SUBLIME VENGEANCE 28
Bonne lecture
CHAPITRE 28 : Les larmes de l’âme
La petite plume
Les larmes lavent l’âme mais ne le guérit pas
28. LES LARMES DE L’ÂME
Les larmes lavent l’âme mais ne le guérisse pas
ALEXANDRE
Je suis rester dans l’ombre tout ce temps incapable de faire face à la vérité
Je repensait à Danielle, à cette façon qu’elle m’avait regarder quand elle avait appris la vérité
Je savais qu’elle était dévastée, qu’elle me détestait mais je ne pouvais pas l’en vouloir
Je devais m’attendre à tout ça, Jean me l’avait bien dit et j’avais fait le moue
Je ne m’étais pas préparé à cette tragédie, cette femme avait changé ma vie à tout jamais
J’avais beau me remettre au travail encore et encore mais je n’arrivait pas à me concentrer
Je me sentais perdu, incapable de prendre une décision,
je savais que j’aurais dû être là pour elle
Mais je n’avais pas de force encore moins de courage,
j’étais dans mon bureau perdu dans mes pensé quand le téléphone fixe sonna
« Oui »
« Monsieur votre femme demande à vous voir »
Mon cœur se mit à s'accélérer, mon Dieu qu’est-ce qu’elle voulait ?
Je devrais plutôt me réjouir noh? Où bien pas
« Faites là entrer »
J’étais stressé, comme si je m’apprêtais à rencontrer un gros client
Plusieurs questions me traversaient l’esprit, mais elle tarda à rejoindre mon bureau
Elle aurait déjà dû être là, qu’est-ce qu’elle fait ? Est-elle aussi autant angoissée que moi?
Sûrement, mais elle devrait être beaucoup plus furieuse je crois
Elle devait sûrement être devant la porte à hésiter à entrer, ce qui est tout à fait normal
J’ai pris mon courage à deux mains avant d’aller ouvrir la porte, mais elle n’y était pas
Il n’y avait personne, « Où est ma femme ? » ai-je interrogé la secrétaire
« Elle est partie il y’a un moment, vous ne l’avait pas vu? »
Je suis immédiatement retourné dans mon bureau,
sentant une douleur intense dans ma poitrine
Je réalisais que j’avais perdu tout droit de la revoir, de la touchée,
je l’avais blessé de nombreuses fois
Je ne pouvais pas rester les bras croisées à ne rien faire, elle avait droit à des explications
C’était à moi de courir vers elle et non le contraire, je pris mon portable et appela jean
Avant de rejoindre le parking « conduis moi à l’hôpital »
Elle devait s’y trouver, du moins c’est par là que je devais commencer mes recherches
Je ne l'avais pas vu ses deux derniers jours,
je savais que Jean saurait dans quel hôpital elle se trouvait
Nous sommes enfin arrivés après le trafic insupportable de la route
Moi qui était impatient de la voir, je n’étais plus si sûre, je ne savais même pas quoi lui dire
Je suis rester dans la voiture pendant au moins une demi-heure avant d’y sortir
Je me conduit dans la salle que me indiquer Jean,
il m’a fait savoir que Martha lui rendait visite régulièrement
J’en avais honte, c’était à moi de le soutenir mais je l’ai laisser tomber
Pourtant, elle a toujours été la pour moi, malgré mes mauvaises humeur
Je me rappelle encore ce soir là où elle m’a dit qu’elle m’aimait…si j’en avais des doutes ?
Et bien ils se sont tous envolés, seule une femme amoureuse
peut être aussi patiente et tolérante
Une femme amoureuse…oui elle m’aimait, j’avoue que je ne n’avais jamais pensé a cette hypothèse
Je n’avais jamais eu l’impression que je pouvais être aimé,
c’est sans doute pour cette raison que je l’ai tant fait souffrir
J’ai ouvert la porte de la chambre, au centre de trouvait un grand lit
et cette femme u était couché
Je l’avais oublié celle-là, néanmoins, la voir dans cet état m’a chamboulé, elle était endormie
De toute les façons je n’étais pas ici pour elle, Sandra était assise
sur le canapé de l’autre côtés de la pièce le regardant avec une certaine réserve
Je compris tout de suite qu’elle savait tout. Mais je ne voyais Danielle nulle part
« Où est-elle » lui ai-je demandé d’un trait, je n’avais pas le temps pour les formalités
« Je n’en ai aucune idée »
« Comment ça tu n’en a aucune idée ? » me suis je exclamé sûrement un peu trop fort
Car la femme sur le lit s’est mis à tousser, Sandra
s’est précipité à son chevet et lui a donné un peu d’eau
J’étais nerveux et furieux à la fois
« Alexandre » a dit la femme d’une voix faible
« Mon fils » a t’elle enchaîné, comment osait elle m’appeler ainsi
« Sandra s’il te plaît dis moi où elle est c’est important, j’ai besoin de lui parler »
Je voulais sortir de cette pièce, j’étouffais à la limite
« Nous ne savons pas où elle est partie » à dis la femme, elle a toussé avant de continuer
« …je l’ai dis que tu étais mon fils sa l’a chamboulé et elle est sorti de la pièce »
« Et voilà l’avez laissé faire »
« Elle avait besoin d’être seule pour réfléchir »
Je suis immédiatement sorti de la pièce malgré le fait qu’elle m’a interpellé une nouvelle fois
Je n’avais plus rien à lui dire, je devais retrouver Danielle,
alors comme ça elle n’était pas certaine de la vérité
Je devais lui donner ma version des faits, même si elle ne me pardonnait pas, je devais le faire
Je suis sorti de l’hôpital ne sachant pas par où commencer, il se faisait tards
Où a t’elle bien pu aller a cette heure? Comment est-ce qu’elles ont pu la laisser partir ?
Bon sang je suis sans dessus dessous « vous voulez je vous amène ailleurs monsieur ? »
Avais dis jean qui venait de me rejoindre
« Oui Jean mais je ne sais pas où »
« Je ne vous comprends pas »
« Danielle…elle n’a pas ici et elles ne savent pas où elle se trouve…
tu avais tout à fait raison, j’aurais dû tout lui dire…arrêter ce jeu stupide »
« Ne vous inquiétez pas monsieur, elle n’a pas pu aller bien loin,
allez venez montez on va la retrouver »
« Je préfère qu’on se sépare, vous allez a la gauche et moi à la droite,
la première personne à la retrouver informe l’autre »
C’était peut être une perte de temps, elle aurait pu aller chez une amie
Mais non, sa seul amie était Sandra et celle-ci était avec sa mère,
où alors elle avait une autre amie ? Un autre confident ?
Je regrettai de ne pas avoir pris le temps d’apprendre à la connaître,
de savoir où elle se refugeais quand elle avait des problèmes, quand elle voulait réfléchir
J’avais fait le tours des Parks, des églises des environs et elle n’y était pas, je ne savais plus où chercher
J’avançais dans toute fois vraiment réfléchir, il y avait une foule au milieu de la route non loin
Sûrement un accident…un accident…oui un accident, j’ai tout de suite pensé à Danielle mon Dieu
Et si c’était elle, et si elle était tellement boulversé par cette nouvelle
qu’elle n’a pas fait attention en traversant la route
J’eu des sueurs froides à cette pensée, plus j’avançais plus j’avais peur que soit elle
« Oh seigneur pauvre femme…et le chauffard s’est enfuie…la pauvre elle ne s’en sortira pas »
Les commentaires des passagers me faisaient de plus en plus peur…
c’était bien évidemment une femme et l’accident était très grave
J’accélérai le pas, mon téléphone se mit à sonner mais je n’y prêtait pas attention
J’arrivais au lieu de l’accusé essayant de m’y frayer un passage
« Où cette ambulance, que si on ne parvient pas à sauver la mère ou moins que l’enfant survive »
J’avais réussi à passer, ce n’était pas elle, ce n’était pas ma Danielle, j’étais soulager
C’est peut-être ruelle de ma part mais je l’étais, c’est vrai que
c’était également sûrement la femme de quelqu’un, en plus elle était enceinte
Mais je ne pensais pas à cela, mon portable se mit de nouveau à retentir
« Oui jean, je l’ai trouvé monsieur, elle est avec moi »
« Elle va bien? »
« Je n’en suis pas si sûre, ce qui n’est pas étonnant,
elle ne veut pas vous voir, je le ramène à l'hôpital »
« j’ai besoin de lui parler jean, passez me chercher » je lui donne mon adresse
Et ils ne tardent pas à me rejoindre, Danielle sort de la voiture quand elle me vois
« Je t’ai dis que je ne voulais pas le voir Jean »
« Ce n’est pas de sa faute, il faut qu’on parle »
Avais-je dis en la rattrapant
« Trop tards, je ne veux pas t’écouter, je ne veux plus t’écouter »
Elle s’est arrêté, s’est tournée, elle m’a regardé puis m’a gifler, une fois, deux fois, trois fois,
Elle est à ensuite commencé à me donner plusieurs coup sur le torse
Je l’ai laissé faire biensure « je suis désolé Danielle, je ne voulais pas… »
« Tu es un monstre, je n’arrive pas à croire ce que tu m’a fait, pourquoi moi?
Mon dieu te rend tu compte de ce que tu as fait ? Tu me dégoûte »
Elle s’est éloignée et s’est mis à vomir, elle avait l’air horrifiée, echoeure par moi, je l’étais aussi
« Je suis désolé » c’est tout ce que je trouvais a dire sur le moment
J’avais besoin qu’elle se calme avant de lui parler pour qu’elle puisse bien assimiler
« Désolé ? Désolé ? Je suis ta sœur…tu m’a exposée, tu as couché avec moi…
mon dieu on a fait l’amour plus d’une fois pourtant je suis y’a sœur »
« Quoi? »
« Maintenant tout s’explique, je comprends pourquoi tu me repoussait ainsi, mais…mais…
qu’est-ce que tu espérais au juste? Peu importe, je ne veux pas t’écouter, rien,
je dis bien ne pourras réparer ce que tu m’a fait »
Elle voulait s’en aller mais je l’ai reconnu
« Ne me touche pas, ne pose plus jamais tes salles patte sur moi » à t’elle hurler
« Bon sang Danielle je ne suis pas ton frère »
« Arrête de me mentir, maman me l’a confirmer, pour une fois assume tes erreurs »
« Oui cette femme est…ma génitrice mais… »
« Mais quoi? »
« Mon dieu Danielle que ta t’elle dis? »
« Que tu es son fils, qu’elle a eu un premier mariage, qu’elle t’a abandonné, c’est pour ça que
tu m’a épousée hein? Pour te venger, tu étais furieux qu’elle m’a élevé moi et pas toi »
« Que ta t’elle dis d’autre ? »
« Qu’elle importance ? »
« C’est important, ce n’est pas toute l’histoire Danielle »
« Le plus important à été dis tu es mon frère, tu as commis un inceste,
je n’arrive pas à croire j’ai pus tombée amoureuse de toi »
« Je ne suis pas ton frère Danielle, traite moi de tout ce que tu veux mais je ne suis pas aussi
horrible voyons, je ne coucherais jamais avec ma sœur, tu crois vraiment que j’aurais pu éprouver
autant de plaisir dans les bras de ma sœur ? Que j’aurais pu désirer ma sœur comme je te
désire ? Tu es beaucoup plus intelligente que sa voyons »
« Qu’est-ce que tu veux insinuer ? »
« Qu’est-ce qu’elle t’a dis d’autre ? »
« Je…rien…je ne sais pas…je suis parti quand elle m’a dit que tu étais son fils,
qu’il y’a t’il d’autre? »
« Ce n’est pas à moi de te le dire, allons y elle va t’expliquer »
« J’en ai marre de tout ces cachoteries, dis le moi tout de suite »
« Danielle »
« Je veux la vérité »
« Danielle…cette femme..,elle n’est pas ta mère »
« Qu’est ce que tu racontes ? »
« C’est la vérité »
« Tu dis n’importe quoi, et qui je suis alors? J’ai été adopté c’est sa? Tu racontes n’importe quoi »
« Elle pourra te le confirmer »
Elle est rester un bon moment sans aucune réaction, Son regard était vide
Je ne l’avait jamais vu dans cet état, je me détestait pour l’avoir infligé autant de peine
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