GUERRE ENTRE SOEURS
CHAPITRE 45
Yvonne vraiment hein
- Michaël accepte d'épouser Yvonne pour sauver Adriana
- Bruno torture Edgar pour qu'il avoue l'endroit où se trouve Jordan et Tatiana
Yvonne : Oui, tu as bien compris. Michaël : Tu ne peux pas agir de la sorte. Je ne suis pas comme les hommes que tu manipules ici. Yvonne : D'accord, nous verrons si je plaisante, dit-elle en appelant Ringo. Yvonne : Envoie-moi Ignace pour qu'il amène Adriana, le petit avec Lucia. Ringo : Que prévois-tu de faire ? Yvonne : Tu peux observer depuis ta chambre, dit-elle en raccrochant. Quelques minutes plus tard, nous voyons Adriana se faire traîner par un homme qui la retient fermement par les cheveux alors qu'elle se débat. Et une fille tenant Elijah dans ses bras. Adriana : Mais lâche-moi, tu me fais mal, idiot. Michaël, voulant s'approcher : LÂCHE-LA, CRIE-T-IL en s'avançant vers eux lorsque Yvonne tire en l'air. Yvonne : N'ose pas bouger, sinon je le descends de loin. Il n'a d'autre choix que de s'arrêter.
L’homme vient jeter Adriana par terre.
Yvonne : Lève-toi, dit-elle autoritairement à Adriana.Adriana : Tu n’as pas d’ordre à me donner, sale garce.Yvonne s’abaisse pour la faire se lever en tirant sur ses cheveux et lui flanque une gifle qu’Adriana lui rend directement.Adriana : Plus jamais tu n’oses porter tes mains sur moi sans permission.Yvonne :
tu ne sais pas ce qui t’attend et cette bouche, tu vas finir par la fermer.Michaël : Ma puce, tu vas bien ? dit-il en voulant s’approcher d’elle mais la voix d’Yvonne l’arrête.Yvonne mettant une arme sur la tête d’Adriana : HEY, NE BOUGE PAS SINON JE LUI EXPLOSE LA TÊTE EN MILLE MORCEAUX.Adriana : Mais tu es vraiment cinglée, ma parole. Mon amour, tkt pas, je vais bien, dit-elle pour le rassurer.Yvonne : Ferme-la, idiote. Maintenant Lucia, vas-y avec le p’tit. Un jet privé t’attend pour conduire le p’tit dans un orphelinat. Ringo t’attend là-bas aussi pour vous accompagner.Michaël : NON, TOI, TU AS INTÉRÊT À NE PAS BOUGER AVEC MON ENFANT, dit-il en voulant s’approcher de Lucia lorsque Ignace pointe une arme sur sa tête aussi.Ignace : Un pas de plus et tu verras.Adriana : Quoi, pas mon fils, non mais…Yvonne : Alors, mon amour, tu acceptes ma proposition ou pas ?
Michaël : Je ne peux pas exécuter ta demande, Adriana.Adriana : De quelle proposition parle-t-elle, Michaël ?Yvonne : Je t'ai déjà demandé de te taire. Ne t'inquiète pas, tu sauras bientôt de quoi il s'agit.Michaël, voyant Lucia partir et disparaître de son champ de vision, et Adriana avec une arme sur la tête, demande à discuter avec Yvonne.
Michaël : D'accord, discutons, mais laisse partir ma femme et mon fils.Yvonne, poussant .Adriana vers Ignace : J'espère que ce que tu as à me dire en vaut la peine, sinon tu connais mes capacités. Ignace, emmène-la et dis à Ringo de rentrer avec Lucia et l'enfant, car je crois que mon cher amour prendra la bonne décision, dit-elle en souriant. Il part avec Adriana, qui lance des regards menaçants à Yvonne.Yvonne : Alors, quelle est ta décision ?
Micahël Unanov
Mon Dieu, dans quel dilemme veux-tu me plonger. Cette femme est plus dangereuse que je ne le pensais. Comment pourrais-je épouser une autre femme, qui plus est une meurtrière et une trafiquante, alors que j'aime une autre ? Adriana ne me pardonnera jamais cela, mais je ne peux pas refuser non plus, sinon cette folle risque de tuer ma femme, et je ne pourrais survivre sans Adriana et Elijah. Je vais accepter en attendant de trouver un plan pour m'échapper.\rMoi : D'accord, j'accepte.\rYvonne : Ah, tu es gentil.\rMoi : Maintenant, tu peux libérer ma femme et mon fils.Yvonne : Tu me prends pour une idiote ou quoi ? Je savais qu'elle n'allait pas accepter mais je suis patient.Moi : Très bien, alors le mariage aura lieu dans un mois.Yvonne : Non, je...Moi : C'est ça ou rien. Je dois en parler à Adriana d'abord et la préparer à accepter cela.Yvonne : De toute façon, j'ai tout mon temps, mon cœur.Moi : Je peux voir ma femme maintenant et mon fils ?Yvonne : Oui, tu as une heure seulement. N'essaie pas de jouer les malins. J'espère que tu vas lui annoncer la bonne nouvelle. dit-elle en faisant signe à un de ses hommes de m'amener vers là où se trouvent Adriana et Elijah.Une fois dans cette chambre, elle saute dans mes bras.Adriana, me serrant dans ses bras : Oh mon amour, tu vas bien. Dis-moi, ils ne t'ont rien fait ??Moi : Non, bébé, mais regarde ta joue, je suis désolé, c'est de ma faute.Adriana : Chut, ce n'est pas ta faute. Nous ne savions pas qu'elle était une mauvaise femme. Elle jouait tellement l'innocente.Michaël : Oui. Elijah a déjà pris son bain ?Adriana : J'étais sur le point de lui donner quand ils sont venus me chercher.
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Michaël : Viens, nous allons lui donner son bain ensemble. J'arrive pas à croire qu'elle voulait l'envoyer loin de nous. Pour vous, je ferai tout, même donner ma vie, car vous représentez tout pour moi. Ma puce, pardonne-moi, car je ferai des choses qui te feront peut-être mal.
Adriana, me caressant la joue : Mais pourquoi tu parles comme ça, bébé ?
Je la regarde, et ses yeux brillent tellement d'amour pour moi que je ne sais pas comment lui dire que j'ai accepté d'épouser cette folle d'Yvonne.
Moi : Allons d'abord donner son bain à Elijah.
C'est ainsi que je vais l'aider à laver mon fils, qui est tout beau. Je suis tellement fier d'être papa, et je donnerai ma vie pour le protéger, ainsi que sa mère. Après cela, nous prenons un bain tous les deux, et heureusement, il y avait des vêtements de rechange pour moi et elle. Pendant qu'elle nourrissait le petit, qui est un vrai gourmand car il avait déjà mangé, je réfléchissais à un moyen de nous sortir d'affaire.
Adriana : Bébé...
Moi : ...
J'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'avais pas remarqué qu'elle m'appelait, jusqu'à ce qu'elle vienne se mettre sur mes cuisses.
Adriana : Mon amour, il se passe quoi ? Tu as l'air pensif.
Michaël : Écoute, Adriana, je dois épouser Yvonne.
Elle se lève brutalement de mes genoux.
Adriana : Tu te fous de moi ou quoi ? Comment tu peux me sortir ça ?
Moi, essayant de la calmer : Écoute, ma chérie, tu sais que je n'aime que toi, plus que ma propre vie. Mon cœur et notre fils passent avant tout, mais je dois faire des sacrifices pour vous.
Adriana : Je ne suis pas d'accord.
Moi, la tirant dans mes bras : Ma puce, elle a menacé de te tuer... enfin, de vous tuer, et d'envoyer le petit dans un orphelinat. Je ne peux pas vivre sans vous.
Adriana : Je comprends maintenant pourquoi j'avais un revolver sur la tempe et que mon fils a été emmené. Et je suppose que si nous sommes toujours ici, c'est parce que tu as accepté de l'épouser ?
Moi : Oui.
Aussitôt, elle se dégage de moi.
Adriana : Comment veux-tu que j'accepte ça ? Tu n'as pas pensé à nous ??
Moi, me levant : Si, et c'est pour ça que j'ai accepté, en attendant de trouver une solution.
Adriana : Et si tu n'y arrives pas, ça veut dire que tu seras à cette femme ?
Moi : Hé, écoute-moi, ça n'arrivera jamais, dis-je en la serrant dans mes bras.
Adriana : Je te fais confiance, mon amour.
Moi : Moi aussi. Mais, bébé, s'il te plaît, ne la provoque pas. Tu vois bien qu'elle est dérangée du cerveau.
Adriana : Moi aussi je suis dérangée. Si elle me cherche, elle me trouvera. Et pour vous, je suis prête à tuer aussi, dit-elle avec un regard que je n'avais jamais vu chez elle, un regard qui me glace le sang.
Mon Dieu, j'espère que tout ça ne va pas changer ma femme.
Moi : Embrasse-moi, bébé. Tes lèvres m'ont trop manqué, dis-je pour changer l'atmosphère.
Adriana, entourant mon cou de ses bras : Au plaisir, mon amour, dit-elle en capturant mes lèvres pour un baiser que je décrirai comme sauvage et doux à la fois. Nos langues se cherchent, puis se retrouvent dans une danse endiablée. Dans ce baiser, je ressens tout l'amour qu'elle a pour moi. Mes mains descendent lentement vers ses fesses que je presse, lui arrachant de petits gémissements. J'étais sur le point de glisser ma main sous son haut quand on frappe à la porte, nous faisant sursauter.
TOC TOC
…… : La patronne veut vous voir dans la salle à manger, dit une voix derrière la porte.
Adriana, énervée : Eh bien, allez dire à votre patronne que jamais je ne mangerai à la même table qu'elle.
…… : Ce n'était pas une demande, mais un ordre, alors ouvrez cette porte.
Adriana : Je...
Moi : Chut. Allons-y, et joue le jeu, ma puce, dis-je en lui caressant la joue.
Adriana : D'accord, allons-y. Mais, et mon fils ?
Moi : Laisse-le dormir. Je ne pense pas que quelqu'un lui fera du mal ici. Avec tous ces gardes surveillant la propriété, ce serait difficile d'accès.
Adriana : Ok, dit-elle avant d'ouvrir la porte sur un homme qui nous conduit dans une grande salle à manger. Nous pouvons voir cette femme assise avec un sourire, en train de boire du vin.
Yvonne :Oh, vous êtes déjà là. Je pensais que j'allais devoir encore utiliser la force.
Adriana :Oh, épargne-nous ton cinéma, s'il te plaît, dit-elle furieuse.
Yvonne :Mais pourquoi la petite est si énervée ? Ah, je sais, mon chéri t'a annoncé la bonne nouvelle, je parie.
Adriana :De mon vivant, jamais il ne sera à toi, même avec ce fichu mariage, dit-elle en la fixant d'un regard sombre.
Yvonne, déterminée :Eh bien, c'est ce que nous verrons.
Moi : je demande calmement en m'asseyant.
Yvonne : mon bébé a parlé, écoutons. « VANESSAAAA ! » crie-t-elle. Une jeune femme arrive en courant dans la salle, presque tremblante.
Yvonne : sers-nous maintenant. Ah, j'ai oublié notre fils, mon chéri, dit-elle en me caressant le bras.
Adriana, les yeux en colère, fixe la scène en serrant les poings.
Adriana : « CE N'EST PAS TON FILS, MAIS LE NÔTRE, À MICHAËL ET MOI ! » crie-t-elle.
Yvonne : ce qui est à lui est aussi à moi, puisqu'il sera mon mari dans un mois, donc c'est aussi mon fils.
Adriana : rêve bien, espèce de traîtresse.
BRUNO DEL CASTILLO
Merde ! Elle ne peut avoir disparu de la terre voyons. Salut, moi c’est Bruno del Castillo. J’suis un homme accompli, jeune millionnaire je dirais et marié à Tatiana. Cette jeune femme que son père m’a vendue depuis ses 18 ans. J’ai fait d’elle ce que je voulais et elle tremble en sentant même ma présence mais elle a disparu depuis plus d'un mois et je soupçonne ce fils de chien qui l’a embrassée la dernière fois d’être à l'origine de cette disparition car elle n’aurait jamais eu ce courage d’elle-même. J’étais dans mon bureau lorsque celui chargé des enquêtes m’appelle.
… : Boss, je pense que quelqu’un nous a trahis et a aidé ce jeune homme à partir avec votre femme.
Moi : Qui ?
....: Il semble que la personne en question soit Edgar, car j'ai observé les caméras dans les différents endroits fréquentés par madame avant sa disparition. Dans le supermarché, elle a été approchée par ce jeune, puis l'a repoussé, et Edgar a parlé au jeune.
Moi : Je le savais. Bien, vous savez quoi faire de lui. Mettez-le enchaîné dans la cave et amenez toute sa famille ainsi que sa fiancée là-bas. Nous verrons s'il parle ou non. J'arrive tout de suite. Personne ne me trahit impunément, et si c'est Edgar le traître, il paiera de son sang. Je range mes affaires et rentre car je dois interroger ce type.
Quelques minutes plus tard, j'arrive à la maison et me dirige directement vers la cave, accompagné de quelques hommes. En entrant, mes gardes me placent une chaise et en face de moi se trouve Edgar enchaîné.
Moi : Tiens, tiens, il semblerait que tu sois devenu une taupe ?Edgar : Non chef, je vous ai toujours servi sans problème, je ne comprends pas pourquoi vous doutez de moi maintenant.Moi : As-tu aidé ce jeune à emmener ma femme ?Edgar : Non chef.Moi, lui montrant la vidéo où il parlait au jeune : Et qui est-ce alors ?Edgar : Je voulais juste lui dire de s'éloigner de madame car il la harcelait.Moi : Pourquoi n'as-tu pas utilisé la force au lieu de discuter comme des amis ?
Edgar : Monsieur, nous étions dans un lieu public et je ne pouvais pas agir violemment.
Moi : Cela semble trop beau pour être vrai. Elios, je pense que notre cher Edgar finira par parler sous la contrainte. Allez, dis-je en m'asseyant immédiatement, ils commencent à frapper Edgar, attaché et sans moyen de se défendre.
Edgar : Ne faites pas ça, crie-t-il en remarquant qu'Elios branche le fer à repasser.
Moi : Allez-y, dis-je, alors qu'ils le mettent sur le dos à chaque coup, lui demandant où se trouvait sa femme, mais il répondait toujours par la négative. Après quelques minutes, couvert de sang, il suppliait d'arrêter, ignorant où se trouvait Tatiana.
Moi : Tu ne veux toujours pas parler ?
Edgar : Chef, je vous jure, je ne sais pas où elle est ?
Moi : Ok, Elios, je ne pense pas qu'il ait encore compris. Amenez-moi sa famille.
Edgar : Quoi... ?
Immédiatement, toute sa famille entre en pleurant, les yeux bandés par mes hommes.
Moi : Alors, vas-tu parler ou préfères-tu que je m'en prenne à ta petite sœur ? dis-je en caressant la joue de cette enfant qui semble délicieuse.
Edgar : Je ne sais pas où elle se trouve, s'il vous plaît, libérez ma famille et emmenez-moi, chef.
Moi : Tu ne sembles pas aimer ta sœur ni ta mère, apparemment, dis-je en le menaçant avec un couteau sur la gorge.
Edgar : Non, chef, s'il vous plaît, je ne sais pas où elle est, je vous en supplie, laissez ma maman. Ma petite maman, désolée.
Sa mère : Mon chéri, il se passe quoi ?
Sa sœur : « Grand frère, j’ai peur, s'il te plaît dis-leur ce qu'ils veulent pour nous libérer. » Moi : « Tu ferais mieux d’écouter ta sœur. » Edgar : « Je... ne... sais... pas. » Edgar est-il sérieux et ne sait pas où se trouve ma femme, ou bien n'aime-t-il pas suffisamment sa famille pour l'avoir trahi pour Tatiana ? Edgar : « Chef, je vous en supplie, libérez ma famille. Je n'ai aucune idée d'où elle se trouve, sinon je vous l'aurais dit, difficilement. » Elios : « Chef, personne ne résiste à notre torture, sûrement il ne sait pas vraiment, regardez le. » Moi, après avoir réfléchi : « Ok, libérez-le. Mais, Edgar, je te jure que si je retrouve ma femme et apprends que tu l'as aidée, toute ta famille va me le payer. » Il n'eut même pas le temps de répondre car il tomba dans les pommes, tellement il était mal en point. Je demande à ce qu'on ramène sa famille et le libère. Où que tu sois, Tatiana, je vais te retrouver.