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Ma jolie voleuse

Lanice plume

Oct 21, 2024 - 7 Minutes

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Jacob Miller

Je n’arrive pas à croire que M. Lyon a pu me faire une chose pareil. Je suis contrainte de suivre les cours de cette professeure. Je fais tous les effort possible afin de pouvoir revoir ma mère et mon frère. Je viens de finir enfin mon dernier cours pour la formation. Je ne sais comment j’ai pu rester dans cette maison pendant six mois.

Après avoir fait mes derniers exercices, je remercie la professeure et monte dans ma chambre. J’ai eu plus de huit professeures pour différentes matières. Durant ses mois, j’ai appris à me tenir à table, à pouvoir bien m’exprimer en anglais et pleins d’autre choses. J’ai aimé certains cours comme j’en ai détesté d’autre.

 J’espère pouvoir rencontré Alex une fois que j’aurais quitté cette prison doré. J’avais l’impression de m’étouffer. Je demande au garde d’informer leur patron que je venais de finir les six mois de cours qui m’ont été imposer mais comme d’habitude il m’ignore. Je ne peux plus supporter encore une seconde de plus dans cette maison.

S’il ne veut pas me laisser sortir, je vais devoir réfléchir à un plan B pour sortir de cette maison. Après avoir pris ma douche , je m’installe au balcon prendre un peu d’air. Un bouquin en main, j’essai de tuer le temps.

Ben : J’espère que vous êtes prête à rendre visite à votre mère ?

Je sursaute aussitôt.

Moi : Tu m’as fait peur. Tu ne pouvais pas me signaler que tu étais là ?

Ben : Le Boss m’a demandé de vous conduire chez votre mère. J’espère que vous êtes prête ?

Moi : Vraiment je demande exciter. Il est où ton Boss ?

Ben : Où il devrait être.

Moi : Tu sais que tu n’as pas besoin d’être aussi désagréable avec moi. Je pense que tu le sais bien.

Ben : Je vous attends à la voiture dit-il en tournant le talon.

Moi :  Je ne vais jamais comprendre cet homme ainsi que son patron.

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Après un aurevoir aux employés de la maison auxquelles je me suis habitué, je rejoins Ben. Une fois installé, il prend la route pour la maison de ma mère. Je sais qu’il a bien pris soins de ma mère. Il immobilise la voiture devant un immeuble et me demande de sortir.

 Je n’arrive pas à croire que ma mère vivait sous mon nez sans que je ne le sache. Après avoir laisser la voiture au voiturier, nous entrons dans la résidence et il me conduit à l’appartement de ma mère. Elle vit dans la rue la plus luxueuse à Manhattan. Je m’empresse de toquer à la porte et mon petit vient m’ouvrir. Je le prends dans mes bras en lui faisant plus bisous sur le visage.

Moi : Tu m’as tellement manqué mon grand dis-je en mettant ses cheveux en désordre.

Max-well : Arrête. Je viens à peine de me peigner. Je pensais ne plus jamais te revoir. Maman pensait que tu étais morte ?

Moi : Cela allait plus lui alléger les peines je suppose.

Max : Tu nous as abandonné alors qu’elle allait mal. Si ce n’est pas Mr Ben qui nous avait aidé, maman aurait perdu la vie.

Moi : Et maman ne pas demander à savoir pourquoi Ben voulait lui porter aide ?

Maman : Pourquoi devrais-je le faire alors que j’étais sur le point de mourir ?

Moi : Tu aurais su que c’est grâce à moi que tu as pu avoir cet aide et que je ne pouvais pas être présente. J’aurai voulu vous expliquer les choses ou dire ce qui s’étais vraiment passé mais je ne pouvais pas.

Maman : Je suis sur que tu étais en prison. D’ailleurs Carlos nous l’a dit ?

Moi : Arrête de mentir maman. Carlos m’a bien dit qu’il ne vous a pas vu le jour ou il devait vous donner l’argent pour vos soins. Et je peux savoir depuis quand tu penses voler toi je demande à mon frère.

Il se gratte la tête en fuyant mon regard. Ma mère me regarde avec incompréhension.

Maman : Mon fils n’est en aucun cas comme toi. Jamais il ne volera pour une quelconque raison.

Moi : Alors demande lui pourquoi il a demandé un prêt à Carlos et voler en échange du prêt. T’as envie de passer quelques jours en gardes a vu ?

Max : Tu avais promis rentrer mais tu n’es jamais revenu. Et je n’avais pas trouver d’autre choix que…

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Moi : De demander l’aide à Carlos ? Tu sais dans quoi il trempe cet homme. Si j’ai décidé de faire ce genre de job, c’est pour te permettre d’étudier afin que tu ne fasses jamais les mêmes erreurs que moi. Qu’est ce qui t’a pris d’agir sans réfléchir. Donc si Mr. Ben n’était pas intervenu, tu allais voler ?

Max : J’en ai aucune idée. Mais sur le coup, je n’ai pas pensé aux conséquences.

Moi : Plus jamais, tu n’agis de la sorte. Il a toujours un moyen de s’en sortir. Est-ce que j’ai été clair petit je lui demande en lui tirant les oreilles.

Max : J’ai retenu la leçon la grande. Tu me fais mal hurle-t-il.

Je le serre aussi fort que je pouvais dans mes bras. Il m’a tellement man peit frère.

Maman : Jacob, je voudrais que tu abandonnes cette vie dans laquelle tu es. Je ne veux pas que la police vienne taper à ma porte.

Moi : Ne t’inquiètes pas pour ça. Je ne compte plus voler. Pour le moment bien sûr. Je ne promets rien. Vous m’avez manqué maman.

Maman : Mais où étais-tu toute ses mois ?

Moi : Quelques part dont j’en avais aucune idée. Je peux me reposer. J’en ai marre de vos questions.

Je monte dans une des chambres que ma mère avait réservé pour moi. Elle est très bien décorée selon mon gout et tout mes vêtements y sont. Je prends mon bain tout en profitant de chaque minute passer hors de ma prison dorée avant de faire une petite sieste. Je sens une odeur de repas me titiller le nez et je vais rejoindre ma mère en cuisine. Il est avec mon frère et M. Lyon. Mais que fait-il ici ? Il ne me donnera jamais de répit ou quoi ? Je lui tire le bras sous le regard surpris de ma mère et mon frère en l’amenant dans ma chambre. Je ferme la porte à clé et lui fait face.

Moi : Je peux savoir ce que vous faites ici. Je pensais que vous devez me laissez passer  quelques jours avec ma famille avant de commencer à jouer mon rôle.

M. Lyon : Vous avez surement oublié que le contrat n’a toujours pas été signé ? Je suis venu m’assurer que  vous ne faites pas de bêtise. J’ai dix gardes qui surveillent minutieusement cette maison. Et un homme à main qui te tirera dessus si jamais tu essaies de quitter ce lieu.

Moi : Pas besoin de tout ceci. Je n’ai d’ailleurs nulle part où aller. D’où vous vienne vos imagination aussi stupide l’un comme l’autre. D’ailleurs, je peux savoir pourquoi avez-vous renvoyez le professeur Alex ?

M. Lyon : Parce qu’il vous déconcentre. Et ce n’est pas ce que je veux. Pourquoi tu penses te rappeler de lui quand il t’a appelé Jackie mais à chaque fois que je t’appelle ainsi tu ne réagis pas.

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Moi : Ne me dite pas que vous êtes jaloux ? Je ne pense pas qu’on se connaissais. Votre visage, ni votre voix, ni votre corpulence ne me dit rien. Mais lorsque je l’ai vu, j’ai senti un lien que j’avais eu lorsque j’étais petite. Alors comprenez-moi. De plus j’ai vraiment oublié ce qui c’étais passé en ce temps mais cette voix, je le reconnais bien.

M. Lyon : Je comprends.

Moi : Est-ce que je peux le revoir ? C’était mon meilleur ami.

M. Lyon : Il restera toujours dans le passé. Je ne vais pas changer d’avis pour quelqu’un qui ne se connait pas ni encore ceux qu’elle a fréquenté lorsqu’elle était petite. Je vais rejoindre votre mère.

Moi : Quoi ? De quoi parles-tu.

Il sort de la chambre et je le suis. J’essai de lui parler mais il empresse les pas et rejoint ma mère. Ensemble, ils font le diner que nous prenons dans  des fou rires. Je ne connaissais pas M. Lyon comique. Il a été un vrai comique durant toute la soirée. Après avoir discuté avec ma mère pendant un bout de temps, il demande à rentrer. Ma mère m’oblige carrément à le raccompagner. Sous son insistance, j’étais dans l’obligation de le faire. Une fois à sa voiture, il y pénètre tout en me fixant. Il sort un contrat qu’il me tend.

M. Lyon : Tu as cette nuit et la journée de demain pour bien le lire. Nous aurons un diner demain soir. Ben t’apportera une robe et les accessoires. Tout ce que tu auras à faire est d’être présente à ce diner.

Moi : Il y aura d’autres personnes ?

M. Lyon : Contente-toi de faire ce que je t’ai demandé. Ben nous pouvons partir dit-il en fermant sa portière.

Quel homme bizarre. Je suis sur qu’il a eu un enfance vraiment douloureux pour agir de la sorte. Je rentre chez moi me mettre sous la couette. J’espère que tout ceci sera bientôt derrière nous. Comme convenu, j’ai pris toute la journée pour lire le contrat mais je ne comprends absolument rien.

 De toute les manière, ma vie est déjà entre ses mains alors je ne sais sincèrement pas pourquoi je devais avoir peur. Tant que ma famille sera en sécurité, le reste importe peu. Dans l’après-midi, Ben m’apporte la robe et tous les accessoires que je devais mettre.

Je le remercie et il prenait congé. Une heure avant la soirée, je m’apprête pour le diner. J’adore littéralement cette robe. Je ne pensais pas que M. Lyon avait autant de gout en termes de vêtement. Ma mère entre dans ma chambre une fois que je finis de m’habiller.

Maman : Où vas-tu habillé ainsi. Ne me dis pas que tu as encore repris de service ?

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A suivre…

Les chronique de Nice
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