GUERRE ENTRE SOEURS
CHAPITRE 52
Michaël ehhh 😂💔
- Perte de grossesse après dispute
- La baise.
Dans le bureau d'Yvonne, Ringo est au téléphone avec le gouverneur.
Ringo : Bien monsieur, et je pense que vous devriez venir la chercher, sinon avec ce qui se passe actuellement, les deux sœurs risquent de se tuer.
Gouverneur : Comment ça ? Jamais Yvonne ne tuera sa sœur...
Ringo : Sous votre respect, monsieur, ne soyez pas si sûr, car je lis de la haine dans les yeux de votre benjamine depuis que Michaël...
Il lui raconte tout ce qui s'est passé.
Gouverneur : Et toi, tu penses que c'est un plan de mon gendre ?
Ringo : Je ne suis pas sûr, mais oui. Analysons-le quelques jours pour voir. Si je le pouvais, je ramènerais Adriana moi-même, monsieur, mais vous connaissez votre fille Yvonne, elle risque de me tuer malgré toutes ces années où je lui ai été fidèle.
Gouverneur : Je te comprends, mais je sais quoi faire. Même si mon identité doit être découverte, je dois ramener Yvonne à l’ordre.
Pendant que les deux parlaient, ils ne savaient pas que Michaël était derrière Ringo et avait tout entendu. Celui-ci, sans faire de bruit, s’éloigne.
Michaël : Qu’est-ce qui se passe ici... Donc les deux femmes sont en réalité des sœurs ?? Mais comment est-ce possible... Qui êtes-vous, monsieur le gouverneur ? se demande-t-il lorsqu’il aperçoit une silhouette dans la piscine.
Celle qui venait de plonger dans la piscine n’est nulle autre qu’Adriana, qui ne portait pour seuls vêtements qu’un string et un soutif. Elle voulait juste nager un moment pour oublier ses peines. Pourquoi la nuit ? Parce que personne ne pouvait la voir. Michaël, ayant aperçu la silhouette, s’approche à grands pas, furieux en la voyant ainsi dans l’eau.
Michaël, furieux : TU FAIS QUOI DANS CETTE PISCINE SANS VÊTEMENTS ??
Elle ne répond pas et continue ce qu’elle faisait jusqu’à ce qu’il entre aussi dans l’eau.
Michaël, la tirant vers lui : Mais c’est à toi que je m’adresse, putain.
Adriana, se dégageant de lui : Ne me touche pas, imbécile.
Michaël : Sinon quoi ? Tu as deux minutes pour sortir de cette eau et aller t’habiller. Non mais ça va pas la tête de rester ainsi alors qu’il y a des hommes un peu partout dans cette propriété !
Adriana, criant : Et alors ?? C’est mon corps et j’en fais ce que je veux. Tu ferais mieux d’aller retrouver ta pute, car ta présence me répugne, dit-elle en sortant de l’eau.
Michaël, derrière elle : Je te rappelle que ce corps m’appartient, et aucun homme n’a le droit de te voir ainsi.
Adriana : Non mais t’es qu’un idiot ! Regarde-moi bien, je ne t’appartiens plus depuis le jour où tu as eu le culot de tremper ta queue dans l’histoire de cette bonne femme qui attend ton enfant.
Michaël : Ah, je comprends... C’est pour ça que tu essaies de séduire les hommes de cette maison en te baladant à moitié nue. Tu essaies de te venger, c’est ça ?
Adriana : Je ne vais pas me rabaisser à ton niveau. Moi, je ne trompe pas. Je ne t’ai jamais trompé depuis que nous sommes ensemble. Tu as été le seul homme que j’ai connu jusqu’à maintenant, mais c’est fini. Jamais je ne te pardonnerai, Michaël Unanov. Je te hais, crie-t-elle avant d’enfiler sa robe et de partir, laissant Michaël en colère.
Michaël : Fais chier, dit-il en la regardant partir.
Celle-ci va s’enfermer dans sa chambre, puis éclate en sanglots.
Adriana : Pourquoi il a fallu que tout ça arrive...
Quelques jours sont passés et tout va toujours mal pour Adriana, qui doit supporter Yvonne et ses caprices sous la demande de Michaël, qui est devenu un autre homme. On aurait dit qu’il a changé.
Du côté de Jordan, celui-ci est toujours maintenu captif par le mari de Tatiana, qui le torture chaque jour. Il est vraiment mal en point, mais il n’abandonne toujours pas. Bruno les a emmenés dans une nouvelle propriété, où Jordan a été enfermé dans une cave, l’endroit où il vit les jours les plus pénibles de sa vie. Tatiana, quant à elle, est attachée sur un lit. Elle était là, pleurant comme à son habitude, lorsqu’une jeune femme entre dans la chambre avec un plateau de nourriture.
Tatiana : Va-t’en d’ici, je n’ai pas faim.
La jeune femme ne répond pas et s’approche d’elle.
… : Tu devrais manger, car tu fais du mal à ton bébé en refusant de manger.
Tatiana, surprise : C... comment tu sais pour...
… : Mange seulement, prends des forces pour ton bébé, dit-elle en lui tendant à manger.
Tatiana : Vous êtes qui ?
… : Quelqu’un qui te veut du bien.
Tatiana : Dites-moi, s’il vous plaît, l’homme qui me retient ici, retient également mon copain. Vous l’avez vu ?
… : Non, mais je suis ici pour vous deux, alors restez calme et suivez seulement mes instructions. Votre ex-mari ne doit se douter de rien.
Tatiana : Merci, merci beaucoup. Je ne sais pas qui vous envoie, mais je le remercie également.
De l’autre côté, nous voyons Fabiola en train de faire la vaisselle lorsqu’elle reçoit un appel d’un numéro inconnu. Elle hésite, mais finit par décrocher.
Fabiola : Oui, c’est qui, s’il vous plaît ?
… : Ma fille, c’est moi, ton père.
Fabiola : Tu veux quoi, papa ?
… : Juste prendre des nouvelles, comment vas-tu ? Pourquoi tu ne reviens plus ?
Fabiola : Je vais bien, et je ne pense plus rentrer, sinon je risque de perdre l’homme de ma vie.
… : Tu es retournée avec cet homme alors que je te l’ai interdit ?
Fabiola : Oui, père, car c’est le père de mon bébé et l’homme que j’aime.
… : Tu sais que tu risques la prison s’il trouve une quelconque preuve contre toi ?
Fabiola : Oui, et je n’ai pas peur, je sais que jamais tu ne permettras cela. Papa, je n’aimerais pas te voir croupir en prison, alors va-t’en loin d’ici et laisse tomber cette vengeance que tu as contre Thomas, sinon tu risques de finir mal.
… : Jamais, et je sais comment frapper là où ça fait mal.
Fabiola : Tu veux dire quoi par là ?
… : Bonne journée, ma fille, et prends soin de toi.
Elle raccroche, le cœur battant, et se demande si elle doit parler de cet appel à Donnell pour éviter d'autres problèmes.
De l’autre côté, dans la propriété d’Yvonne, Adriana nourrissait son fils Elijah. Yvonne vient la narguer avec sa grossesse.
Yvonne : Oh, la petite, comment vas-tu aujourd’hui ? dit-elle en souriant.
Adriana : …
Yvonne : Mais comment pourrais-tu aller bien si ton homme n’a d’yeux que pour moi maintenant ? Et en plus, nous attendons un petit bébé ensemble, dit-elle en caressant son ventre.
Adriana, bien qu’elle ait mal, ne dit rien et continue de nourrir son fils avec son lait. Après tout, ces derniers temps, elle a été témoin de nombreux moments entre Yvonne et Michaël.
Yvonne : Je te parle, là. Tu es devenue muette maintenant ?
Adriana : On t’a jamais dit qu’on répondait à l’imbécile par le silence ?
Yvonne devient rouge de colère. Elle décide de riposter.
Yvonne : L’imbécile que ton homme baise chaque nuit et à qui il crie "je t’aime"
Adriana veut pleurer, mais se retient. Elle met son fils dans sa poussette et s’apprête à partir quand Yvonne l’attrape par le bras. Adriana la repousse violemment, et Yvonne tombe sur ses fesses en criant.
Yvonne : Mais ça va pas la tête ? Je... aïe ! dit-elle en ressentant une vive douleur au bas-ventre, qu’elle tient.
Adriana, prête à partir, remarque qu’Yvonne saigne. Elle veut l’aider, mais Yvonne l’arrête et commence à crier.
Yvonne : MON BÉBÉ ! NON, NON, J’VEUX PAS TE PERDRE, PAS CE BÉBÉ, PAS ENCORE !
Elle crie en larmes.
Le cri alerte Michaël, qui accourt vers elles et est horrifié en voyant le sang couler entre les jambes d'Yvonne.
Michaël : Mais qu’est-ce qui s’est passé ? dit-il, inquiet.
Yvonne : Elle m’a poussée juste pour tuer notre bébé ! S’il te plaît, sauve-le, dit-elle en larmes.
Michaël s'approche d'Adriana avec un regard sombre. Adriana veut se justifier, mais...
SPLASH !
Adriana : J...
Aussitôt, il lui flanque une gifle.
Adriana : Tu... tu m’as frappée... pour... cette...
Elle n’a même pas le temps de finir sa phrase qu’il rétorque.
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Michaël : S’il arrive quoi que ce soit à mon enfant, je te jure que tu vas regretter ta naissance, dit-il en se retournant vers Yvonne qu’il porte jusqu’à leur chambre. Un docteur fut appelé.
Adriana, elle, faisait les cent pas dans le salon. Elle souffrait de ce que Michaël lui faisait subir depuis plusieurs jours déjà, mais elle s'inquiétait aussi pour le bébé d'Yvonne. Elle ne voulait pas qu’il meure.
Michaël était devant la porte de la chambre d’Yvonne lorsque le docteur sortit avec une expression qui en disait long.
Michaël : Comment va-t-elle ?
Docteur : Elle va bien, mais elle a perdu le bébé. Son utérus est fragile à cause des nombreux avortements qu’elle a subis. Si elle veut enfanter à l’avenir, ses grossesses devront être suivies de très près, sinon elle les perdra toutes, et elle risque même de mourir. Pour le moment, elle doit éviter de tomber enceinte.
Michaël ressentit une douleur profonde, car après tout, c’était aussi son enfant, même si cette grossesse n’était pas désirée.
Le docteur resta un moment pour lui parler avant de partir. Michaël entra dans la chambre et vit Yvonne endormie. Il ressortit, puis alla au salon où il trouva Adriana.
Adriana : J... euh, comment va le bébé ? demanda-t-elle malgré tout.
Michaël : Il est mort. C’est ce que tu voulais, non ? Bah, tu as réussi. Il est mort ! cria-t-il.
Adriana : Mais comment peux-tu penser ça de moi ? Sniff... Michaël, pourquoi es-tu devenu comme ça ? Tu sais bien que je suis incapable de faire ça. Mais tu m’as quand même frappée... Plus rien ne m’étonne venant de toi, Michaël, dit-elle en larmes.
Michaël avait mal. Il avait tellement envie de la prendre dans ses bras et de lui dire que tout cela n’était qu’un cauchemar, mais il ne pouvait pas.
Michaël : Prépare tes affaires et celles du petit. Vous rentrerez demain, très tôt.
Adriana : Ah, c’est bon, dit-elle en essuyant rageusement ses larmes.
Michaël : C’est le mieux pour toi.
Adriana : Laisse-moi rire. Dis plutôt que tu veux vivre avec ta nouvelle femme. Mais ne t’inquiète pas, je vais partir et vous laisser en paix, dit-elle en s'en allant.
Michaël sort pour régler les détails du voyage d’Adriana et s’assurer qu’elle rentrera bien chez eux.
Le soir, pendant qu’Yvonne était toujours endormie à cause du sédatif que le docteur lui avait administré, Michaël se rend dans la chambre d’Adriana pour dire au revoir à son fils, qui dormait dans son berceau. Ce petit être si innocent ne se rendait même pas compte de ce qui se passait autour de lui.
Michaël s'assied près du berceau.
Michaël : Mon petit champion. Tu vas tellement me manquer, mon petit ange. Prends soin de ta maman, même si tu es encore tout petit, je sais que tu seras son héros. Je t’aime, fiston. Vous êtes ce que j’ai de plus cher au monde, dit-il en lui caressant les cheveux.
Ce qu'il ne savait pas, c'était qu'Adriana était derrière lui. Elle venait de finir de prendre sa douche et était en serviette.
Adriana : Si nous l’étions vraiment, jamais tu n’aurais couché avec Yvonne, et encore moins l’aurais-tu mise enceinte.
Michaël : Je parlais à mon fils, dit-il froidement.
Adriana : Tu ferais bien de lui dire un bon au revoir, parce que tu ne nous reverras plus jamais. C’est fini, définitivement fini entre nous, Michaël Unanov. Désormais, plus rien ne nous lie à part Elijah, et je suis libre de sortir avec qui je veux et quand je veux.
Michaël : N’y pense même pas, sinon...
Adriana : Sinon quoi ? Hein, toi et moi n’avons plus rien ensemble et...
Michaël : Tu n’as pas encore compris que tu es à moi et que tu resteras à moi, dit-il en s’approchant d’elle dangereusement, jusqu’à la coincer contre la porte.
Adriana : Plus maintenant, dit-elle en détournant le regard, tout en frissonnant.
Michaël : Et pourquoi tu frissonnes comme ça ? Est-ce ma proximité qui te fait réagir ainsi ?
Adriana : Dégage de là, dit-elle en évitant son regard.
Michaël : Sinon quoi ? dit-il en tournant son visage vers lui.
Les deux se fixent du regard un moment, et des larmes commencent à couler.
Adriana : Éloigne-toi de moi, s'il te plaît. Tu as fait ton choix...
Michaël : Qui a dit ça ? dit-il en lui caressant les lèvres.
Adriana : Arrête... ne fais pas ça.
Michaël : Ne fais pas quoi ? dit-il, toujours en lui caressant les lèvres avec son pouce.
Adriana : Ce que tu es en train de faire...
Michaël : Chut, regarde-moi dans les yeux et tu comprendras, ma puce.
Elle lève les yeux pour le fixer, et ses larmes coulent de plus belle. Il les essuie avant de capturer ses lèvres sauvagement. Ils s’embrassent passionnément. Il force le barrage de ses lèvres pour avoir accès à sa langue, tout en la touchant. Il défait sa serviette pour accéder à ses seins et pince doucement ses tétons tout en l’embrassant. Adriana répond avec une intensité inédite à son baiser.
Adriana : Ahhh... Mich... je... aïe... gémit-elle pendant qu'il mordille ses seins.
Michaël : Tu m’as tellement manqué, bébé. Ton corps, te sentir peau contre peau...
Adriana : Ahh, bébé, toi aussi... prends-moi maintenant.
Michaël : Non, dit-il en la portant jusqu’à la poser sur la commode.
Il écarte ses jambes, puis s’agenouille avant d’envoyer sa langue dans son intimité. Adriana crie comme une folle dès le premier coup de langue.
Michaël : Chut, dit-il en insérant un doigt en elle. Elle se pince sauvagement la lèvre inférieure pour ne pas crier, tandis qu'il titille et suce son clitoris. Ses doigts vont et viennent en elle.
Adriana : Oh... oui... comme ça... bébé... disait-elle en se balançant de tous les côtés.
Michaël : Tu es tellement délicieuse, ma gamine, dit-il, en continuant ses mouvements frénétiques, qui ne tardent pas à provoquer un orgasme violent. Adriana tremble de tout son corps pendant qu'il lèche le liquide.
Il se relève avec un sourire et s’apprête à partir, mais elle l’arrête.
Adriana : Mais... tu vas où ?
Michaël : Dans ma chambre. Je pensais que tu ne voulais plus que je te touche et que je devrais rester avec ma nouvelle femme.
Adriana : Reviens ici, imbécile, et viens finir ce que tu as commencé, dit-elle en tremblant, les jambes écartées.
Il sourit puis se retourne vers elle.
« Alors fais-la sortir. Mich junior n’attend que toi, » dit-il en se mettant entre ses jambes écartées. Elle se redresse, défait sa ceinture et descend son pantalon, suivi de son boxeur, qui libère sa virilité.
Elle le caresse tendrement avec sa main droite pendant que l’autre pince son téton gauche.
Michaël : Oh putain, bébé, ahhh ! crie-t-il lorsqu’elle accélère.
Il enlève sa main et, sans qu’elle ne s’y attende, la pénètre brusquement, lui arrachant un cri.
Adriana : OH MICH ! crie-t-elle lorsqu’il la pénètre.
Il commence par des mouvements de va-et-vient lents, mais ceux-ci deviennent rapidement sauvages et intenses, faisant gémir Adriana comme une folle enragée. Il n’y va pas de main morte avec elle, pas du tout.
Michaël : Oh que t’es bonne, ahhh ! dit-il en lui donnant des coups de reins secs.
Adriana : Ahh... mon amourrr.. yes… fuck... me… please… plus fort!
Il passe des minutes à lui mitrailler l'intimité dans cette position avant de sortir d’elle pour la mettre en levrette et la pénétrer de la plus belle des manières. Elle ondule des reins pour accompagner ses mouvements de va-et-vient qui se font plus sauvages.
Michaël : Oh t’es bonne, tu aimes ça ? dit-il en lui donnant des coups solides.
Adriana : Yes, I love it, bébé... dit-elle en gémissant.
Il commence à claquer des coups sur ses fesses tout en lui tirant les cheveux, tandis que les coups résonnent en elle.
Michaël : Tu es qui pour moi ??
Adriana : Ta pute, bébé, alors vas-y fort.
Michaël : Et qu’est-ce qu’on en fait des putes ?
Adriana : On les baise comme des chiennes, mon ange, dit-elle en gémissant et en ondulant des reins.
Michaël : Alors je fais quoi, bébé ? dit-il en continuant ses va-et-vient.
Adriana : Baise-moi comme une pute, mon amourrrrr.
Ils passent des heures à se faire l’amour et à baiser comme des fous, et pour la première fois, Adriana prend les rênes lors de leur ébat. Ils finissent tout fatigués sur le lit avant de tomber dans les bras de Morphée.
Vers 4 h du matin, Michaël se lève, embrasse sa femme endormie puis son fils avant de se rendre dans la chambre qu’il partage avec Yvonne. Celle-ci dort toujours, ne se doutant de rien.
~ Dans la soirée ~MAISON UNANOV
Tout le monde était à table et dînait malgré tout. Alma et Delvin étaient venus rendre visite à Angela et Miguel pour leur montrer leur soutien et les rassurer que tout ira bien. Ils mangeaient tous lorsque la sonnette retentit.
Delvin : J’y vais, dit-il en se levant.
Lorsqu’il ouvre la porte, il ne voit personne et est sur le point de refermer lorsqu’il remarque Adriana inconsciente par terre et le bébé, qui était dans son berceau, avec sa tétine dans la bouche, les yeux ouverts.
Delvin : Adriana ! crie-t-il, alertant ainsi les autres qui s’approchent.
Miguel : Mon fils, que se passe-t-il ? dit-il en arrivant, remarquant Delvin qui prenait Adriana dans ses bras.
Alma prend le bébé et ils entrent.
Angela : Mon Dieu ! Que lui arrive-t-il ? dit-elle en voyant l’état d’Adriana.
Ils montent tous dans sa chambre où Delvin la dépose.
Delvin : Appelez un docteur.
Miguel : Déjà ? Mais comment est-elle arrivée ici ? Et Michaël alors ?
Alma : Sûrement, elle a été déposée par ceux qui les ont kidnappés.
Delvin : Je dois informer mon père, dit-il en prenant son téléphone portable pour composer le numéro...!