Literature > Short Stories

Ma jolie voleuse

Lanice plume

Oct 21, 2024 - 5 Minutes

 20

Chloé Renald

J’appelle ma sœur et l’informe que le travail a été déjà faite. Je me dirige à la bibliothèque ou je passe toute la journée avant de rejoindre ma cabine.

Les jours passent mais ne se ressemble pas. Je fais mon possible pour ne pas rater ma moyenne.

Aujourd’hui étant samedi, mes amies et moi prenions des tickets pour suivre un film au cinéma.

Après avoir suivi un film romantique qui nous a d’ailleurs fait rêvé, on se rends dans un restaurant afin de prendre le déjeuner.

Habillé de ma robe favoris que mon père m’avait offert avant de prendre la tangente, j’avais pris du jus que j’allais déposé à notre table lorsque je reçois un verre de vin sur ma robe.

Moi : J’hallucine je crie.

Ben : Encore vous ?

Moi : C’est à moi de vous le demander je hurle. Pourquoi il faut que je vous rencontre toujours sur mon chemin. Vous venez de détruire ma robe.

Ben : C n’est qu’une Robe. Pourquoi en fait un tars de problème. Je peux vous en procurer si vous le voulez. Mais arrêté de vous ridiculisé.

Moi : Juste une robe dis-je hors de moi. Cette robe est d’une édition limité. Elle est d’ailleurs difficile à trouver en ce moment et c’est la seule chose qui me reste de mon père.

Ben : Pas besoin de jouer à la fille pourri gâté. Je vais te le rendre. Pour le moment tu laisses tranquille dit-il avant de continuer son chemin son verre de vin en main.

Je n’arrive pas à croire que je viens de me taper la honte à cause de ce garde du corps. J’hallucine.

Marjorie vient m’aider avec les jus et je vais me nettoyer dans la salle de bain des femme avant de les rejoindre.

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Marjorie : Connais-tu cet homme ?

Moi : Penses-tu que je peux être ami avec des gens aussi grossier et imbue de leur personnes ? Je déteste les personnes comme eux. J’ai l’impression de voir ma sœur en version masculin.

Elles explosent toute de rire sans savoir à quel point cet imbécile vient de m’énerver.

Si ce n’est pas à cause de ce foutu mission , jamais je n’aurais croisé cet homme sur mon chemin. En parlant de loup, elle m’appelle.

J’essaie d’ignorer ses appels mais c’est au tour de ma mère de me harceler. Je m’excuse auprès des filles et sors de table.

Moi : Maman qu’est-ce que tu veux ?

Mère : Je veux te voir à la maison dans les dix minutes qui vont suivre.

Moi : Je ne peux pas quitter le campus en ce moment. J’ai un cour dans trente minutes.

Mère : Vous faites cours aussi les samedis ?

Moi : Bien sûr maman. Ce n’est pas le collège je te signale.

Mère : Je me fou de ce que tu fais actuellement. Je veux te voir à la maison dans dix minutes à moins que tu aies envie que je vienne te chercher.

Moi : Ne te donne pas cette peine maman. Je vais me mettre en route.

Je m’excuse auprès des filles et monte dans le premiers taxi pour la maison de Bell.

La maison est d’ailleurs dans un sale état. Je suppose que ma sœur est encore contrariée à cause de Daemon.

Moi : Que se passe-t-il ici ? Pourquoi la maison est en désordre.

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Ma sœur est assise sur le sol les cheveux tout ébrouffé et le visage enflé à cause des larmes. Voir ma sœur ainsi me brise le cœur.

Elle ne fait que parler toute seul en essayant de se faire du mal. Je m’approche d’elle et l’a prend dans mes bras pendant une seconde.

Elle me fixe un moment et se mets en larmes tout en essayant de se faire du mal.

Rose : Daemon veut épouser cette fille qu’elle vient à peine de rencontrer. Il ne veut pas m’épouser parce qu’il ne m’aime pas dit-elle avant de se mettre dans un fou rire. Je vais tous les tuer.

Je connais bien ma sœur et si elle se mets dans cet état, cela veut dire une chose. Je vais vérifier si elle a pris ses médoc et j constate qu’elle n’en a plus jamais pris. Les boites sont toujours pleines.

Moi : Mère je hurle en descendant les escalier.

Mère : Je peux savoir pourquoi tu hurles mon nom ?

Moi : Pourquoi tu ne t’es pas assurer que Rose prenne ses médoc. Tu sais bien de quoi elle est capable quand elles ne les prennent pas. Je pensais que tu l’aimais ?

Mère : Je t’interdis de douter de l’amour que j’ai pour ma fille. Et ta sœur n’est plus un enfant pour que je la surveille.

Moi : Tu t’en rends compte qu’elle pouvait te faire du mal ? Je te signale qu’elle est malade.

Rose : Aide-moi à tuer cette fille dit-elle s’approchant de la cuisine un couteau en main.

Je regarde ma mère qui prise de peur se cache dans un coin de la cuisine.

Moi : Je te promets que tu vas épousé Daemon. D’ailleurs tu es la seule qui le rends heureux. Et tu sais bien combien tu es importante pour lui. Donne-moi ce couteau et je te promets qu’il viendra te voir.

Rose : Vraiment ? Daemon viendra me voir ?

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Moi : Bien sur. Tu sais à quelle point il t’aime.

Rose : Tu mens hurles-t-elle. Il veut épouser cette fille . Elle m’a volé mon homme. Je vais la tuer. C’est à elle qu’est réservé ce couteau.

Moi : Je t’en prie donne-moi ce couteau.

Ma mère me donne un de ses calmants qu’elle gardait sur elle. Je continue de parler à Rose tout en m’approchant d’elle.

Je ma convainc de déposer le couteau avant de lui éjecter le calmant et elle s’effondre au sol.

Ma mère m’aide à la poser dans sa chambre. Je la couvre d’un drap et sors de sa chambre avec ma mère.

Mère : Elle a vraiment besoin de toi. Il va falloir que tu joues au amoureuse avec ce chauffeurs pour savoir de quelle manière éliminé cette fille. Je n’aime pas voir ma fille dans cet état.

Moi : Je pense qu’elle a besoin de bien suivre son traitement et vivre dans la réalité. Nous ne pouvons pas pousser cet homme a aimer ma sœur contre son gré.

Mère : Ferme là et faire ce qu’on te demande. Je ne t’ai pas demandé conseil. J’espère avoir été clair.

Moi : Comme l’eau de roche. Je vais rester à la maison pendant quelques jour pour ma sœur.

Mère : Fais comme bon te semble.

Je vais m’enfermer dans ma chambre réfléchissant à un moyen plus adéquate d’aider ma sœur. 

Elle a vraiment besoin d’aide mais ma mère n’aide vraiment pas en lui bourrant l’esprit avec du rêves. J’espère qu’elle ira mieux.

A suivre...

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