SUBLIME VENGEANCE 20
Bonne lecture mes amours
LA petite plume
CHAPITRE 20: La nuit de passion
20. LA NUIT DE LA PASSION
« Les nuit de passion sont les plus courte et les plus intenses » La petite plume
ALEXANDRE
« Les nuits de passions sont les plus courte et les plus intense »
Je pris sa main et elle se laissait aller, elle me suivait sans hésitation
nous avons monté les marches d’escalier ensemble
Moi devant qui la guidait, et elle derrière qui me suivait
J’ai ouvert la porte et je l’ai tiré à l’intérieur, claquant la porte derrière moi et la plaquer au mur
J’avais hâte de la découvrir, je saisi à nouveau ses lèvres qui s’offrait à moi, je les savourais avec ferveur
De ses mains, elle m'agrippe ma tête et fonce les doigts dans mes cheveux
Se pressent contre moi dans un désir ardent et décomplexé
Ce qui m’excitait encore plus c’est que nous nous nous désirons mutuellement, la même excitation
Sa bouche est douce et chaude, pendant que sa langue se mêle à la mienne,
Ses dents me pince fougueusement la lèvre inférieure
Ell s’abandonnait complètement à moi
Au diable mes principes, au diable ma vengeance
Aucune femme ne m’avait jamais fait ressentir cela,
aucune femme ne m’avait autant fait perdre le contrôle
C’était la sensation la plus belle et la plus étrange que je ressentait
Je ne me retenait pas, je donnais tout ce que j’avais à offrir
Si j’avais encore un peu de contrôle de mes acte,
il s’évapore lorsque je ressens cette petite pointe de douleur
Avec un grognement sourd, je la pousse sur le lit faisant passer sa robe par dessus sa tête
Et je le jette sur le coter tant dit qu’elle tombe à la renverse sur la couverture
En dessous, elle porte une lingerie fine de couleur noir, elle était magnifique
Cette lingerie épousait d’un jolie petit corps à la merveille
On aurait dit qu’il avait été fabriqué pour elle, mais pour qui s’était elle fait aussi belle ?
J’en un pincement au cœur à simple pensée qu’elle pourrait aimer un autre
Qu’un autre pourrait la toucher, non s’était impossible, elle était à moi
La vision embrouillée par le désir, je monte sur le lit et j'enfourche ses jambe étroite
Dégrafant son soutien gorge d’un mouvement éclair, elles étaient à la porter
Je me mis à les laper, elle se cambre m’exposant sa poitrine de plus belle
Avec la même ferveur, elle me déboutonna, aussi vite que deux bouton s’arrachèrent
Et je les entends tomber sur le sol mais je me en foutais royalement
Le reste de nos vêtements ont disparu en un laps de temps
Elle se trémousse nue sur mon corps, ses oncle m’en poignaient le dos
Pendant que je faisais pleuvoir des baisers dans son cou
Ma mains s’aventure le long de son corps et je pu enfin réaliser
mon fantasme d’y à quelques minutes plutôt
Je lui lapais le ventre en m’y attardant sur son nombril avant d’atteindre
les colonnes lisse de ses cuisses et la moiteur torride de son sexe
Je lui écarte les cuisses et descend l’eau à la bouche à la perspective
de goûter cette chaleur humide
Son sexe est aussi jolie que le reste de son corps, rose et lisse, entièrement épilée
Sans plus attendre, je m’en délecte passant la langue
sur sa vulve détrempée avant de m’aventurer entre les déplis
« aaah » gémit elle en décollant les hanches du lit lorsque j’atteins ma cible
Ses mains se crispe dans mes cheveux, les serrant fermement pendant que je la suce
Puis lèche son clitoris à un rythme cadencé laissant mes dent la frôler
à chaque coup de langue
Elle est à la fois sucré et salé aussi délicieuse que je le pensais.
Ma queue frémit avec un besoin éperdu de s’enfouir en elle
J’ai envie de son orgasme tout autant que du mien, alors j’accélère le rythme
Ses gémissements gagnent du volume et
ses hanches vont et viennent avec une impatience croissante.
Je perçois le moment précis où ça se produit. Dans un cri,
elle se cambre contre moi, les yeux plissés,
et tout son corps est ébranlé en même temps qu’un orgasme
au parfum riche enduit mes lèvres et ma langue.
« Alexandre » crit-elle en s’agrippant à moi
Son cœur bat à mille à l’heure, je la sens trembler dans mes bras
J’attends quelques secondes que ses spasmes s’apaisent,
puis je me redresse, la couvrant de mon corps
Alors je place un genoux entre ses cuisse pour les écarter,
puis je m’enfonce brusquement en elle
Elle est plus mouillée que jamais, pourtant, mes si son corps est prêt à me recevoir,
j’ai du mal à me freiner un chemin
Ce qui ralentit mon geste, j’y suis allé un peu plus fort j’ai l’impression,
elle est étroite et très chaude, elle s’agrippe à moi ce qui me fait m’arrêter
« Je te fais mal? » ma voix est rauque envahis par le désir
« Non…pas du tout » me dit-elle essoufflé
C’est un mensonge je le sais, sa me fait plaisir de savoir qu’elle ne veut pas que je m’arrête
Alors je n’y tient pas compte, sans toutefois m’arrêter Biensure
J’essaie de l’introduire complètement en elle avec autant de délicatesse que possible
Elle lâche un cri et moi un grognement quand j’y suis enfin parvenu
Putin…elle est si bonne…si chaude que je doute fort de tenir longtemps
Elle ne se laisse pas faire et m’entoure de ses jambes
pour m’attirer encore plus profondément en elle…j’en perd la tête
Je lui saisit aussitôt les lèvres dans un baiser aussi intense
que savourant avant de me mettre à bouger en elle
Elle me rend mon baiser avec la même avidité farouche
tant dit que j’accélère avec les mouvements de vas et vient
Un nouvel orgasme éclate et elle s’agrippe à moi en gémissant dans
ma gorge sans toutefois se détacher de mes lèvres
Mon sang bouillonne et l’extase qui m’envahit me fait l’effet
d’une éruption volcanique dans mon corps
Je me délecte de ses lèvres, je lui regarde dans les yeux, elle maintient mon regard tout en gémissant
Elle est si belle, si pure, je saisit un paire de ses sein et j’accélère les mouvements de plus belle
Je le sens arriver, je sens les battements de mon cœur s’accélérer,
ma vision devient blanche, mon souffle haletant me semble assourdissant
Et chacune de mes terminaison nerveuse s’éveille à la vie
Je lâche un dernier grognement dans ses oreilles lorsque mon propre orgasme me terrasse
Je m’allongeais à ses côté, là serrant dans mes bras essayant de récupérer mon souffle
Elle s’inclina et de ses deux mains elle me saisit la joie et posa ses lèvres contre les miennes
« Merci » me dit elle d’une voix à peine audible avant de se blottir contre moi
De quoi me remerciait-elle ?
Était-elle au courant que je n’avais jamais vécu une t’elle expérience dans ma vie?
Je me sentais vivant, revivre, c’est comme si je n’avais jamais exister pendant tout ce temps
Alors, c’était à moi de la remercier
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