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Ma jolie voleuse

Lanice plume

Oct 21, 2024 - 7 Minutes

17

Daemon Lyon

Tout se passe bien comme je l’avais prévu sauf ce petit incendie avec Rose. Je n’aime pas avoir de faille dans mes plans.

Il n’était pas question qu’elle et ma mère assiste au diner que j’avais prévu avec Jacob.

Une fois être sorti du restaurant, je demande des comptes à Ben qui était incapable de me répondre.

 Il faut que je règle cette affaire. J’espère que le vendu qui a été capable de donner des renseignements à Rose est très loin, car je risque vraiment de lui faire mal.

Après avoir déposé Jacob, je rentre chez moi afin d’avoir une réunion avec mon équipe de surveillance.

Une fois tous réunis dans mon bureau, j’ordonne à Ben de faire de fermer la porte de la clé.

Moi : Je serai directe et brève avec vous. Avant que vous ne soyez embauché dans mon équipe de surveillance, vous m’avez juré allégeance Tout ce  qui se passe dans la famille Lyon ne devrait jamais être divulgué ni au réseaux sociaux, ni à n’importe qui. Mais ce soir, une personne entre vous a eu le courage, de donner des informations personnelles à Rose l’ami de la famille. Je voudrais savoir qui est le responsable. Je ne voudrais pas trop discourir. Il sera préférable pour cette personne de ce dénoncer que je fasse mes enquêtes. Je ne l’épargnerai point.

Moi : Je serai directe et brève avec vous. Tout ce qui se passe dans la famille Lyon ne devrait jamais être divulgué ni au réseaux sociaux, ni à n’importe qui. Mais ce soir, une personne entre vous a eu le courage, de donner des informations personnelles à Rose l’amie de la famille. Je voudrais savoir qui est le responsable. Je ne voudrais pas trop discourir. Il sera préférable pour cette personne de ce dénoncer avant que je ne fasse mes enquêtes. Je ne l’épargnerai pas.

Ils restent tous muets me fixant dans le blanc des yeux.

Après plus de Cinq minutes personnes ne réagis alors je les congédie et ordonne à Ben de faire une enquête approfondi sur eux.

Ils ne peuvent me trahir d’une manière ou d’une autre. Personne n’a le droit de divulguer des informations de cette maison.

Après avoir travaillé dans mon bureau jusqu’au petit matin, je prends une douche rapide avant de me mettre en route pour le bureau.

Je ne voudrais pas croiser ma mère qui m’obligera à l’écouter pendant des heures.

Ben va chercher Jacob pour qu’elle s’installe aujourd’hui. Elle est fâchée contre moi et je ne voudrais pas que cette colère la pousse à commettre un acte regrettable.

J’ai alors mis plusieurs garde pour sa surveillance. Je ne sais vraiment plus quoi m’attendre avec elle.

Ben me rejoint une heures plus tard me confirmant que tous ses passés concernant l’installation de Jacob.

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Ben : Comme vous l’avez ordonné, j’ai fait des enquêtes approfondi sur le surnommé Carlos qui a engagé Jacob pour dérober le collier mais je n’ai rien trouvé pour le moment. Il est vraiment bien caché.

Moi : S’il a un espion dans mon entreprise, je dois l’arrêter. Nous avons une autre collection de collier à exposer dans quelques mois et je ne voudrais plus faire face à ce genre d’incident. La police n’a pu rien trouver de leur côté.

Ben : Non Boss. Ils sont toujours sur l’affaires.

Moi : J’ai l’impression que cette affaire ne soit plus compliquée que ce que nous croyons. Nous devons faire très attention. Je voudrais tout d’abord que tu réduises l’effectif de mes gardes pour ma sécurité. L’incendie d’hier prouve qu’il a plusieurs vendu dans l’équipe. Tu n’as d’ailleurs rien trouvé de ce côté?

Ben : Nous sommes toujours dessus.

Moi : Je te conseille de me donner des résultats avant la fin de la journée. Tu peux disposer. Et assure-toi que les gardes qui sont censé surveillé Jacob fasse bien leur travail.

Ben : Bien reçu Boss. Je vous laisse travailler.

Une fois qu’il sort de mon bureau, German décide d’entrer sans avoir été annoncé.

German : Je te salue frère.

Moi : Tu n’es pas mon frère. Que fais-tu dans mon bureau. J’ai énormément de chose à faire. Alors soit brève dis-je en me concentrant sur ma machine.

German : Je pensais que nous avions dépenser ce cap. Je sais que tu ne veux rien avoir avec moi, mais n’oublie pas que le même sang coule dans nos veines.

Moi : Que veux-tu German ?

German : Je voudrais savoir si tu avais plus d’information sur ceux qui ont envoyé cette voleuse dans notre société.

Moi : Déjà cette entreprise m’appartient. Je t’ai donné quelques actions pour te remercier de tout le dur labeur que tu as fait dans la création de cette entreprise. Ceci ne fait pas de toi un partenaire en tant que tel dans cette entreprise. Laisse-moi gérer mes affaires et concentre-toi sur la communication pour la vente des produits comme tu sais bien le faire. Tu peux disposer.

German : Cette entreprise est autant la tienne que la mienne. Je sais que tu ne veux pas de moi près de toi mais tu m’as pourtant donné un poste de grande importance. Et j’ai le droit de m’inquiéter de mes actions.

J’esquisse un sourire et me concentre de plus sur ma tablette.

Moi : Si tu as fini ton discours, je te prie de dégager de mon bureau avant qe je ne m’énerve.

Pour qui se prend -il pour me donner des autres. J’ai l’impression qu’il ne sait plus réellement à qui il parle.

Après cinq minutes de silence, il décide à sortir de mon bureau. Il va vraiment falloir que je change mon assiste.

Aussi incompétente que les autres. Elle est incapable de respecter les autres. J’appelle ma secrétaire ainsi que Esther afin de changer les choses.

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Elles me rejoignent quelques minutes plus tard.

Moi : Je voulais vous informer qu’à partir de cet instant, Esther sera mon assistance personnelle et ma secrétaire. Tu peux rentrer chez toi dis-je à mon ancienne secrétaire.

_Quai-je fais pour être viré Monsieur ?

Moi : Ce n’est pas à moi de te le dire. Tu peux aller prendre ton chèque à la RH ; Je vous souhaite que du bonheur pour la suite.

Elle lance un juron en mastiquant son chuwing gum et sort de mon bureau en claquant la porte.

Esther : Sans vous manquer du respect monsieur, je ne pense pas pouvoir faire les deux boulots à la fois.

Moi : Tu viens non seulement de me manquer de respect mais me fais perdre mon temps. Est-ce que vous pouvez me laisser travailler ou vous avez encore d’autres question ?

Esther : Je vais travailler de ce part.

Moi : Très bonne idée.

Je passe le reste de la soirée à travailler. Je rentre tardivement comptes tenu des rendez-vous que je devais honorer ce soir.

Jacob est couché sur le canapé m’attendant surement. Je n’avais jamais pris le temps d’admirer sa beauté. Elle est encore plus belle que dans mes souvenirs.

Moi : Je t’avais fait une promesse que je compte bien honorer. Tu es et restera toujours ma belle Jackie dis-je passant ma main sur sa joue.

Elle est vraiment belle. Ma jolie voleuse. Je me rappelle nos déboire lorsque nous étions petit.

Elle m’obligeait à volé avec elle tout en me convainquant que ce n’étais mal. Qu’est-ce qu’elle aurait pu devenir si je n’avais pas quitté le Queens.

Ses paupières bougent  et elle ouvre les yeux et nos regards se croisent. Je me redresse affichant une bonne mine.

Jacob : Tu rentres toujours à cette heures ? Je me suis vraiment ennuyé aujourd’hui. Je pensais que tu allais vite rentrer encore que je n’aie pas encre le droit de sortir.

Moi : J’avais beaucoup de travail à faire. Tu aurais pu dormir dans la chambre.

Jacob : Je me suis juste endormi sur le canapé.

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Moi : Laisse-moi t’aider...

Jacob : Pas besoin merci me répond t-elle.

On se dirige vers la chambre lorsque je remarque qu’il manque un des tableaux d’art dans le couloir.

Moi : Jacob est ce que tu as vendu l’in de mes tableaux ?

Jacob : Je viens de te dire que je ne suis pas sorti de la journée. Comment veux-tu que je vende l’un de tes tableaux sans ta permission d’ailleurs.

Moi : Ce tableau a toujours été ici mais tu t’installes chez moi et il disparait. Que veux-tu que je pense.

Jacob : Je ne sais pas de quoi tu parles. Si tu n’as rien de concret à me dire, je pense que je vais dormir. Bonne nuit à toi.

Moi : Je n’ai pas fini de parler.

Jacob : Et moi je ne veux rien entendre de plus. Pourquoi vivre avec moi si tu ne me fais pas confiance. Je t’ai promis de ne plus voler et je n’ai pas failli à ma promesse. Je n’ai rien faire qui pourrait te faire croire le contraire. Mais toi tu te permets de me juger parce qu’un soi-disant tableau dont je ne connais même pas l’existence a disparu de ta maison hurle-t-elle.

Ma mère sort de sa chambre haleté surement par la voix de Jacob.

Mère : Je peux savoir pourquoi vous hurlez autant dans la maison. Je compte dormir. Que se passe-t-il ?

Moi : Tu peux retourner dans ta chambre mère.

Mère : Il se fait tard pour une dispute, vous ne pensez pas ?

Jacob : Toute mes excuses madame Coralie. Je ne voulais pas vous déranger.

Moi : Ca peut aller. Offert, j’ai par mégarde versé du vin sur ton tableau. Je l’ai envoyé en réparation. Bonne nuit à vous dit-elle avant de rentrer dans sa chambre.

Jacob me fusille du regard avant de se fermer dans ma chambre.

A suivre...

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