SOUS LE CONTRÔLE D'UN MAFIEUX

CHAPITRE 22

Humm!

1. Mariage et réconciliation 

NIKITA SHARMA ALVAREZ
Nous sommes dans le jet privé, mon mari, notre fils Samrath, qui a neuf mois, et moi. Je suis enceinte de deux mois. Je ne peux pas m'empêcher de sourire en pensant à la situation, même si ce n'est pas de ma faute si John me laisse... Nous nous envolons vers l'Inde. Je veux retrouver ma famille, leur faire accepter mon amour pour lui. Il pose doucement sa main sur la mienne, essayant de me réconforter.
— T’inquiète, mon amour, tout va bien se passer.
— J’ai peur, chéri. Et s’ils me rejettent comme la dernière fois ?
— Non, ma puce, arrête de stresser. Ce n’est pas bon pour le bébé.
— Je t’aime, mon amour.
— Moi aussi, je t’aime.
Je pose ma tête sur son torse. Il commence à caresser mes cheveux et son parfum apaisant m’enveloppe.
— Je vais voir si Samrath est réveillé, d’accord ?
— D’accord, mon amour.
Je suis nerveuse. Il revient après quelques minutes, sans notre fils.
— Alors ?
— Il dort encore, mon amour.
Je me lève pour aller dans la salle de bain et me rafraîchir le visage. Je sens sa présence derrière moi, et avant que je ne m’en rende compte, il me plaque doucement contre lui. Ses doigts glissent sous ma robe, écartent mon string, et il me pénètre avec deux doigts. J’écarte instinctivement les jambes, lui donnant plus d’accès. Je m'agrippe au lavabo, haletante, tandis que son pouce trouve mon clitoris.
— Bébé, arrête de me torturer... pénètre-moi.
— Tu es tellement sexy, mon amour.
Il retire ses doigts, couverts de mon désir, puis les porte à ma bouche. Ensemble, nous les léchons.
— Tu vois à quel point tu es sucrée ?
— Oui, mon amour.
Il me retourne, me faisant face au miroir. Il coupe mon string, me tirant un gémissement.
— Regarde-toi bien dans le miroir pendant que je te baise, ma petite pute de femme.
— D’accord, mon petit connard.
Il ouvre sa braguette et me pénètre violemment. Je gémi, le souffle coupé, le regard ancré dans le miroir. Il attrape mes cheveux, claque mes fesses et revient en moi avec force. Je le sens jusque dans mes poumons.
— Ma salope, tu aimes ça ? Réponds-moi, ma pute, ma sauvageonne ! Dis-moi que tu aimes ça !
— Oui... mon sale type... j’adore... encore... t’arrête pas...
Dans un cri partagé, nous atteignons ensemble la jouissance. Je tremble, la chaleur irradie en moi. Il me déshabille complètement, et nous sautons rapidement sous la douche. Je ne sais même plus à quel moment je suis devenue accro à lui.
Nous revenons dans la cabine. J’ai du mal à marcher, épuisée.
— Tu veux manger quoi, ma chérie ?
— Je ne sais pas... mais toi, tu veux quoi ?
— Ta chatte. J’ai encore envie de la goûter.
Moi : Nous sommes presqu'arrivés, monsieur.
Trente minutes plus tard, nous avons atterri et décidé de rentrer chez moi. En arrivant dans la cour, j'ai vu ma petite sœur Paakti, la rebelle de la famille.
Moi : Paakti, la rebelle de la famille.
Elle s'est retournée et m'a vue, puis a couru dans mes bras en larmes.
Paakti : Waouh, ma sœur, tu m'as tellement manqué 
Moi : À moi aussi , et les autres ?
Paakti : Ils sont dans le salon, demain c'est holi.
Elle a couru vers le salon en criant, et j'ai tremblé de peur. John a attrapé ma main, la porte s'est ouverte sur mon grand frère Arnave et nous avons tenté d'entrer, mais ma mère nous a bloqués.

Tara : Attendez.
Nous nous arrêtons, je panique déjà. Elle entre dans le coin sacré et revient avec un plateau à la main, qu'elle tourne sur nos visages en signe de bénédiction. Je m'abaisse et fais signe à mon homme de faire de même. Nous touchons ses pieds et elle nous caresse la tête.
Tara : Entrez maintenant.
Je saute dans ses bras en larmes.
Chetan : Ma fille ..
Je cours dans les bras de papa, il m'a tellement manqué.
Nani : Ma petite rebelle.
Moi : Oh ma Nani, mon avocate 
Après les câlins, nous nous asseyons.
Chetan : Pourquoi tu as fui, ma princesse ?
Moi : Papa, je t'avais déjà dit que je n'aimais pas Ranbi et que j'étais déjà amoureuse d'une autre personne.
Chetan : Mais tu as fini par accepter.
Moi : Oui, juste pour te faire plaisir. Mais je me suis enfuie parce que j'ai trouvé Ranbi au lit avec une autre femme la veille de notre mariage. Je ne peux pas me marier avec un infidèle.
Tara : Donc madame a décidé de s'échapper ?
Moi : Oui, et je ne le regrette pas, j'aime John, c'est l'homme de ma vie.
Chetan : C'est toi qui as conquis le cœur de ma fille ?
John : Oui, Monsieur.
Chetan : Appelle-moi papa.
John : Oui, papa. J'aime votre fille, c'est le plus beau cadeau que le ciel m'ait offert.
Chetan : Tu n'as pas le droit de faire couler ses larmes.
Arnave : N'oublie pas que son frère est là.
Paakti : Et sa petite sœur aussi.
Nani : Sans oublier son avocate.
John : Je ne ferai jamais couler ses larmes.
Chetan : D'accord, mais tu vas l'épouser dans un mariage traditionnel.
John : Pas de problème, papa.
Nous avons beaucoup discuté. Le lendemain, j'étais dans ma chambre quand John est rentré accompagné de ma sœur. Elle souriait jusqu'aux oreilles. Que manigance-t-elle cette fois-ci ?
Paakti : Allez-y, mon beau-frère !
Il s'approche de moi et colorie nos visages, je avais oublié cette joyeuse coutume.
John : Joyeux Holi, ma chérie.
Il me passe la couleur et je la mets sur son visage.
Moi : Joyeux Holi, mon amour.
Il colore le visage de Samrath, ma sœur me donne un sari blanc, je m'habille et mon bébé me regarde.
Moi : Quoi ?
John : J'ai envie de faire l'amour ici.
Moi : Allons-y.
Il prend le bébé et nous nous rendons dans le salon où nous retrouvons Sam et Joaquin, je regarde mon mari.
John : Ils sont là pour assister à notre mariage, mon amour.
Le mariage dure une semaine, je prends Sam dans mes bras.
Moi : Et les petits monstres ?
Samantha : En voyage avec leur grand-mère.
Paakti : Joyeux Holi !
Elle asperge tout le monde avec de l'eau colorée. 

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Moi : PAAKTI 
Je prends mon pistolet à eau, je mets de la couleur dedans et cours après elle. Nous revenons essoufflés et colorés.
John prend de la couleur et en verse sur Joa.
Joa : Tu veux jouer à ça ?
Sam prend de la couleur et en verse sur mon frère Arnave et sur son mari.
Chetan : Allons dehors.
Nous courons dans la cour, Sam, malgré son gros ventre, ne se laisse pas faire. Nous dansons, chantons, et envoyons des boissons aux hommes en y ajoutant du cannabis. Ils se retrouvent vite ivres. Joa et John dansent de manière comique, ce qui me fait pleurer de rire, ce sont les meilleurs.
Aujourd'hui, Niki et John célèbrent leur mariage. La maison est joliment décorée et John est très heureux après avoir scellé leur union. Ils ont prévu de rentrer chez eux le lendemain avec Paakti et Arnave qui les accompagnent actuellement dans le jet.Sam réalise soudain qu'elle a oublié ses djalebi.Joaquin lui rappelle qu'ils sont dans son sac, ce qui rend Samantha très reconnaissante envers son amour. Nikita plaisante sur la passion de Sam pour la nourriture. Une fois en Colombie, chacun rentre chez soi. Dans la chambre de Joa et Sam, Samantha demande à son partenaire quand ils se marieront. Joaquin plaisante en disant qu'ils se marieront demain à minuit, et lui rappelle de ne pas oublier sa robe rouge et noire. Samantha lui donne gentiment une tape sur la tête, se remémorant le jour où elle maudissait intérieurement Joaquin, même si c'était le mariage de l'année. Ils expriment leur amour l'un pour l'autre, planifiant leur propre mariage dans quelques mois, avant la naissance de leur enfant.
Samantha et Joaquin s'embrassent et finissent par faire l'amour.

Camilla Gomez 
Je viens de finir ma deuxième bouteille de whisky, après un sachet de cocaïne, mais rien n'y fait. Louise et Marie-Belle se sont mariées il y a un mois, et je n'arrive pas à me calmer. Il est à elle maintenant... Je les imagine, ensemble, et ça me rend folle.
– Bon sang, Camila, regarde dans quel état tu te mets ! Je te reconnais plus, dit Tristan, exaspéré.
– Joaquin a détruit mon foyer et il a mis sa sœur dans mon mariage ! Louise est à moi ! hurlais-je.
– Mon amour, calme-toi, je suis là pour toi.
– Dans trois jours, Louise reviendra à moi. Marie-Belle et ses gosses iront en enfer, et je récupérerai ma petite Silvana.
– Oublie-les, s’il te plaît. Moi je t’aime, regarde-moi, dit-il en me fixant avec tendresse. Je t’aime vraiment, Camila.
– Tristan, je ne veux pas te briser.
Il me relève doucement, me fixant de son regard noisette. Tristan est un bel homme. Sa peau bronzée, ses cheveux châtain clair, son corps tatoué et musclé… mais c’est Louise que je veux, c’est lui que j’aime.
– Tu n’aimes pas Louise, Camila. Tu es juste obsédée par lui, me dit-il avec calme.
Sans réfléchir, je l'embrasse avec fougue. Nos lèvres s'écrasent l’une contre l’autre, avides.
– Montre-moi à quel point tu m’aimes... Fais-moi l’amour, dis-je, presque suppliant.
Il déchire ma robe, me laissant en sous-vêtements. Ses yeux brillent d’envie. En quelques gestes rapides, il me couche sur le canapé et défait mon soutien-gorge. Ses mains pincent mes seins, ses lèvres les recouvrent, tantôt les mordent, tantôt les lèchent. Mes gémissements s’étouffent dans ses baisers. Puis, ses doigts glissent en moi. Je m’accroche à lui, tandis que sa bouche parcourt mon corps.
Il me fait perdre pied, littéralement. Il se lève, enlève ses vêtements. Son membre est tendu, prêt. Il me tire par la jambe, la pose sur son épaule, et me pénètre lentement avant de murmurer :
– L’amour ou la baise ?
– Les deux, mon amour...
Et alors, il s'abandonne à moi, sauvage et déterminé. Mes gémissements remplissent la pièce, je lui demande d’y aller doucement, mais il continue. Je tremble de tout mon corps, mais je n’arrête pas. Il finit par me retourner, me prenant en levrette, sans pitié. Et moi, je me fais pitié... mais je ne veux pas qu'il s'arrête. Parce que c'est la dernière avant que je ne m'en aille en finir avec Joaquin...!