GUERRE ENTRE SOEURS
CHAPITRE 53
Yvonne yakooo
- Yvonne est inconsolable après la mort de son bébé
Je me réveille ce matin avec des courbatures. J’ai trop mal à l’entrejambe. Oui, je me souviens de cette nuit ; c’était la plus belle de toute ma vie. Malgré tout ce que Michaël m’a fait endurer ces derniers temps, je l’aime toujours autant. Hier soir, nos corps étaient en symbiose. J’essaie de me relever lorsque je remarque des regards familiers sur moi. Il s’agit de mon père, ma mère, mes beaux-parents, Delvin et Alma. Non, non, cela veut dire qu’il m’a envoyée ici et qu’il est avec cette femme. Michaël l’a choisie au lieu de moi. Je ne peux empêcher mes larmes de couler.
Ma mère s’approche.
Maman : ma puce, pourquoi tu pleures ? Dis-moi.
Comment lui expliquer que l’homme de ma vie m’a trompée et mentie, et qu’il a préféré rester avec une autre femme ?
Papa : mon ange, parle-moi, s’il te plaît.
Je le déteste. Oui, je te hais, Michaël Unanov. Pourquoi, pourquoi n’es-tu pas revenu avec nous ? Aimes-tu autant cette femme ? Et moi, comme une idiote, je me suis laissée à toi hier, corps et âme.
Miguel : ma fille, pourquoi pleures-tu ? Il s’est passé quoi, et où est Michaël ?
Moi, avec rage : je le hais. Je le déteste. Michaël n’est qu’un menteur. Il m’a menti et trompée, et il a préféré rester avec cette bonne femme.
Angela : mais de quoi tu parles, ma fille ?
Moi : votre fils est resté avec Yvonne…
C’est ainsi que je leur raconte ce qu’il s’est passé, et ils sont tous bouche bée.
Miguel : mais comment peut-il faire cela ?
Moi : je ne veux plus jamais le revoir.
J’éclate en sanglots dans les bras de ma mère qui me console.
Angela : écoute, ma fille, je suis désolée pour ce que mon fils a fait, mais je suis certaine qu’il doit y avoir une raison derrière cela. Et cette Rebecca, je vous l’avais bien dit, qu’elle cachait quelque chose, mais…
Miguel : stp, Angela, ce n’est pas le moment.
Je vais me relever et, si Michaël a choisi cette femme, c’est qu’il l’aime. Alors, je vais respecter sa décision. À partir d’aujourd’hui, seul mon fils compte.
Parlant de lui,
Moi : et mon fils ?
Alma : calme-toi, belle-sœur, notre prince est là. Il dort après avoir pris son bain et son lait.
Moi : merci, Alma.
Angela : repose-toi maintenant, ma fille. Nous allons parler après.
Jusqu’à là, mon père ne dit plus rien. Il a l’air soucieux et me regarde avec culpabilité, comme s’il avait quelque chose à se reprocher.
Ils sortent tous de la chambre. Après quelques minutes, je vais me laver puis je reviens me coucher. Je ne peux m’empêcher de penser à cet idiot. Toutes les scènes de cette nuit me reviennent en boucle dans ma tête, et rien que d’y penser, je mouille ma culotte. Hier soir, il m’a prise comme jamais auparavant. Je me demande ce qu’il fait actuellement, s’il pense à moi.
De l’autre côté, Yvonne venait de se réveiller et tombait sur Michaël qui la fixait. Celui-ci se demandait comment elle pouvait vouloir faire du mal à sa propre sœur pour un homme.
Yvonne : mon bébé, dis… dis-moi qu’il va bien.
Michaël : je suis désolé, mais il n’a pas survécu.
Yvonne : NONNNN, dis-moi que tu mens.Michaël : Non, je…Yvonne : Tout ça, c’est de la faute à cette fille et je vais en finir avec elle une fois pour toutes, dit-elle en se levant avec une arme dans les mains, direction la chambre d’Adriana. Elle est suivie de Michaël.Elle entre dans la chambre, fouille partout, mais rien.Yvonne : Où es-tu, Adriana ? crie-t-elle, mais rien.Elle s’en va au salon pour la chercher mais ne la trouve pas. Michaël croise les bras et la regarde crier.Yvonne : MAIS OÙ CETTE GAMINE DE MERDE ? crie-t-elle en tirant en l’air.Michaël : Partie.Yvonne : Comment ça, partie ?Michaël : Elle est actuellement chez nous et en sécurité, donc tu ne pourras pas la tuer, Yvonne, même si tu essayais.Yvonne : Ahhh, comment as-tu pu ?Michaël : Je protégerai ma famille au péril de ma vie, et c’est pourquoi j’ai joué la comédie avec toi en attendant de trouver une solution pour la sécurité de ma femme et celle de mon fils.Yvonne : Donc tu t’es joué de moi ? dit-elle en larmes.Michaël : Et oui. Maintenant, dis-moi comment une grande sœur peut vouloir la mort de sa petite sœur ?
Yvonne : Parce qu’elle a toujours eu tout ce qu’elle voulait et bénéficie de l’amour d’une mère, ce que je n’ai pas. Donc je ne vais pas lui laisser ton amour aussi. Je préfère la tuer pour t’avoir.Michaël : Non, mais tu es une vraie tarée, ma parole. Même si tu la tuais, jamais je ne t’aimerai, car j’ai ta sœur dans ma peau. TU COMPRENDS CELA ? JE N'AIME QU'ADRIANA, OUI, ELLE ET ELLE SEULE. ET SI JE NE SUIS PAS PARTI AVEC ELLE CE MATIN, C’EST POUR ESSAYER DE TE FAIRE ENTENDRE RAISON, CAR TU ES EN QUELQUE SORTE UN MEMBRE DE SA FAMILLE.Yvonne : Non, tais-toi ! crie-t-elle en visant Michaël.Michaël : Tu n’es pas méchante, Yvonne, et je sais que tu ne vas pas tirer sur… AHHH ! crie-t-il de douleur.Elle venait de lui tirer une balle dans la jambe.Ringo arrivant : NON MAIS TU ES FOLLE OU QUOI, YVONNE ??Yvonne : Oui, je suis folle.Michaël : Merde, envoyez-la dans un hôpital psychiatrique, voyons.Ringo aidant Michaël : Je vais appeler le docteur pour voir ta chambre, dit-il en l’aidant à aller dans une chambre.Il appelle le docteur puis sort au salon où il voit Yvonne en train de pleurer comme un bébé.Yvonne : Je veux son bébé.
Ringo : Calme-toi, ma belle, ça ira, dit-il en la prenant dans ses bras. Elle le serre fortement.Yvonne : Ringo, il s’est joué de moi. Il ne m’aime pas, c’était juste un plan pour faire partir ma sœur et elle a tué mon bébé. Et puis…
Ringo : Chut, mon amour. Ça ira, dit-il en l’embrassant dans les cheveux et en la serrant dans ses bras.Dans le même moment, le docteur entre dans le salon.Ringo : Dans la chambre à côté de celle de la patronne. Il a reçu une balle.Docteur : Ok, répond le docteur en s’en allant.Ringo soulève Yvonne puis s'en va avec elle dans sa chambre. Il la dépose sur son lit puis sort une fois qu’elle s’est endormie.
Dans son bureau, nous voyons Thomas qui parle au téléphone.…… : Oui, Boss, votre jet privé est prêt pour le voyage.Thomas : Merci, mon fidèle ami. Je pense sortir ma fille de cette vie-là aujourd’hui même, qu’elle le veuille ou non.….. : Oui, c’est le mieux à faire, sous votre respect.Thomas : Je vais laver son nom également et lui offrir une belle vie. Je crois qu’il est temps que j’abandonne la gouvernance du pays.…… : Non, monsieur, ne faites pas cela, car après tout, vous dirigez bien le pays.Thomas : Mais je l’ai détruit également avec mon autre vie et je ne mérite pas ce poste, Hilton.…… : Comme vous voulez, Boss. Je serai toujours là pour vous, peu importe les circonstances.
Celui-ci raccroche et se dit qu’il espère prendre la bonne décision. Sa femme et ses enfants ne vont peut-être pas lui pardonner, mais il ne veut plus se cacher.
TROIS JOURS PLUS TARD
Michaël allait mieux maintenant après la balle reçue, et Yvonne se remettait également de la perte de son bébé. Adriana a repris son stage, malgré le désaccord de ses parents, car elle pourrait néanmoins se faire kidnapper encore. Mais madame s’entête et y va avec son garde du corps personnel.À l’endroit où Jordan est maintenu captif, nous voyons Tatiana qui vient d’entrer dans la cave. En voyant son état, elle court vers lui en larmes.Tatiana : Mon amour !Mon Dieu, regarde ce qu’ils t’ont fait, dit-elle en le touchant.Jordan : M... ma p... puce, ç... ça va, dit-il faiblement à cause des nombreux coups reçus. Chaque jour, les hommes de Bruno venaient le torturer.Tatiana : Je suis tellement désolée. Tout ça, c’est de ma faute.Jordan : Chut, ma belle. Vas-y rester avec Sarah avant que Bruno ne rentre, sinon il risque de te faire du mal en te voyant ici.Tatiana : Comment tu sais pour elle ?Jordan : Elle est de notre côté. Tout ça finira bientôt. Vas-y, bébé, je t’aime. Prends soin de notre bébé.Tatiana : Je t’aime aussi, dit-elle en l’embrassant malgré le sang sur son visage.…… : Tiens, tiens, que vois-je là, dit Bruno en entrant dans la pièce.Tatiana : Tu es un monstre. Je te hais. Comment peux-tu faire ça à un être humain ? crie-t-elle en colère.Bruno : J’ai tous les droits, car cet homme a osé poser les yeux sur ce qui m’appartenait, dit-il en l’empoignant par le bras.
Elle se dégage de lui et lui donne une claque.SPLASHBruno : Tu n’aurais pas dû, dit-il en lui donnant un coup de poing au visage, suivi d’un autre au niveau du ventre.
Jordan : Arrête, s'il te plaît, ne la frappe pas. Frappe-moi à sa place ! crie-t-il.Tatiana : Aïe, mon ventre, non...
Jordan : S'il te plaît, ne frappe pas, dit-elle en se protégeant le ventre, mais il ne l’écoute pas et commence à la battre sous le regard impuissant de Jordan, qui lui crie d’arrêter.Bruno : Prends ça, sale chienne !Tatiana : S'il te plaît, arrête, mon bébé... S'il te plaît, pour l’amour du ciel.
Bruno : Bébé ?? Non, ne me dis pas qu’il t’a mise en cloque.Tatiana : S'il te plaît, épargne mon bébé.Bruno : Eh bien, de mon vivant, il ne verra jamais le jour, ce mioche. Autant en finir avec lui aujourd’hui, dit-il en l’entraînant de force.Jordan : TATIANAAA ! crie-t-il en essayant de se libérer, mais c’est en vain.
Bruno sort de la cave avec Tatiana et tombe sur Sarah, qui avait gardé une glace sur sa tête.Sarah : Espèce de taré, tu as failli me tuer, dit-elle en voulant s’attaquer à Tatiana, mais Bruno l’arrête.
Bruno : Je peux savoir pourquoi elle était dans la cave ?Sarah : Elle voulait aller aux toilettes et je l’ai détachée comme d’habitude, pensant qu’elle allait juste se libérer, mais elle m’a cogné avec une vase sur la tête, patron.
Bruno : C’est bon, de toute façon, je vais lui régler son compte à l’hôpital, dit-il en traînant Tatiana, qui, malgré sa faiblesse, lui demande de ne pas lui arracher son bébé.
Lorsque sa voiture sort de la propriété, Sarah court au sous-sol pour libérer Jordan. Elle tire sur les chaînes pour le défaire.Sarah : Tu vas bien ? dit-elle en l’aidant à se relever.Jordan : Ça... ça ira, mais s'il te plaît, sauve-la. Il va lui faire avorter à l’hôpital.
Sarah : Il ne pourra pas, je te le promets, dit-elle en composant un numéro.…….. : Oui, allô, nous arrivons.Sarah : Allez directement à l’hôpital central. Il y va actuellement pour faire avorter la femme de Jordan.……. : Ok, monsieur, faites demi-tour.
Elle aide Jordan à sortir de la cave. Une fois au salon, elle tombe sur deux hommes de Bruno. Ils veulent tirer, mais elle est plus rapide, car les hommes se retrouvent à terre, une balle dans la tête, dans les secondes qui suivent.
Elle tire Jordan, qui s'était évanoui, jusqu’à une voiture puis démarre.
À l’hôpital, Bruno vient d’arriver avec Tatiana. Une fois dans le hall, il la jette, et elle manque de tomber ; heureusement, elle est rattrapée par une infirmière.Infirmière : Non, mais ça ne va pas, monsieur, de brutaliser une femme ainsi ?
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Bruno : Qu’est-ce que vous dites ? Je peux fermer cet hôpital si je le voulais, alors je veux que vous l’aidiez à avorter tout de suite.Tatiana : S’il vous plaît, ne l’écoutez pas.Bruno : Je…
Il est interrompu par une voix.…… : Monsieur Bruno del Castillo, vous êtes en état d’arrestation pour vente illicite d’armes, esclavage de femmes, ainsi que pour la vente de substances chimiques toxiques.Bruno : Quoi ? dit-il en se retournant.Officier : Vous avez le droit de garder le silence, car tout ce que vous direz sera retenu contre vous.Bruno : Mais c’est n’importe quoi ! J’exige la présence de mon avocat, car je suis innocent, dit-il pendant qu’on le menotte.
….. : Tiens, qu’on se retrouve, Bruno, dit un homme en lui donnant un coup de poing.Bruno : Ju... Junior.Junior : Et oui, qu’on se retrouve, mon cher patron. Tu vas payer pour le mal fait à ma petite sœur, dit-il en voulant lui donner un autre coup, mais l’officier l’arrête.Officier : C’est bon, il va croupir derrière les barreaux maintenant. Ne te salis pas les mains.
Il s’en va avec Bruno et quelques agents de police. Junior s’approche de Tatiana et lui demande comment elle va, mais celle-ci tombe dans les pommes.
L’infirmière la rattrape avec l’aide de Junior, qui la transporte dans une chambre indiquée par l’infirmière, qui va appeler un docteur.
Dans le même hôpital, Jordan est également transféré dans un piteux état. Sarah retrouve Junior dans le hall, sur qui elle saute.Junior : Nous avons réussi, mon amour !Sarah : Oui, même si j’ai dû tuer encore une fois.Junior : Quoi ? Comment ça ?
Elle lui explique la situation, et il dit qu’il la comprend. Les deux restent dans le hall en attendant des nouvelles de Tatiana et Jordan.
COLOMBIE, CALI
Thomas vient d’arriver dans la propriété de sa fille cachée, dans la forêt. Lorsqu’il entre dans le salon, il tombe sur Michaël avec une béquille.Michaël : Oh, donc j’avais raison, beau-papa. Soyez le bienvenu, dit-il ironiquement.Thomas : Je sais ce que tu dois penser, jeune homme, mais je n’avais pas le choix.Michaël : Est-ce que vos enfants savent que vous n’êtes pas ce que vous leur faites croire ? Et pire, je me demande comment ils se sentiront en apprenant que leur père, le saint gouverneur Thomas Fonsesca, est aussi un trafiquant et qu’il a une fille cachée.Thomas : Je ne suis pas ici pour des leçons de morale, mais pour voir ma fille.
Michaël : Une fille dont vous avez détruit la vie en la laissant grandir dans la drogue et les armes, crie-t-il, énervé.Thomas : Je ne te dois aucune explication. Ringo ?? crie-t-il.Ringo, arrivant : Oui, chef, je suis là.Thomas : Où se trouve ma fille ?Ringo : Dans sa chambre, elle ne sort plus de là depuis la perte du bébé et sa crise.Thomas : Ok, je vais la voir. Et toi, Michaël, tu devrais te préparer à rentrer chez toi et régler les choses avec ma fille.Michaël : De toute façon, je me préparais déjà à rentrer, car ce pourquoi je suis resté n’aboutira jamais. Je préfère être avec la femme de ma vie et notre fils.Thomas : Tant mieux, dit-il en partant.
Lorsqu’il entre dans la chambre d’Yvonne, celle-ci est en train de pleurer. Des gens doivent la juger, mais ce n’est en rien de sa faute si elle a grandi dans ce monde-là. Oui, elle voulait l’amour de Michaël au point de vouloir faire du mal à sa sœur. D’un autre côté, on pouvait la comprendre. Thomas s’approche de sa fille, les larmes aux yeux.Yvonne, se jetant dans ses bras : Papa !
Thomas : Je suis désolé, ma princesse.Yvonne : Papa, j’ai perdu mon bébé, notre bébé à Michaël et moi, l’homme que j’aime et pour qui je voulais faire tuer ma propre sœur. Et pour finir, il s’est joué de moi. Il m’a fait croire qu’il m’aimait alors qu’il attendait juste une occasion pour sauver sa sœur, celle qu’il aime au point de risquer sa vie. Pourquoi, pourquoi a-t-elle autant de chance et pas moi ? Pourquoi personne ne m’aime ? Pourquoi ce destin pour moi ? Pourquoi devrais-je être une meurtrière et une trafiquante ? Peut-être si j’étais une bonne femme, Michaël m’aurait aimé, mais comment peut-il m’aimer si j’ai tué sa première femme de sang-froid ? dit-elle en éclatant en larmes.Thomas : Je suis désolé, ma fille. Tout ça, c’est de ma faute. C’est moi le responsable. Si je ne t’avais pas laissé vivre ici, si j’avais pu assumer mon rôle de père... Mais je me suis comporté en lâche et j’ai gâché ta vie. Pardonne-moi, ma fille, je…
Yvonne : Non, mon p’tit papa, tu as été un meilleur père pour moi malgré tout. Tu as toujours voulu que je ne m’immisce pas dans ce monde-là, mais j’ai été bornée, dit-elle en serrant son père dans ses bras.Thomas : Mais c’est fini maintenant, ma princesse. Je vais te faire quitter ce monde et laver ton nom. Tu es d’accord ?Yvonne : Oui, papa, je veux avoir une autre vie. Peut-être comme ça j’aurai une famille, et je suis désolée pour le mal fait à Adriana.Thomas : Ça ira. Elle te pardonnera, mais moi, jamais. Je compte leur dire que tu es leur sœur, et même si ma famille doit me tourner le dos, ça ira. Je le mérite.Yvonne : Non, père, ne leur dis pas cela, tu risques de perdre ta famille.Thomas : Ma décision est prise. Maintenant, prépare-toi, car nous devons quitter cet endroit. J’ai un mauvais pressentiment.
Après avoir fini de discuter avec sa fille, Thomas va retrouver Ringo pour parler.Thomas : Tu aimes ma fille au point d’aller vivre avec elle dans un autre pays et de faire ta vie avec elle ?Ringo : Monsieur, je n’aime pas…
Thomas : Ne me mens pas, fils. Depuis tout petit, je t’ai connu, car ton père était mon bras droit, paix à son âme. J’ai vu comment tu étais attaché à ma fille Yvonne, et je sais que tu l’aimes beaucoup même si elle ne le voit pas. Tiens, voilà des billets pour Los Angeles. Je veux que tu ailles là-bas avec elle et que tu la rendes heureuse pour moi. Il est temps que vous quittiez ce monde de merde...!