Ma jolie voleuse
Lanice plume
15
Jacob Miller
Je le remercie et il prend congé. Une heure avant la soirée, je m’apprête pour le diner. J’adore littéralement cette robe.
Je ne pensais pas que M. Lyon avait autant de gout en termes de vêtement. Ma mère entre dans ma chambre une fois que je finis de m’habiller.
Moi : A t’entendre, j’ai l’impression d’être une prostituée, ce que je ne suis pas. Et non. Je ne vais pas voler mais à un diner avec M. Lyon.
Maman : Qu’est ce qu’il a entre ce monsieur et toi ?
Moi : Je ne sais pas de quoi tu parles. Il m’a juste demandé de diner avec lui ce soir et je n’ai pas trouvé d’inconvénient à accepter.
Maman : J’espère que ce n’est pas ce que je crois. J’espère que tu ne te donne pas à ce monsieur pour que nous allons cette vie.
Moi : Je vais te le répéter une dernière fois dis-je remonté. Je ne suis pas une prostituée maman. Pourquoi ne peux-tu pas avoir confiance en ta fille. Donc une bonne chose ne pourrait jamais m’arriver ?
Maman : Je n’ai jamais pensée de cette manière.
Moi : Bien sûr que tu l’as toujours pensé. J’ai un diner à respecter alors je vais devoir y aller. Et je rentrerai tard.
Maman : Jacob soupire-t-elle…
Moi : C’est bon mom. Je sais que tu ne vas jamais me donner le bénéfice du doute ou même avoir confiance en moi un jour. Mais n’oublie pas. C’est à cause de toi que j’ai été obliger d’apprendre à vivre dans la rue pour ne pas mourir de faim. Arrête de me juger de grâce.
Je sors de la maison toute en colère. Je n’ai pas encore reçu de messages de Ben alors je suppose qu’il n’est pas encore là.
Je passe le temps restant dans un pause-café le temps que Ben ne vienne me prendre.
Je pensais qu’on dinait dans un restaurant de la ville mais il a oublié de mentionner qu’allait dans le restaurent le plus luxueux de Manhattan.
M. Lyon m’attendant dans son plus beau costume. Il n’avait que lui dans le restaurant. Je m’approche le cœur battant.
Mais que m’arrive-t-il. N’oublie pas que tu es ici pour accomplir un contrat.
N’y mets pas le cœur au risque de te le faire briser. Je m’approche les pieds tremblante. Il me tire la chaise et m’aide à prends place.
M. Lyon : J’ai réservé le restaurant pour ne pas que vous ne vous sentez gêné.
Moi : Dites plutôt que vous l’avez fait pour ne pas qu’on me voit avec vous.
M. Lyon : Il faut toujours que vous soyez désagréable. J’essai d’être le plus romantique possible mais vous me décevez toujours.
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Moi : Vous n’avez pas besoins de l’être. De toute les façon nous ne sommes pas un vrai couple.
Il fait signe au serveur qui nous apporte le menu.
M. Lyon : Faites votre choix.
Tout ce qui est sur ce menu est vraiment nouveau pour moi. Je ne sais vraiment pas quoi choisir.
M. Lyon : Je pensais que vous avez eu un cours sur comment choisir un repas dans un restaurant.
Moi : Mais je n’avais vraiment pas faire attention. De toute les manière rien ne me m’intéresse sur ce menu.
M. Lyon : Faites comme prévu.
_OK M. Lyon…
Moi : Apparemment tu es vraiment connu par ici.
M. Lyon : Ce restaurant m’appartient.
Moi : Oh dis-je tout simplement.
Je ne savais plus réellement quoi dire. Je lui remets le contrat signé qu’il feuillette d’un œil et me sourit.
M. Lyon : J’espère que vous avez pris le temps de tout lire.
Moi : Bien sûr. Vous ne pensez quand même pas que j’allais signer un document que je n’ai pas eu le temps de lire ?
M. Lyon : C’est exactement ce que je pensais de vous.
Plusieurs serveurs apportent les repas commandé par Mr Lyon. Je n’arrive pas y croire. Je ne savais plus quoi choisir.
Il a tellement de mets que j’avais l’embarras du choix. Mais j’aurais voulu avoir un côte de porc.
C’est mon favoris. Quelques minutes après un serveurs pose le côte de porc devant moi.
M. Lyon : Bonne appétit…
Moi : Comment avez-vous su que j’aimais…
M. Lyon : Contentez-vous de manger.
Je ne savais plus quoi dire. Après le repas, un vin rouge nous a été servi. Je prends ma coupe de verre que j’effleure à mon nez pour m’accaparez de la saveur.
M. Lyon : Je vois que vous y connaissez en vin.
Moi : J’ai toujours adoré le vin et c’était l’élément le plus important qui me permettait de m’approcher de mes victimes.
M. Lyon : Je vois.
_Daemon attendis-je derrière moi.
M. Lyon : Maman ? Que fais-tu ici ?
Mme Lyon : Je voulais savoir ce que mon fils fait ces derniers mois pour ne plus avoir mon temps dit cette dernière à s’approchant plus de notre table.
Elle se mets du côté de son fils et me regarde de travers.
Mme Lyon : Alors c’est elle la fille pour laquelle tu n’as plus le temps de ta mère.
Moi : Je suis enchanté de faire votre connaissance Madame Lyon. Mon nom est Jacob Miller. Daemon m’a parlé tellement de vous que j’ai l’impression de vous connaitre maintenant que j’ai mis un visage sur vous.
Mde Lyon : J’aurais pu dire le contraire mais, il n’a pas eu le temps pour me parler de vous. J’ai juste appris qu’il comptait se marier à une femme qu’il aimait. Vous pouvez m’appelez Coralie.
Moi : Vraiment ? Vous connaissez bien votre fils. Il n’est pas du tout bazar encore plus il est toujours absorbé par le travail.
Coralie : Je remarque que vous connaissez bien mon fils.
_Je suis désolé d’être un peu en retard. J’ai eu un peu de difficulté à trouvé la place sur le parking. Oh vous avez déjà rencontré la fiancée de votre fils dit cette dernière dont la voix me semble familière.
Elle rejoint Coralie et fronce les sourcils lorsque nos yeux se croisent. J’arque un sourcil tout en esquissant un petit sourire.
Moi : Je suis ravi de te revoir Rose. J’espère que nous pouvions nous tutoyer. Les amis de Daemon sont mes amis.
Rose : Bien sûr. Je suis ravi de te revoir. Mon petit doigt me disait bien que tu étais la fiancée dont parlais mon chou.
Moi : Désormais c’est Daemon pour toi. C’est vraiment déplacé de l’appeler mon chou devant moi. Tu ne trouves pas mon cœur dis-je en le fixant.
M. Lyon : Oui. Je crois que tu devais m’appeler à partir d’aujourd’hui par Daemon.
Rose : Mais je t’ai toujours appelé ainsi. Pourquoi veux-tu que j’arrête de t’appeler ainsi.
Moi : Parce qu’il a une fiancée très jalouse.
Elle me lorgne et je souris. Elle ne pensait quand même pas que j’allais lui rendre la tache facile.
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Je peux voir de loin qu’elle est follement amoureuse de M. Lyon. Mais pourquoi ce dernier ne veut pas se mettre avec elle.
Je demande au manager du restaurant d’amener plus de chaise pour nos invité. Je vais beaucoup m’amuser ce soir. Je le sens de loin. Une fois assises, elles ont été servies.
Coralie : Alors Jacob Miller fait quoi dans la vie.
Moi : Je travaille dans le markéting. Daemon a d’ailleurs promis de m’embaucher comme manager dans l’une de nos boutiques de ventes. Je suis doué dans le domaine de la vente des colliers.
Il me donne un coup de pieds qui me fait atrocement mal d’ailleurs.
Moi : C’est pour cette raison Daemon est tombé amoureux de moi n’est-ce pas mon cœur.
M. Lyon : Bien sûr dit-il au bout des lèvres.
Rose : Comment vous aviez faire connaissance ?
Moi : C’est vraiment drôle quand j’y pense. Je pense que c’était pour un contrat que je devais signé avec son entreprise. J’étais en Brésil. Il me faisait son genre arrogant et pour le punir, j’ai pris son portefeuille. Alors il m’a carrément pourchassé pour me le reprendre. Je lui ai fait carrément la galère. Il m’a supplié de le lui rendre au risque d’être grondé une fois rentré.
M. Lyon : Ne dépasse non plus les bornes princesse. Je n’ai pas non plus pleuré. Je ne voulais pas rentrer sans ce portefeuille qui est vraiment important pour moi. Mais notre deuxième rencontre était encore plus intéressante que la première.
Moi : Je me rappelle comme si c’étais encore hier dis-je en forçant un sourire.
Il me caresse la main en me faisant un clin d’œil.
Coralie : Je suis vraiment heureuse que mon fils a trouvé l’amour. C’est tôt ce que je demandais. Tu es vraiment doué dans la vente de collier.
Moi : Je suis sollicité dans les quatre coins du monde pour la vente. Vous pouvez me faire confiance.
Maman : Je suis prête à te laisser diriger une chaine de nos boutiques si tu arrives à nous faire vendre une collection de collier qui n’a pas du tout marché. Cela nous a tellement couté. J’ai fait ces collier mais elle n’a pas été vendu sur le marché. J’étais obligé de la retirer. Si tu arrives à les vendre, non seulement je te laisse épousé mon fils mais je te laisse diriger une de nos chaines.
Je regarde M. Lyon qui me fait non de la tête. Mais si je veux réellement jouer mon rôle, il va falloir que je le fasse.
M. Lyon : Maman, je ne pense pas que…
Moi : Je suis d’accord maman, je m’empresse de dire. Vous ne serez pas du tout déçu.
Maman : Nous avions une exposition dans six mois. Ce serai parfait de le faire à ce moment. Et tu peux venir t’installer à la maison dès ce soir ma fille. J’aimerais apprendre à plus de connaitre.
Le regard que me lance M. Lyon me fait froid dans le dos. Je crois que je viens de faire une grosse bêtise. Qu’est-ce que je viens de faire ?
A suivre…
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