GUERRE ENTRE SOEURS
CHAPITRE 44
Alma toi aussi hein
- Nuit mouvementée !
- Yvonne menace de tuer Adriana si Michaël ne l'épouse
CHEZ ALMA ET DELVIN
Celle-ci venait de rentrer à 22 h, mieux, elle avait été déposée par Bradley. Les deux s’étaient rapprochés, ce que Delvin n’aimait pas du tout. Aujourd’hui, il était allé l’attendre au boulot, comme à chaque fois, mais il avait appris qu’elle était sortie avec un certain Bradley depuis midi et qu’elle n’était pas revenue. Énervé, il avait quitté l’entreprise.
Après avoir fermé la porte du salon, elle allume la lampe et sursaute en voyant Delvin assis sur le canapé, la regardant.
Delvin : d’où est-ce que tu sors ? À pareil heure ?
Alma : cela ne te regarde point, à ce que je sache.
Delvin s’approche d’elle, son regard rouge de colère.
Delvin : TU VAS TOUT DE SUITE ME RÉPONDRE. D’OÙ VIENS-TU ?
Il crie sur elle, et elle tremble de peur.
Alma, bégayant : je... j’étais avec Bradley... j...
Delvin : encore ce con, tu faisais quoi avec lui ?
Alma : rien qui ne te concerne. Et puis, pourquoi tu me poses cette question ? Je n’ai aucun compte à te rendre, je…
Delvin : oh que si, car tu es ma femme. Je ne vais pas te laisser me prendre pour un imbécile en te cocufi ant avec ce lézard.
Alma : nous sommes mariés que sur papier, et de surcroît par contrainte.
Elle le défie du regard.
Delvin : quoi, c’est son sperme qui agit actuellement en toi pour que tu puisses me parler aussi fièrement ?
Alma, offusquée : je ne te permets pas.
Delvin, énervé, la coince contre la porte.
Delvin : TU NE ME PERMETS PAS QUOI, HEIN, SALE PUTE. DIS-MOI, IL T’A BIEN BAISÉ. EST-CE…
Il ne termine même pas sa phrase avant de recevoir une paire de gifles qui fait basculer sa tête.
Alma : de quel droit oses-tu me parler ainsi ? dit-elle en tremblant de peur face aux yeux rouges de Delvin.
Delvin : du droit que j’ai en tant que ton mari. N’ose plus me porter la main, sinon tu ne vas pas aimer ce que je te ferai.
Alma : tu n’es pas mon mari, je…
Delvin : eh bien, c’est ce que nous verrons tout de suite.
Il la capture possessivement par les lèvres.Il essaie de traverser le barrage de ses dents, mais c’est impossible.Pourtant, il n’abandonne pas jusqu’à ce qu’elle lui donne accès à sa langue.Il enfonce la sienne au fond de sa gorge pour déguster sa bouche tout en la caressant.Malgré elle, elle se montre réceptive.Sa raison lui crie de le repousser, mais son corps n’obéit pas.
Alma, gémissant alors qu’il embrasse son cou : tu… ahh… tu fais… qu…oi… mmh.
Delvin : je veux juste te montrer que je suis ton mari et que tu es ma femme.De ce fait, j’ai tous les droits sur toi.
Il reprend ses lèvres en captivité, les dévorant comme un fou. Il la soulève, et elle agrippe sa taille de ses jambes.Il monte vers sa chambre, toujours en l’embrassant.Arrivé dans la chambre, il la pose sur le lit et recommence à l’embrasser et à la caresser, étant au-dessus d’elle.
Delvin : tu m’as déjà rendu fou comme ça, petite.
Alma lui caressant la tête : oh oui.. c’est tellement bon ahh,
ll déchire son haut avant de s’attaquer à ses seins dont il mange le gauche et malaxe le droit tout en parcourant son corps de sa main de libre. Ses doigts étaient partout sur son corps. Progressivement, il descend vers sa féminité avant d’envoyer un doigt dans sa culotte pour une exploration mais
Alma interrompt : NON, stp…
Delvin : chut ! Ça va passer .
Il dit en voulant forcer, mais elle s’y oppose à nouveau.
Alma : non.. j’ai peur…je.
Delvin d’un ton autoritaire : \"enlève ta main.
Il dit en la regardant dans les yeux. Ses yeux étaient remplis de désirs. Il l’embrasse avant de descendre la tête entre ses cuisses écartées offrant vue sur sa petite culotte qu’il déchire d’un coup, lui arrachant un cri. Sans qu’elle ne s’y attende, il envoie sa langue bien fraîche en elle, lui créant de nombreuses sensations fortes. La jeune femme n'ayant jamais connu cela hurlait de plaisir lorsqu'il décide d’augmenter la dose en y ajoutant un doigt tout en malaxant ses deux seins avec une main, lui procurant un plaisir inouï entre ses cuisses.
Alma tire sur ses cheveux, se tordant de plaisir : \ah…oui..mhhahh ..Del…ahhh oui…oh … seigneur.
Celui-ci s’active à ce que ses coups de langue soient rapides. Lorsqu'il la sent trembler, il sait déjà qu’elle est sur le point de jouir et augmente la cadence avec son doigt jusqu’à ce qu’elle crie en essayant de fermer les jambes.
Alma tremblante : Je ..je ..vais …. uriner,
Elle dit en déversant sa fontaine. Il la regarde se tortiller sur le lit, les pupilles dilatées, en souriant. Il descend son jean suivi de son boxeur puis monte sur elle en la regardant avec une regard sombre.
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Delvin : Ce soir, je vais te donner tellement de plaisir que tu me supplieras en larmes de continuer encore et encore.
En entendant cela, elle ouvre les yeux et se perd dans le regard brûlant de désir de Delvin, qui l'embrasse tout en cherchant à la pénétrer . Elle se crispe en sentant sa lente intrusion alors qu'il l'embrasse passionnément. Lorsqu'il est complètement en elle, elle lâche ses lèvres et le griffe violemment quand il atteint le plus profond d'elle.
Alma, en pleurs et griffant fortement le dos : putain...
Delvin : Chut, ma belle, ça va aller, dit-il en restant immobile en elle et en caressant doucement sa peau.
Alma : J'ai mal... je...
Delvin : Fais-moi confiance, je ne te ferai aucun mal, dit-il en la regardant, elle hoche la tête.
C'est ainsi qu'il commence à bouger doucement en elle, avec des mouvements profonds, passionnés et tendres à la fois. Après quelques minutes de mouvements lents, la douleur s'estompe progressivement, laissant place aux gémissements d'Alma qui lui demande d'aller plus vite et plus fort. Delvin ne se fait pas prier et intensifie ses mouvements.
Alma : ahhh oui... plus fort, bébé ahhh, dit-elle en lui griffant férocement le dos et les bras alors qu'il la pénétrait profondément avec des coups vigoureux.
Elle pleurait même tout en demandant encore plus.
Delvin : Tu es tellement délicieuse, oh oui, quel plaisir, dit-il en la mettant en levrette pour la pénétrer encore plus vigoureusement.
Elle se cambre davantage offrant son intimité à Delvin, qui se réjouit de la manière dont il la prend et du rythme soutenu. Elle agrippe fermement le drap en criant parfois de plus de vitesse et parfois de ralentir. Elle enchaîne orgasme sur orgasme avant qu'il ne libère sa semence chaude en elle après un moment intense. Les deux tombent épuisés sur le lit, le corps couvert de sueur. Ils ne mettent pas longtemps à sombrer dans un profond sommeil, se blottissant l'un dans les bras de l'autre.
Le lendemain matin, lorsque Alma se réveille, elle ne trouve pas Delvin à côté d'elle. En se remémorant la nuit précédente, elle sourit et se demande pourquoi il lui a fait l'amour de cette façon s'il ne la supporte pas, mais une chose est certaine : elle ne peut plus se mentir, Delvin lui plaît.
Alma : Mon Dieu, c'était merveilleux.
Conscience : Et s'il a juste profité de toi encore ?
Alma : Laisse-moi en paix, il ne peut pas avoir fait ça, dit-elle sans savoir que Delvin était dans la chambre, le torse nu, dégoulinant d'eau et une serviette attachée à la hanche. Il ne comprenait pas pourquoi elle parlait seule.
Delvin : Ne me dis pas que tu te parles toute seule maintenant, dit-il avec douceur.
Alma, sursautant : Euh, bonjour.
Delvin : Bien dormi, j'espère ?
Alma : Euh, oui, mais je...
Delvin : Dis-moi, dit-il en la fixant.
Alma : C'était quoi ce qui s'est passé hier ?
Delvin : C'était quoi, quoi ? Dit-il en souriant en coin.
Alma : Je... Je parle de ce que tu as fait ?
Delvin : J'ai fait quoi ?
Alma : Mais je parle du fait qu'on a couché ensemble.
Delvin : Ne me dis pas que tu n'as pas aimé, j'en doute fort vu tes œuvres sur moi. Regarde mes bras et mon dos que tu as griffés tellement tu aimais mes coups de reins et en redemandais.
Alma, mettant le drap sur la tête : Mais, arrête...
Delvin : Je dois arrêter quoi ? dit-il en venant s'asseoir près d'elle avant de tirer le drap de son visage.
Leurs yeux se croisent. Ils n'arrêtent pas de se fixer.
Alma : Quoi ?
Delvin : Rien, à part que tu es très belle.
Elle rougit automatiquement.
Alma, touchant son front : Euh, tu vas bien ?
Delvin : Oui, ma toute belle, dit-il en caressant sa joue.
Alma : Tu joues à quoi ?
Delvin : Rien, je passe des moments avec ma femme, c'est un problème ?
Alma : Mais il y a deux jours encore tu me...
Delvin : Chut ! Profitons du moment et oublions le passé. Je veux qu'on se donne une chance, car je sais que je te plais bien bébé, et pas qu'un peu, si tu vois bien ce que je dis, dit-il en lui faisant un clin d'œil.
Alma : Euh, d'accord, dit-elle en le fixant.
Il l'embrassa.
Delvin : Va te doucher, le petit déjeuner est prêt. Alma : Et c'est toi qui l'a préparé ? Delvin : Oui, un problème ? Alma : Euh, non. Et ta fiancée alors ? Delvin : C'est fini avec elle depuis des mois, depuis le jour où tu lui as menti. Alma baisse la tête : Je m'excuse, je voulais juste te... Delvin : Hé, c'est bon, tout ça, c'est ma faute et je crois qu'elle trouvera mieux que moi, dit-il en relevant sa tête à l'aide de son menton. Alma : Tu es quelqu'un de bien finalement. Delvin : Oh, j'espère que ce ne sont pas mes coups de reins qui t'ont détournée du vrai chemin, dit-il pour la taquiner. Alma : Mais arrête, dit-elle en lui frappant l'épaule. Il l'imita, puis elle éclata de rire. Il n'a cessé de la regarder. .
Elle était là lorsque Michaël, fraîchement libéré, s'approcha d'elle, un homme menaçant derrière lui, un revolver à la main.
Yvonne, se levant : oh mon amour, bonjour, dit-elle en tendant les bras pour l'embrasser, mais il détourne la tête.
Michaël : ne me touche pas.
Yvonne : laisse-nous, Ignace.
Ignace : et s'il essaie de partir ?
Yvonne : il ne le pourra pas, sachant que je détiens sa femme et son fils.
Ignace s'éloigna.
Yvonne : assieds-toi.
Michaël : je ne m’assois pas avec les garces.
Yvonne, souriante : mais tu m'offenses, mon chou. Pas grave. Je vais t'aider à t'asseoir. Elias, viens ici, s'il te plaît.
Elias s'approcha.
Elias : oui, patronne, que puis-je pour vous ?
Yvonne : je veux que tu ailles chercher Adriana et que tu lui donnes une bonne leçon.
Elias : comment ça ?
Yvonne : fais d'elle ce que tu veux, dit-elle en lançant un regard à Michaël.
Elias : ok, chef, dit-il en s'apprêtant à partir.
Michaël : attends, dit-il, s'asseyant finalement.
Elle fit signe à Elias de ne rien faire.
Yvonne : voilà, tu es docile quand il le faut. Maintenant, écoute-moi bien, mon chéri, dit-elle en croquant dans une pomme.
Michaël : qu'est-ce que tu veux ?
Yvonne : bah, je te veux tout simplement, mon chou.
Michaël : et moi, je ne veux pas. Tu ne vas pas m'obliger à être avec toi, non ?
Yvonne : si, si, et tu m'obéiras.
Michaël : on verra, petite sotte. Tu ne sais pas à qui tu te frottes.
Yvonne : écoute-moi bien, dans une semaine, nous allons nous marier, que tu le veuilles ou non.
Michaël : rêve toujours, et je veux voir ma femme et mon fils.
Énervée, Yvonne prit son arme et tira deux fois en l'air, faisant sursauter Michaël.
Michaël : ça va pas ou quoi ?
Yvonne : tu as le choix : m’épouser ou voir ta femme morte et ton fils porté disparu.
Michaël : QUOI ?