Ma jolie voleuse
Lanice plume
19
Chloé Renald
Vivre avec la famille Bell n’est pas aussi simple que l’on pourrait croire.
Plusieurs envie ma famille en croyant que nous sommes la famille la plus parfaite mais ils ne savent pas que nous sommes la plus difonctionnelle qui n’a pu exister.
Je me rappelle sur le coup de ma vie lorsque mon père était présent. J’étais la petite princesse de la famille toujours dans les bras de mon père.
Mais mon rêve de petite princesse s’est vite vaporisé lorsque nous avions tout perdu.
Il fallait que je travaille très dur afin d’obtenir une bourse me permettant d’entrer à l’université.
Pensant que tout sera résolu une fois que j’aurais travaillé dur pour finir mes études, voilà que ma mère et ma sœur me donne la pression pour que j’aide dans la quête de conquérir une richesse qui ne les appartiennent pas.
Après avoir surveillé le chauffeur de Daemon pendant des semaines d’affilés, je connais un peu son mode de vie.
J’espère ne pas faire une belle erreur en aidant ma famille. Je sais de quoi ma mère est capable pour obtenir ce qu’elle veut et je ne compte en aucun cas être l’une de ses victimes.
Je m’assois au bar que Ben fréquente le plus souvent après avoir fini le travail. Je prends un soda en attendant qu’il ne vienne.
Je passe plus de trois heures à attendre mais toujours rien. Je paye l’addition et était sur le point de sortir lorsqu’une personne m’accroche et mon téléphone sur brise au sol.
Moi : Est-vous aveugle je lance cette personne qui me tient par la taille de peur que je tombe.
Mes regard se posent lui et je n’arrive plus à les détourner. Il me redresse et arrange son costume. Je n’arrive pas y croire que c’est lui.
Je ne savais pas qu’il était aussi beau. J’essaie de faire sortir un mot sans que je n’y arrive.
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Ben : Vous allez bien madame.
Moi : Demoiselle plutôt. Et vous venez de briser en mille morceau mon téléphone. Vous savez combien de temps cela m’a pris pour me payer ce téléphone. Comment je vais travailler sans mon téléphone.
Ben : Je ne l’ai pas fait exprès. Et vous aurez pu faire attention en sortant. Personne ne marche la tête baissé.
Moi : Que voulez-vous dire dis-je en haussant le ton. C’est vous qui m’avez bousculé. Pas le contraire. Vous avez intérêt à me prendre un téléphone et tout de suite. J’en ai besoin pour mes cours. Et d’ailleurs j’ai tous mes dossiers dans cet ancien téléphone.
Ben : Vous bavardez autant.
Il sort son téléphone de sa poche de pantalon qu’il me tend.
Ben : Vous pouvez utiliser le mien. Aucune boutique n’est actuellement ouverte pour que je vous prenne un téléphone alors je le compense avec le mien.
Moi : Comment pensez-vous que je puisse avoir mes données. J’ai besoin de mon téléphone et non la vôtre.
Ben : Je ne pas assez de temps pour discuter des truc inutile. Prenez le mien le temps que je répare le vôtre.
Il note son numéro dans son téléphone et l’enregistre.
Ben : Etant donné que je n’ai pas encore de portable, vous pouvez me contacter demain pour que je vous remette le vôtre lorsque je l’aurai réparé.
Je sors un stylo de mon sac et note mon numéro ans la paume de ses mains.
Moi : J’attends votre appel demain matin à la première heure. Tous mes cours sont dans mon téléphone alors vous comprenez que je réagisse ainsi.
Je sors du bars sans attendre de réponse de sa part. Je ne pensais pas que le premier contact sera aussi parfait.
J’étais tellement nerveuse mais je pense que le destin m’a aidé finalement. Je rentre chez moi tout satisfait de mon travail d’aujourd’hui.
A peine je franchis le seuil du salon que je suis explosé de question par ma sœur et ma mère.
Moi : C’est possible que je m’asseye une seconde avant de répondre à vos question ?
Mère : Dis-moi que tu as pu faire le premier contact.
Moi : Cela c’est fait tout seul. Je n’ai pas eu à faire genre chose.
Rose : Et pourquoi tu ne décrochais pas mes appels. Je t’ai appelé plus une dizaine de fois.
Moi : Il a brisé mon téléphone lorsqu’on s’est accroché. Il devrait d’ailleurs me l’apporter demain.
Mère : Tu es au moins efficace. Je ne t’ai pas complètement perdu. J’espère que tu seras vigilante et ne pas foiré le plan. Et mets ta conscience de côté pour le moment.
Rose me donne une puce que je dois mettre dans sa voiture à notre prochaine rencontre.
Moi : Tu ne penses pas que c’est dangereux. Il pourrait facilement savoir que c’est moi qui l’ai fait. Je ne veux pas me créer des ennui. En voyant ce que gars, tu peux être sûr qu’il est vraiment prudent.
Mère : Trouve un moyen pour qu’il ne te soupçonne pas. Tu pensais que ce serait facile hurle-t-elle. J’espère que tu ne vas pas encore nous décevoir.
Je prends la puce que je range dans mon sac.
Moi : Je vais devoir entrer à l’université. J’ai un cours à suivre demain. Bonne nuit à vous.
Rose : Il se fait tard. Pourquoi ne pas attendre demain avant de partir. Je pourrai te déposer avant d’aller au boulot.
Moi : Je peux me débrouiller toute seule. Merci pour l’aide.
Je prends mon sac et sors de la maison de mes parents.
Je ne veux pas qu’elle m’aide parce que je sais très bien qu’elle sera capable de venir à tout moment dans mon université juste pour des broutilles.
Ni elle, ni ma mère ne savent réellement ou je suis inscrite. Les connaissant, je me suis assuré qu’ils ne l’apprennent jamais.
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Raison pour laquelle j’ai changé mon nom de famille pour le nom de ma grande mère paternel.
N’étant pas du tout maternelle, elle ne sait même pas que sa fille ne porte plus le nom de son mari.
C’est vraiment décevant de sortir de ce genre de famille ou le plus important n’est que l’argent.
J’espère que j’aurais la paix une fois que j’aurais accomplir ma mission pour eux. Je ne veux être liés à eux d’une quelconques manières.
Après une heure de trajet, je rejoins ma cabine que je partage déjà avec trois autre fille. Je fais moins de bruit pour ne pas les réveillé.
Le lendemain matin après les cours, je me rendais à la bibliothèque lorsqu’une voiture s’immobilise devant moi.
La vitre s’abaisse et Ben enlève sa lunette noir qui était posé sur son nez.
Ben : Monte. Je n’ai pas assez de temps.
Je ne me fais pas prier avant de monter.
Moi : Comment as-tu su que je suis dans cette université.
Ben : Voici ton téléphone. Je n’ai pas pu réparer l’ancienne mais tout tes dossiers sont dans celui-ci. Vous pouvez descendre.
Je prends le téléphone de ses mains et descends de la voiture en faisant tomber exprès mon boucle d’oreille.
Je m’abaisse pour le prendre et profite pour y laisser la puce. Une fois sortir, il ne lance aucun autre mots avant de démarrer et s’en aller en trompe.
A suivre...
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