.
__ Désolé mais je ne vois pas votre bague de mariage, rétorque t-il.
__ Eh bien ma bague est dans mon sac... De toute façon ce ne sont pas vos affaires. Je suis venue ici pour un séjour et non pour qu'on me pose des questions stupides comme si j'étais une criminelle.
__ Bien évidemment que vous êtes une criminelle Mme, rétorque t-il.
Vous volez les cœurs de tout les hommes ici présent. Observez un peu autour de vous. Vous verrez que tout ces hommes vous dévorent du regard.
Votre mari doit s'estimer très heureux. Maintenant je vais vous conduire à votre suite.
L'employé de l'hôtel m'a conduit jusqu'à une suite Royale.
__ Mais c'est ce n'est pas la chambre que j'ai commandé Mr, dis-je d'un air choqué.
__ En réalité je suis le propriétaire de cet hôtel, répond-il.
Votre beauté envoûtante m'a largement laisser l'eau à la bouche c'est pourquoi j'ai décidé de vous conduire à cette suite car vous méritez amplement d'être traité comme une princesse.
Ne refusez surtout pas car je ne tolèrerai aucune résistance belle demoiselle... Euh je veux dire belle dame.
J'ai un rendez-vous très important alors je vais devoir vous dire au-revoir et passez une excellente nuit ! dit-il en tournant ses talons pour s'en aller.
*** Stanley Ogbona***
J'ai passé une demie heure au téléphone car cet appel était vraiment très important. Si je n'avais pas décroché, les choses allaient très mal se passer avec le nouveau film Nollywood.
Après avoir fini, je prends enfin mon courage à deux mains puis retourne au salon où j'avais laissé Chioma et Valentina la femme de ménage.
Je fais une entrée fracassante au salon, plus déterminé que jamais pour parler à la femme que j'aime.
En arrivant sur le lieu, je constate qu'elle n'y est pas et j'ai tout de suite eu un mauvais pressentiment.
Valentina sortait de la cuisine avec le dîner en main, sûrement pour aller servir.
__ Patron le dîner est déjà prêt...
__ Où est Chioma ? demandé-je d'une voix imposante
En entendant cela, sa mine se décomposa d'un coup pour laisser place à la frayeur. Elle fait tomber le plateau contenant le repas à cet instant.
De quoi a t-elle peur alors que je viens de lui poser une question simple.
__ Euh Mr ... Mlle Chioma... Je ... Elle est... Balbutie t-elle nerveusement alors que mon cœur menace de sauter sur ma poitrine car je ne pressens rien de bon.
__ Mais répond bordel de merde ! criais-je d'un ton irrité.
__ Mr pardonnez-moi ce n'est pas de ma faute... Mlle Chioma est partie pour de bon, elle ne reviendra pas... Elle reviendra juste pour vous donner le bébé...
N'ayant pas pu supporter l'insolence de ses mots, je lui colle deux gifles violentes sur la joue.
__ Comment ça partie ? Depuis quand ? Pourquoi ne m'avoir rien dit idiote ? grogne-je d'une voix autoritaire.
Ma mère sort en courant car je crie comme un fou dans toute la pièce.
__ Stan mon chéri qu'est ce qu'il y a à crier ainsi sur toute la pièce fiston ?
__ Demande à cette idiote qui nous sert de femme de ménage, dis-je avec furie en montant les escaliers menant à la chambre de Chioma, tout en criant son nom comme un fou.
En arrivant dans sa chambre je suis très surpris de constater que certains de ses affaires ne sont pas là. C'est à ce moment que je me rends compte que je viens définitivement en train de perdre la femme que j'aime, ainsi que mon pauvre fils qui n'a même pas encore vu le jour.
Mes pas deviennent lourds à l'instant, j'ai l'impression de porter le poids du monde sur mes épaules. Elle n'est pas là ma Chiné... Où est-elle en ce moment ?
En une fraction de seconde j'ai revu le film de notre première rencontre inattendue dans son village natal, ainsi que la mauvaise manière dont je l'ai toujours traité dans cette maison jusqu'à présent.
Je sens d'un coup une douleur atroce sur la poitrine, comme si quelqu'un vient de me poignardé en plein coeur. Je m'assois sur le sol tout en étant abattu par la tournure des évènements, mettant mes deux mains sur la tête.
__ Fiston où est Chioma Chinédou ? Où est ma Chioma...
__ Elle est partie maman... Elle m'a abandonné, dis-je d'un air triste. Elle a eut raison de le faire car je n'ai jamais été bon et juste envers elle maman. Je l'aime énormément... Je l'aime comme un fou je te jure maman ! J'étais sur le point de lui avouer mon amour... Mais elle est partie... dis-je en balbutiant pendant que les larmes de tristesse perlent sur la joue de ma mère.
__ Chioma oh! Ma fille pourquoi es-tu partie sans me dire au-revoir oh! Stan tu es mauvais... C'est à cause de toi qu'elle est partie de la maison en plus avec mon petit fils dans son ventre.
Tu ferais mieux de me ramener ma belle fille dans les prochaines secondes Stanley Ogbona tu es mauvais garçon, dit-elle en pleurant.
Ce n'est pas de ta faute oh! C'est le vilain comportement de ton macaque de père dont tu as hérité.
Cette fille a accepté de porter ton enfant gratuitement dans son ventre juste pour te voir heureux. Si ce n'est pas de l'amour et du sacrifice dis-moi ce que c'est hein?
__ Mais Mercy m'avait dit qu'elle avait remis une importante sommes d'argent à Chiné comme avance pour être la mère porteuse de notre fils...
À ce moment ma mère écarquilla les yeux, comme si elle venait de voir un fantôme.
__ Eh bien laisse-moi te décevoir et te dire que ma fille Chioma n'a jamais accepté un sous de ce que ta morte vivante de Mercy lui avait proposé. Cette fille est une menteuse pro max je le jure !
Comment as-tu fait pour être avec une femme qui n'a jamais voulu te donner des enfants juste parce qu'elle ne voulait pas abîmer son joli corps hein Stan?
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__ Maman je ne sais pas quoi faire... Donc elle avait accepté de le faire gratuitement... Oh mon Dieu aide-moi !
Qu'est-ce que que j'ai fait putain !
Que vais-je devenir sans la femme que j'aime ?
Cette Valentina sait où elle est partie je vais en finir avec elle...
__ Chioma n'allait jamais dire la vérité à Valentina car elle sait qu'on viendra la chercher, maintenant je crois que tu es satisfait hein... Tu es content c'est de toi? Depuis que cette fille est arrivé dans cette maison tu l'as toujours traité comme une personne n'ayant pas d'importance.
__ Maman tu sais bien que je suis vraiment désolé et que j'étais sur le point de tout arranger pour être avec elle, répond-je
Cette bonne, je vais la virer d'ici immédiatement ! grogne-je fermement.
__ La bonne 'e t'a jamais demandé de maltraiter Chioma, rétorque-t-elle.
Tu es la seule personne à blâmer dans toute cette histoire.
__ Je crois qu'il me reste une dernière chose à faire !
À ce moment mes yeux tombent sur un petit mot laisser sur le lit.
J'ai déplié la feuille, je l'ai lue d'une voix brisée, et la douleur est arrivée, silencieuse, comme une lame tranchante.
J'aurais dû savoir, j'aurais dû la retenir, mais je n'ai pas pu y arriver.
La maison est plongé d'un silence lourd, presque oppressant.
Je suis assis dans la chambre de la femme que j'aime, mon regard fixé sur la porte d'entrée, en gardant espoir que Chioma revienne.
Les mots que je viens de lire tout à l'heure dans sa chambre, résonnent encore dans ma tête, comme un écho impitoyable. « Mr Stan, je pars d'ici car je ne suis à tes yeux qu'une trainée que tu dois insulter à longueur de journée. Je n’en peux plus de ta méchanceté envers moi. » C'est tout ce qu'elle a écrit, pas de drame, pas de grandes explications. Juste la fin.
Le regret de l'avoir perdu me frappe maintenant, mais il est trop tard pour revenir en arrière. Je n’avais jamais été très gentil avec elle, pas de la manière qu’elle méritait.
Je regrette sérieusement tout le mal que je lui ai fait à ma Chioma.
Je me lève brusquement, comme si ce mouvement peut chasser cette sensation de vide qui me paralysait.
__ Qu'est-ce que j'ai fait ? murmuré-je, la voix rauque, presque étrangère. Je ne m'était jamais autorisé à me poser cette question. Mais aujourd'hui, j'en voit la réponse dans le vide de la maison, dans l'absence d'elle.
Je me laisse tomber sur le canapé, les mains jointes devant moi. Je me souviens de la dernière fois où nous étions assis ensemble ici, de la façon dont elle m'avait regardé, ses yeux remplis d’une tendresse Infini .
Je me souviens de la chaleur de sa voix, de ses éclats de rire, du confort de sa présence. Mes pensées vont encore plus loin à notre première nuit ensemble. Ce jour-là là elle s'était donné à moi corps et âme. Et moi je l'ai fait l'amour comme je ne l'avais jamais fait à aucune autre femme. D'ailleurs depuis cette nuit je n'ai jamais couché avec une autre femme comme je le faisais avant, encore moins avec Mercy.
Un soupir de tristesse lourd s’échappe de ma poitrine, presque un gémissement de douleur, et je ferme les yeux, ne pouvant échapper à la vérité qui me frappe de plein fouet. À cet instant, quelques gouttes de larmes menacent d'exploser sur mon visage.
Ma mère me regarde cette fois-ci avec compassion et douleur. Car elle seule sait ce que je ressens en ce moment.
Elle a toujours su que j'étais amoureux de Chioma mais que je faisais de mon mieux pour marcher sur mes sentiments.
Où vais-je commencer par la chercher mon Dieu?
__ Maman je suis perdue putain ! Je ne sais pas comment faire pour la retrouver ma Chioma... Comment a t-elle pu partir et m'abandonner dis-moi, dis-je en criant. Je suis une très mauvaise personne maman, je mérite tout ce qui m'attend de mal... Je comprends maintenant ce qu'elle ressentait à chaque fois que je l'ai humilier la pauvre. Elle ne méritait pas cela... Elle avait tellement souffert dans sa vie avec sa tante lorsqu'elle était au village. J'aurais dû mieux la traiter... Je ... Je... Nooooooooon ! dis-je en pleurant
__ Mon amour calme-toi s'il te plaît, dit-elle en me prenant dans ses bras.
Je ne t'ai jamais vu pleurer pour une femme, même pas pour la première qui avait briser ton cœur.
Je comprends à quel point tu es très amoureux d'elle. Tu viens de reconnaître tes erreurs c'est déjà un bon début. Maintenant on doit juste trouver un moyen de la retrouver. Je suis sûr que Chioma t'aime toujours autant. Alors si on l'a retrouve, elle va sans doute te pardonner.
__ Je sais ce qu'il me reste à faire maintenant, dis-je d'un ton irrité en sortant de ma maison à une vitesse d'éclair.
Je prends ma voiture jusqu'à arriver chez cet enfoiré de Hayden.
Je suis sûr que c'est lui qui a demandé à Chioma de me quitter pour être avec lui. Mais il se trompe lourdement s'il pense que je vais lui laisser la femme que j'aime sur un plateau d'argent, je compte me battre pour elle...
À suivre...