SOUS LE CONTRÔLE D'UN MAFIEUX

CHAPITRE 21

Victor...!

1. Réconciliations

JOAQUIN EL CHAPO
Je suis fatigué. Sam et les enfants ne me laissent pas une minute de repos. J’ai juste envie de quitter la maison pour les laisser seuls, mais je ne peux pas, car ce sont mes amours, ma vie.
Samantha – Bébé ?
Moi – Oui, ma puce.
Samantha – J’ai faim. Je veux une glace, une pizza et une barbapapa.
Moi – Sam, où veux-tu que je trouve une barbapapa à cette heure ?
Samantha – Ce n’est pas mon problème, Monsieur El Chapo.
Moi – Ma puce, je te promets de ne plus jamais te mettre enceinte.
Samantha – J’ai faim.
Je prends la clé de ma voiture. Elle se lève, va vers le dressing, et sort une robe blanche.
Moi – Que fais-tu ?
Samantha – Je sors avec toi, mon amour.
Elle enfile la robe. Elle est sexy dedans, belle comme la lune.
Samantha – Quoi ? Je suis moche dans la robe ?
Moi – Avec un sac poubelle, tu serais toujours la plus belle. Mon amour, je t’aime.
On descend ensemble. Tout le monde dort. Elle monte dans la voiture, et moi aussi. On démarre. Nous avons trouvé sa glace et sa pizza, mais pas de barbapapa. Nous avons cherché partout, en vain.
Samantha – Mon amour ?
Mon Dieu , elle va me tuer. Que veut-elle encore ?
Samantha – Mon chéri ?
Moi – Oui, ma puce.
Samantha – Quand as-tu commencé à m’aimer ? Et quand as-tu su que tu ne pourrais plus vivre sans moi ?
Moi – Le jour où Arthur t’avait tabassée. C’est ce jour-là que j’ai su que je ressentais quelque chose pour toi. Et quand j’ai réalisé que je ne pourrais plus vivre sans toi, c’est le jour où tu as donné naissance à ces petits monstres. Ma puce, merci beaucoup. Je t’aime. Tu es ma lumière. Ma vie n’était qu’un tunnel sombre, et tu es arrivée pour y mettre de la lumière.
Samantha – Je t’aime, bébé.
Arrivé à la maison, on prend vite une douche et on retourne se coucher. Je la regarde dormir et je suis heureux. Je pose un baiser sur son front et un sur son ventre.
Je me réveille, il est déjà huit heures. Non, j’ai trop dormi. Je descends du lit, ma petite princesse dort toujours. Je prends une douche et descends à la cuisine. Je trouve les enfants, ils font quoi ?
Moi : vous faites quoi ?
Tanya : on cuisine pour vous.
Silvana : puisque maman a chassé toutes les servantes.

Tayron : oui, elle dit que les servantes te font les yeux doux.
Taylor : oui, j’ai remarqué ça aussi, papa. On sait tous ici que tu es beau, mais ça ne te donne pas le droit de sourire avec une autre femme à part maman, tata Nikita, tata Nadia et tata Marie-Belle.
Taylan : sinon, on va emballer ton joli visage.
Tanya : oui, sa Majesté, ne sourit plus avec une autre femme.
Silvana : compris, Mr El Chapo ?
Non, je rêve ou ces enfants viennent de m’avertir ? Tout ça, c’est la faute de Sam.
Moi : compris, les monstres. Bon, laissez-moi goûter votre repas.
Ils me laissent goûter.
Moi :....
Les enfants : quoi ?
Moi : trop de sel, trop de cube, trop de piment, trop d’eau. Bon, on reprend sinon votre maman va couper nos têtes.
Nous avons cuisiné ensemble. Ma mère n’est pas là, elle est en voyage avec la mère de ma femme. Après avoir dressé la table, j’appelle mon amour. Elle descend, elle porte une robe bleue volante. Toujours belle, ma petite Samy, je l’aime tellement.
Après avoir fini, Victor est venu chercher les enfants car Nadia se sent seule. Bon, je suis avec ma puce dans la cuisine. Elle n’arrête pas de manger. Porter quatre bébés, ce n’est pas du tout un jeu. Une fois son assiette finie, j’arrange la cuisine. Madame a chassé toutes les servantes par jalousie.
Je la mets sur la table et l’embrasse.
Samantha : hum, arrête, bébé.
Moi : j’ai trop envie de toi, mon…
Samantha : oh, donc tu démissionnes ?
Moi : ma puce, stp.
Samantha : Nous avons parlé, vous les hommes, vous ne pouvez pas tenir. Donc, nous, les femmes, avons gagné.
Moi : je t’aime, mon amour. Oui, vous avez gagné.
Samantha : tu es tout pour moi, je t’a… hummmm.
Je venais de la pénétrer. Nous avons baisé à la cuisine, au salon, sous la douche, dans la chambre, dans chaque recoin de la maison.

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Le soir, Victor vient déposer les enfants. Nadia a tressé les enfants, femmes comme garçons. Je n’ai jamais coupé les cheveux des garçons, donc imaginez leur tête ! Lol 
Samantha : je ne savais pas que Nadia savait tresser, hein ?
Moi : tu veux te tresser aussi ?
Samantha : non, mon amour, mais je veux couper mes cheveux.
Moi : mais pourquoi ? J’adore tes cheveux comme ça.
Samantha : ça va repousser, bébé.
Moi : ok, moi aussi, je vais me raser.
Samantha : QUOI ? MAIS POURQUOI ?
Moi : ça va repousser, bébé.
Samantha : c’est bon, je ne vais plus les couper.
Moi : moi non plus.
Elle me lance un regard noir avant de monter avec les petits monstres.
                VICTOR ET NADIA SWIFT
Je suis tellement en colère, pourquoi elle ne m’a pas écouté et si ils lui avaient fait du mal hein ? Comment j’allais vivre sans elle hein et nos enfants. Ça fait un mois que je l’évite.Toute la journée d’hier, je suis resté à la maison et je n'ai fait que l'éviter.
Là, je rentre dans la salle de bain.
Si vous savez à quel point je suis triste , mon bébé m'évite, il ne veut même plus me voir, ni me parler. Seigneur, je ne peux plus tenir. Je ne le trouve pas, mais j’entends du bruit dans la salle de bain. J'y vais et je me mets devant la porte.
Moi: Bébé, tu veux que je t’aide à te laver le dos?
Victor (en sursautant) : \"Que fais-tu ici ?\" (reprend ses esprits) \"Pas besoin de ton aide, j'ai déjà fini\", dit-il sans me regarder.
Je retourne dans la chambre. Il en ressort quelques minutes plus tard, se dirige vers le dressing sans me jeter un regard.
Moi : \"Tu vas m'ignorer encore longtemps ?\" Dis-je en m'approchant de lui. Il est torse nu, des gouttes d'eau sur son corps et ses cheveux mouillés. Qu'il est beau, mon bébé.
Victor : \"Qu'est-ce que tu veux ?\"
Moi : \"Je te veux.\" Je saute sur ses lèvres et les embrasse sauvagement, il se laisse aller, m'encourageant. Je le caresse en lui murmurant des mots doux.
Moi : \"Oui bébé, je t'aime, je te veux mon amour. Je veux te sentir en moi, t'entendre prononcer mon nom et me demander d'aller plus loin, de me posséder.\"
Il me guide vers le lit et m'y jette tout en continuant à m'embrasser. Il est au-dessus de moi, je sens sa verge dure et chaude contre ma chatte, mais il ne me pénètre pas.
Moi : \"Bébé, je suis désolée, je ne voulais pas te désobéir. Je voulais juste voir les enfants\".
Lui :
Moi : \"Mon amour, parle-moi s'il te plaît.\"
Il reste silencieux et se lève de sur moi.
Moi : (en pleurant) : \"Désolée mon amour, s'il te plaît parle-moi, sinon je vais mourir\".
Victor : \"Ferme-la maintenant et couche-toi.\"
Moi : \"Bébé, je...\"
Victor : \"Dors, j'ai dit .

Victor Belagoune
Cette fille est vraiment difficile, mais elle a réussi à me calmer. J'ai tellement envie d'elle mais je me retiens. J'éteins la lumière et m'endors. Je peux l'entendre pleurer et ça me brise le cœur. Je la retourne, allume la lumière et la prends dans mes bras.
Moi : Calme-toi s'il te plaît, je ne suis plus en colère.
Nad : Bébé, je suis désolée.
Elle monte sur moi en califourchon et commence à m'embrasser. J'essaie tant bien que mal de résister, mais c'est impossible. Je la retourne et commence à sucer ses seins après avoir dénoué son peignoir. Elle était totalement nue en bas.
Nad : Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je t'aime bébé.
Moi : Tu aimes ça, n'est-ce pas ?
Nad : Oui oui bébé, ne t'arrête surtout pas, vas-y j'adoreuhhhh.
Je descends dans sa chatte que je mange proprement, elle est tellement délicieuse ma p'tite chérie. On passe toute la nuit à faire l'amour, encore et encore, sans pour autant s'arrêter...!