GUERRE ENTRE SOEURS
CHAPITRE 56
🤧🤧
- Naissance des jumelles de Donnell
- Préparation d'une demande en mariage
À l'hôpital , Fabiola était déjà en salle d’accouchement, et Donnell attendait des nouvelles dans le hall.
Trente minutes plus tard, ses frères Delvin et Delrick arrivent.
Delvin et Delrick : calme-toi, frérot.
Donnell : comment veux-tu que je me calme ? Ils sont là-dedans depuis un moment et j’ai peur, elle avait très mal.
Une infirmière approche d’eux.
Infirmière : qui est monsieur Donnell ? Qu'il me suive, s'il vous plaît.
Donnell : c’est moi.
Infirmière : suivez-moi, monsieur, si vous voulez aider à sauver votre femme et votre enfant.
Ils entrent ensemble dans la salle et Donnell se précipite vers Fabiola, qui pleurait et transpirait.
Donnell : mon ange, je suis là. Tiens bon et pousse fort, tu peux le faire, mon cœur.
Fabiola : imbécile, c’est de ta faute tout ça ! Ahhh !
Sage-femme : poussez, madame, nous voyons déjà la tête, encore un effort.
Fabiola : j’ai trop mal !
Donnell : ma puce, fais un effort, tu vas y arriver, tu es forte, vas-y, dit-il en lui embrassant la tête.
Fabiola pousse de toutes ses forces, jusqu’à ce qu’un cri de bébé retentisse dans la pièce.
Sage-femme : c’est une fille, félicitations !
Donnell : merci, mon amour, pour cette princesse, dit-il en embrassant Fabiola.
Fabiola : je t’aime, mon ange... Ahhh ! crie-t-elle de douleur.
Donnell : mais qu’est-ce qu’elle a ? demande-t-il, inquiet, avec sa fille dans les bras, regardant Fabiola qui souffre.
Sage-femme : je crois qu’il y a un autre bébé, poussez encore, madame.
Sous les encouragements de Donnell, Fabiola pousse à nouveau, donnant finalement naissance à leur deuxième bébé.
Donnell, aux anges, tient ses deux petites merveilles dans ses bras pendant que la sage-femme s’occupe de Fabiola.
Quelques minutes plus tard, Donnell sort de la salle et rejoint sa famille, qui était inquiète.
Adriana : alors, dis-nous, frérot, comment ça s’est passé ?
Donnell : je suis père ! crie-t-il, heureux, en prenant sa sœur dans ses bras.
Adriana : mes félicitations, mon frère chéri.
Sofia : félicitations, mon fils, dit-elle en le prenant dans ses bras.
Delvin et Delrick : félicitations, frérot ! Mais dis-nous, c’est une fille ou un garçon ?
Donnell, souriant : deux filles, des jumelles !
Ses frères le prennent à nouveau dans leurs bras, tandis que la joie éclate parmi eux. Ils se dirigent ensuite tous ensemble vers la chambre où se trouvent Fabiola et les bébés. Ils la félicitent et restent autour des petites.
Plus tard, Julie les rejoint après son travail, et Delrick en profite pour annoncer la grossesse de sa compagne.
Michael et sa famille n’étaient pas là, car Adriana n’avait pas eu le temps de les prévenir.
ADRIANA FONSECA
Je suis tellement heureuse d’être tata. Depuis que j’ai appris qui était mon père en réalité, je n’étais pas moi-même. C’était mon héros et là, j’apprends qu’à cause de ses choix, la vie de l’un de ses enfants a été gâchée. Michaël m’a soutenue durant cette période pour éviter que je sombre à cause de notre fils. Est-ce que je lui ai pardonné ? Non, je n’y arrive pas. Je ne sais pas comment ou pourquoi il a couché avec Yvonne sans que je ne le sache. Ce qui me fait mal, c’est qu’il ne s’est même pas justifié quand je lui ai demandé. Au contraire, il m’a crié un "oui, et alors". Cette phrase m’a transpercé le cœur.
Je viens d’arriver à la maison. Ils sont tous couchés, je pense, vu que j’ai duré à l’hôpital. Je n’ai même pas eu le temps de les prévenir.
J’entre dans ma chambre et me déshabille, lorsque la lumière s’allume sur un Michaël qui me lance des regards glacials. Mais il a quoi ?
Michaël : je peux savoir d’où tu sors à cette heure ?
Moi : j’étais au boulot puis...
Il me coupe sans me laisser finir.
Michaël : ne me mens pas, je peux savoir avec qui tu étais et ce que vous faisiez pour que tu rentres à cette heure de la nuit ? crie-t-il.
Non mais il se croit où là ? Il pense vraiment qu’il peut me parler comme ça ?
Moi : tu redescends d’un ton avec moi. Avec qui j’étais et ce que je faisais, ça ne te regarde pas, Michaël. Je t’ai bien dit que c’était fini entre nous, et je n’ai plus aucun compte à te rendre sur mes agissements. Je peux même coucher avec un autre, ça ne te regarde pas, compris ?
Michaël : ADRIANA, crie-t-il en me plaquant contre la porte, me regardant droit dans les yeux.
Moi : quoi, ça blesse de savoir que la personne qu’on aime couche avec une autre ?
Michaël : écoute-moi bien, tu es à moi, et si jamais tu oses te donner à un autre, je te jure sur la vie de mon fils que je vais vous tuer, ton amant et toi, puis aller en taule, dit-il en me regardant sombrement.
Moi : pourtant, toi, tu n’as pas hésité à coucher avec ma sœur, non ?
Michaël : je ne l’ai pas fait consciemment, bébé. Je te jure qu’elle m’a drogué, dit-il en redevenant tendre, le regard suppliant.
Oui, je le crois, car Yvonne était capable de tout, mais je ne vais pas lui pardonner tout de suite. Il m’a quand même fait mal avec ses agissements, surtout en l’embrassant devant moi à tout moment et en lui disant des mots d’amour qui étaient censés être pour moi seule.
Moi : elle t’a aussi forcé à l’embrasser à chaque fois devant moi, non ?
Michaël : mon amour, c’était juste un plan pour vous sortir de là. Je savais que si Yvonne croyait m’avoir, elle allait vous laisser partir, et je...
Moi : je ne veux plus savoir le reste. Laisse-moi juste te dire que ton comportement m’a blessée et je...
Il me coupe.
Michaël : et j’en suis désolé, mon ange, dit-il en me caressant les lèvres.
Le simple contact de ses doigts avec mes lèvres réveille tous mes sens, et mon corps frémit.
Moi : je... arrête, s’il te plaît.
Michaël : sinon dis-moi bébé, dit-il en me pinçant le téton, car j’avais déjà enlevé mon haut.
Moi : je n’aime pas ça, je...
Il ne me laisse pas finir avant de capturer mes lèvres. Je lui réponds avec ferveur, car ses lèvres m’ont trop manqué, tellement elles sont délicieuses. J’entoure son cou de mes bras pour approfondir le baiser. Il me soulève par les fesses et j’agrippe sa taille avec mes jambes. Je peux sentir la pression de son sexe frottant contre le mien, malgré mon string, et je suis très contente de savoir que je suis l’auteur derrière cette bosse.
Michaël, m’embrassant comme jamais : tu me rends fou, bébé.
Moi : toi aussi, mon amour, je... ahhh, crie-je lorsqu’il me mordille le cou.
Michaël : j’ai envie de te faire l’amour jusqu’au petit matin, tellement tu m’as manqué. Je t’aime. Ahh, oui, tu me rends dingue, dit-il en mangeant mes seins comme un obsédé, me faisant gémir.
Moi : Ash... oui... hmmm, bébé... ah, dis-je en appuyant sa tête sur mes seins qu’il dévore comme un affamé, me faisant gémir de plaisir.
Il descend un peu plus vers mon bas-ventre, tout en me couvrant de baisers.J'aimerais tellement le repousser, mais je n'y arrive pas, surtout à cause de ce qu'il me fait là. Il remonte ma jupe, puis descend mon string avant d'envoyer sa tête entre mes cuisses. Lorsque sa langue se pose sur mon clitoris, j'hurle !
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Moi : AHHHH, MICHAËL !
Je ne peux m'empêcher de hurler tellement il me dévore les lèvres vaginales, comme un fou, en y ajoutant un doigt.
Michaël : Arrête de crier comme ça, tu vas réveiller les parents, dit-il, tout en continuant son travail et fermant ma bouche d'une main, tandis que l'autre s'active avec sa langue pour me donner du plaisir.
Moi : Je p... peux pas... c’est ta faute… tu... ahhh, c’est trop bon, je… ahhh...
Michaël n'y va pas doucement. Il fouille dans mon sexe comme il le veut, pinçant mes tétons par moments. C'est trop, mais je dois l'arrêter. S’il pense pouvoir m’avoir ainsi , il se trompe . J’aime ce qu’il me fait, mais non, je vais encore lui faire la tête.
Lorsque j'atteins l'orgasme, il se redresse puis sort son sexe, prêt à attaquer. Ah, j’aimerais tellement qu’il me fasse crier son nom avec ça, surtout avec son préservatif, qui me donne des idées pas très catholiques. Mais je dois résister.
Michaël : Je t’aime, bébé, dit-il en frottant son sexe contre ma chatte bien mouillée, prêt à me pénétrer, lorsque je le repousse brutalement en réunissant le peu de force que j'avais.
Moi : NON ! dis-je en le repoussant.
Michaël : Mais bébé, qu’est-ce que tu fais ? S'il te plaît, laisse-moi te faire l’amour.
Moi : Non, tu ne vas pas m’avoir comme ça ! dis-je en courant vers la salle de bain, en riant.
Michaël : Non, reviens, s'il te plaît, bébé, j’ai mal ! Pardon ! dit-il en frappant à la porte.
Moi : C’est ta punition, tiens bon ! dis-je en ouvrant l’eau, le cœur battant la chamade.
Rien que de penser à ce qu’il me faisait il y a quelques minutes, je mouille encore plus. Non, j’ai vraiment le meilleur homme au monde.Lorsque je sors de la salle de bain, la tête qu’il fait me fait rire, surtout le regard qu’il me lance avant d’entrer dans la douche, sûrement pour refroidir son envie. Je vais embrasser mon fils avant d’aller dormir. J’avais déjà mangé à l’hôpital.Le lendemain matin, lorsque je me réveille, il est 9h. Merde, j’ai trop dormi. Je jette un coup d'œil à mon homme et remarque qu'il dort profondément. Le pauvre, à cause de la douleur, il n’a pas pu trouver le sommeil rapidement cette nuit. Je pouvais le sentir se retourner jusqu'à 3h du matin. Moi-même, je n’arrivais pas à dormir en sachant cela. J’aurais aimé lui faire une fellation, mais il aurait sûrement refusé. Je regrette de l'avoir laissé ainsi. Je lui caresse tendrement les cheveux, il sourit dans son sommeil.
Moi : Je t’aime tellement, dis-je en le regardant dormir comme un bébé.
Je jette un coup d'œil dans le berceau de mon fils, mais il n'y est pas. Pas de panique, c’est sûrement ma belle-mère qui l’a pris. Elle aime tellement son petit-fils. Je vais me doucher et me préparer, car je dois aller voir Fabiola à l’hôpital aujourd'hui et voir mes nièces.Je descends pour le petit-déjeuner, et mes beaux-parents étaient également là, avec leur petit-fils. Une fois le petit-déjeuner terminé, je pars pour l’hôpital après avoir informé les parents de Michaël de l'accouchement de Fabiola. Ils ont promis de passer la voir aussi.
Ringo
Actuellement, je suis vraiment perdu, car j'aime vraiment Yvonne de tout mon cœur, mais j'ai tellement peur de lui déclarer ma flamme. M'acceptera-t-elle ou bien va-t-elle me rejeter ? Mais je suis un homme, et je ne dois pas m'avouer vaincu.Je passe un coup de fil et fais une réservation à l'un des hôtels les plus chics et branchés de la ville, le Radisson Blu Palace, et je leur demande de nous organiser un dîner aux chandelles dans le jardin près de la piscine, car je compte lui faire une surprise. J'appelle alors un de mes stylistes préférés, Valentino, afin de confectionner une magnifique robe pour l'occasion. Je vais dans sa chambre, et je la vois allongée sur son lit.
Moi : Bonsoir Yvonne !
Elle : Salut toi !
Moi : Tu nous avais promis de te remettre vite sur pied. Alors, je t'invite à une soirée de mariage d’un bon ami à moi, princesse, et je ne veux pas d’un "non" comme réponse.
Elle : Oh, je n'en ai pas envie, s'il te plaît !
Moi : Non !
Elle : Bon, ok, c'est bon !
Moi : Je préfère ça !
Quelques minutes plus tard, c’est le livreur qui arrive avec le colis, et la servante l'apporte.
Servante : Bonsoir, Mme Yvonne, ce colis est pour vous.
Elle : Mais c'est de la part de qui ?
Moi : C’est pour toi. Fais-toi belle pour ce soir, car tu seras ma cavalière !
Elle : Ah, vraiment ?
Moi : On se voit tout à l'heure, princesse !
Je sais qu'elle pense que nous allons à une soirée, alors que je lui ai réservé une autre surprise. Je rentre alors dans la douche pour prendre un bain relaxant et me mets sur mon trente-et-un. J'opte pour un smoking trois pièces fait sur mesure avec des chaussures classiques. Je me parfume avec mon parfum préféré, Pandora, et je mets ma montre Rolex. Même si je suis un trafiquant, je m'habille toujours avec style. Je sors dans le grand salon pour l'attendre. Ah, les femmes, toujours là à nous faire attendre, mais au fond, on est faits pour ça, nous, les hommes .