Littérature > Romance

GUERRE ENTRE SOEURS

25 sept. 2024 - 8 Minutes

CHAPITRE 46

Yvonne n'a qu'une parole oh .

  1. Yvonne et Michaël couchent ensemble.

Dans un restaurant se trouve Alma et son amie Mia en train de discuter autour d'un verre .
Mia, excitée : alors, raconte-moi la vie de couple avec Delvin, chou.
Alma, jalouse : un peu de retenue, quand même, je te signale qu’il s’agit de mon mari.
Mia : c’est pas comme si tu l’aimais, hum... En tout cas, moi, il m’intéresse.
Ce qu’elle venait de dire irritait Alma, mais elle n’en disait rien. Elles étaient là lorsque l’appel de Delvin arrive.
Alma : oui, Del ?
Delvin : oh, j’adore ce surnom, ça me rappelle la nuit...
Elle le coupe.
Alma : euh, c’est bon. Tu veux quoi ?
Delvin : t’es où ? Je rentre déjà et je dois te déposer comme d’habitude à la maison.
Alma : je suis avec Mia dans mon restaurant préféré pour le déjeuner.
Delvin : Mia ? Bien, j’arrive.
Alma : non, je vais rentrer en taxi.
Delvin : non, attends, là. D’ailleurs, j’ai envie de voir ta copine, dit-il pour la taquiner.
Alma : ok, dit-elle froidement.
Mia : il dit quoi ?
Alma : qu’il vient me chercher.
Mia : super !
Trente minutes plus tard, le voilà dans le restaurant, assis à côté d’Alma.
Mia : mais tu es vite arrivé, dis donc, Del chéri.
Alma : euh, Mia, un peu de respect, quand même.
Mia : mais quoi ? Ça lui cause aucun problème, non ? Ou si ?
Delvin, souriant face à la mine d’Alma : mais bien sûr que non, dit-il en lui faisant un clin d’œil.
Alma, se levant : bon, rentrons maintenant, c’est bon.
Mia : oh, mais il vient d’arriver, non ? Laisse-lui manger d’abord.
Alma : non, je lui ferai son déjeuner à la maison.
Delvin, souriant : mais...
Alma : mais rien du tout, rentrons.
Delvin : ok. Mia, au revoir alors, dit-il en se levant.
Celle-ci se place devant lui pour lui faire un bisou sur la joue, ce qui énerve encore plus Alma, qui commence à miner.
Delvin : merci pour la bise, dit-il avant de partir avec Alma, laissant Mia souriante.
                   **Tatiana Duran**
Bonjour à tous. Je ne sais pas comment vous exprimer ma joie. Jordan est un amour, et je crois que je comprends enfin ce qu’est l’amour. Oui, je suis amoureuse de mon sauveur. Depuis que nous sommes arrivés ici, même si je n’étais pas d’accord au début, il prend soin de moi et fait tout pour me rendre heureuse. Je ne vous cache pas que j’ai peur que Bruno nous retrouve, mais mon ange me rassure souvent à ce sujet et a juré de nous protéger, même au péril de sa vie.
Ah, et oui, je suis enceinte, maintenant de un mois et une semaine. J’ai tellement hâte de tenir mon bébé dans mes bras. En ce moment, je suis dans la cuisine, en train de préparer un repas pour Jordan, qui est parti au travail grâce à nos voisins qui lui ont trouvé un emploi. Ce qui me dérange, c’est qu’il travaille comme un simple ouvrier alors qu’il a de très bons diplômes. Je me sens coupable pour lui.
*


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Pendant ce temps, alors que Michaël visitait la demeure sur ordre d’Yvonne, Adriana jouait avec son bébé sur le lit dans la chambre.
Adriana, taquinant son enfant : mais c’est le bébé de qui, ça ? dit-elle en souriant.
Le petit ne peut s’empêcher de rire en voyant sa mère lui faire des grimaces. Ils étaient là, entre mère et fils, lorsque Yvonne entre dans la chambre.
Adriana : qu’est-ce que tu fous ici ??
Yvonne : je suis venue voir mon fils.
Adriana : tu n’as pas de fils ici, et ne t’approche pas de mon bébé.
Yvonne : si je le voulais, je pourrais te tuer et vivre avec lui et Michaël, hein !
Adriana, se levant : et tu crois que j’ai peur ? mdr, stp, circule.
Yvonne : bien, pas grave, mais je compte aussi avoir nos propres enfants.
Adriana éclate de rire, ce qui énerve Yvonne.
Yvonne, irritée : qu’est-ce qui te fait rire autant ?
Adriana : bah toi, non ? Toi, avoir des enfants avec mon homme ? Une chose est de t’épouser, mais une autre, c’est de coucher avec toi. Mais vu que tu le dégoûtes, je ne suis pas sûre qu’il veuille coucher avec toi, il préférerait encore le faire avec une chienne.
Cela rend Yvonne furieuse.
Yvonne, énervée : c’est ce que tu penses ? Eh bien, laisse-moi te dire que j’aurai un enfant de Michaël, même avant le mariage. Je serai enceinte de lui. Tu veux parier ?
Adriana, sûre d’elle : oui, mais fiche le camp d’ici.
Yvonne : bien, tu vas t’en mordre les doigts, petite, dit-elle en sortant de la chambre avec un sourire machiavélique.
 

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Dans la soirée 
*Yvonne Matamoros Fonseca*
Cette petite se prend pour qui, bordel ? Je dois avouer qu’elle est courageuse, et ceci est normal vu que nous tenons cela de notre père. Elle n’a rien de la gamine fragile que je voyais chez les Unanov. Je me demande comment elle réagira lorsqu’elle saura que je suis en réalité sa sœur biologique et que je veux malgré tout lui arracher son homme ?
Conscience : Ne penses-tu pas qu’il faudrait laisser tomber ? C’est ta sœur, quand même.Moi : Tais-toi. Jamais je ne vais laisser tomber. Michaël est à moi, et Adriana n’a pas d’autre choix que de renoncer à lui.
Oui, et je compte dès ce soir tenir la promesse que je lui ai faite. Je vais tomber enceinte de Michaël coûte que coûte, et nous verrons encore si leur amour sera assez solide pour surmonter cela. Ce soir, il me fera l’amour sans soucis, dit-elle en souriant malicieusement.
*
Adriana et Michaël étaient couchés l’un dans les bras de l’autre, pendant que leur fils dormait.Adriana : Mon amour, tu penses que tout ça finira bientôt ?Michaël : Oui, ma belle, t’inquiète pas. J’ai déjà commencé à analyser la maison, et je verrai comment nous sortir d’ici en toute sécurité.Adriana, se mettant à califourchon sur lui : Maintenant, fais-moi oublier tout ça. J’ai envie de te sentir au fond de moi, bébé.Michaël : Oh, dites-moi pas que ma femme est devenue perverse, hum, dit-il en lui mordillant sensuellement le cou.Adriana : Venez vérifier, monsieur mon mari, dit-elle en enlevant son haut, lorsqu’on frappa à leur porte.… : Monsieur Michaël, vous êtes demandé par la patronne.Adriana, s’énervant : Ne peut-elle pas nous laisser en paix un moment ?Michaël : Du calme, ma puce. Je vais voir ce qu’elle veut, sinon on risque de l’énerver.Adriana, boudant : D’accord bébé, vas-y, dit-elle malgré elle.
                        ~ Dans la chambre d’Yvonne ~
Celle-ci était sur son lit, habillée d’une nuisette sexy transparente qui dévoilait tout son corps. Elle était là lorsqu’on porta des coups à sa porte.
*TOC TOC*
Yvonne : Oui, entre.
C'était Michaël qui était arrivé. En voyant la jeune femme habillée ainsi, il se retourne.
Michaël : Tu m'as demandé ? Dit-il en lui faisant dos.Yvonne se levant : Oui, mon chou, mais dis-moi pourquoi tu ne me regardes pas.Michaël : Je ne regarde pas la nudité d'une autre femme, alors tu ferais mieux de t'habiller convenablement.Yvonne : Pourquoi m'habiller si ce soir j'ai envie de faire l'amour avec l'homme de ma vie ?Michaël : Je pense que tu deviens un peu plus folle chaque jour. Jamais je ne tromperai Adriana avec une autre, encore moins une cinglée comme toi.Elle se met devant lui.Yvonne : Ah, c'est ce que nous verrons, mon chéri, dit-elle en prenant une seringue cachée dans ses cheveux sans qu'il ne la voie.Michaël : Si tu as fini, alors moi je m'en vais, dit-il en voulant partir, mais elle lui enfonce la seringue dans le cou.Yvonne : Tu me feras l'amour de gré ou de force, dit-elle.Michaël : Qu… Qu'est-ce que tu m'as fait, diable ? Dit-il en essayant de rester lucide.
Quelques minutes plus tard, ses pupilles étaient dilatées, il avait très chaud et son membre devenait dur dans son pantalon. Yvonne se déshabille.Yvonne : Mais rien de mal, bébé, viens là, je t'attends.Michaël : Non, je... Il ne dit plus rien lorsqu'elle se retrouve les jambes écartées devant lui.Il pensait voir Adriana et, sous l'effet du liquide injecté, puis dans cet état d'inconscience, il saute sur elle.Michaël : Mon amour, c'est toi, Adriana, ma belle, tu m'as trop manqué, dit-il.Yvonne : Oui, mon amour, toi aussi, s'il te plaît, fais moi l'amour.

Adriana, étant dans sa chambre, sentant que quelque chose n’allait pas, décide d’aller chercher Michaël. Mais à peine sous la porte, elle fut arrêtée par deux gardes qui se tenaient là. Il faut dire qu’Yvonne avait tout prévu.
Adriana : Mais laissez-moi passer, je dois voir mon homme.Garde : Vous ne pouvez pas passer, alors restez tranquillement dans votre chambre.Adriana : Et pourquoi ça ?! crie-t-elle, énervée.Garde : Je n’aimerais pas vous faire du mal, alors retournez tranquillement à l’intérieur.
N’ayant plus le choix, elle retourne dans la chambre près de son fils, priant de toutes ses forces pour que rien de mal n’arrive à Michaël.
                     MICHAËL UNANOV
Je viens de m'éveiller avec un mal de tête insupportable... mince, je n'ai pourtant pas bu d'alcool. Sentant le poids de quelqu'un sur moi, je baisse la tête et c'est le choc. Mince, qu'est-ce que j'ai fait. Adriana va me tuer. Yvonne était sur moi, complètement nue comme moi. Je me décale d'elle pour me lever et c'est là qu'elle se réveille en me demandant de ne pas me lever. Je me lève puis enfile rapidement mon boxer.
Moi : ESPÈCE DE FOLLE, TU M'AS FAIT QUOI, criai-je en commençant à enfiler mon jean qui était par terre. Cette folle ne répond pas mais sourit d'un air malicieux, ce qui m'irrite au plus haut point.
Moi : Je peux savoir ce qui s'est passé hier soir ???
Elle : Ne me dis pas que tu ne te souviens pas, mon tigre, dit-elle en souriant toujours.
Moi : Dis-moi que ce n'est pas ce que je pense, que je n'ai pas pu faire ça... 
Elle : Si, si, mon chéri, nous avons... passé la nuit ensemble.
Moi : Ferme-la, je ne suis pas ton chéri, criai-je en colère, tellement je suis remonté contre moi-même. J'ai trompé ma femme. Jamais elle ne me pardonnera si elle l'apprend, comment vais-je la regarder.
Je me souviens maintenant que nous discutions quand elle m'a injecté quelque chose dans le cou, et ensuite plus rien.
Elle : Bébé, ne t'en fais pas, ça restera notre petit secret. Promis, Adriana n'en saura rien tant que tu le voudras.
Moi: Tu m'as drogué, sinon, jamais je n'aurais fait ça.
Elle : Quoi, ce n'est pas bien d'accuser les gens sans preuve, mon chou.
Elle se lève du lit, nue, et je détourne le regard.
Elle : Mon chou, pourquoi détournes-tu ton regard alors que hier tu m'as possédée avec passion, nous avons passé toute la nuit ensemble et c'est toi qui en redemandais. L'autre ne te satisfait sûrement pas...
Moi : Tais-toi, lui dis-je en la plaquant violemment contre le mur et en serrant son cou.
Elle : J...ar...rête... j'ai raison... ta gamine ne te donnait pas ce que je t'ai donné hier.
Moi : Ferme-là, sorcière ! criai-je.
Elle : Mais du calme, mon beau, ne t'inquiète pas, elle n'en saura rien avant son départ, me dit-elle en me donnant un bisou sur la joue.
Je sors de la chambre, énervé, et me dirige vers le jardin où je me défoule sur les plantes. Merde, comment ai-je pu être aussi idiot ? Comment expliquer à Adriana pourquoi je ne suis pas revenu la nuit dernière ?