SUBLIME VENGEANCE 19
Bonne lecture mes amours
La petite plume
CHAPITRE 19: Le désir qui consume
19. LE DÉSIR QUI CONSUME
Le feu qui brûle le plus est celui qui est caché
ALEXANDRE
Je rentrais ce soir très épuisé, c’était bien de gagner des contrats
D’agrandir son entreprise mais l’inconvénient est que sa demandait encore plus de travail
Plus d’énergie, beaucoup plus de réflexion et de précaution pour ne pas tout fait capoter
Déjà que ma journée avait mal commencé, voire l’état dans lequel Danielle était quand je lui ai
remis la demande de divorce m’avait meurtrie
Bien que je ne voulais pas l’admettre, j’étais confus, perdu, je n’y comprenait plus rien,
Je ne la voulais pas près de moi encore moins loin de moi,
J’avais essayé de me consoler par le fait que je lui avais fait entrer dans ma vie pour des
raisons bien précises
La faire souffrir pour atteindre celle qu’elle prend pour sa mère, je n’avais guère l’intention
de la garder près de moi définitivement
Mais jusque-là, la voir souffrir comme je l’avais prévu me faisait encore plus mal…qu’elle ironie
J’avais finis par croire qu’elle ne méritait pas ça, qu’elle n’y était pour rien,
qu’elle n’avait pas à payer pour une vengeance dont elle ignorait l’origine
Je pensais qu’elle n’était peut-être pas comme toute les autres, et pour cela j’avais décidé de
la laisser partir
Bien que cela me faisait du mal, il le fallait, que je la laisse s’en aller pour son bien à elle
Du moins c’est ce dont je m’étais persuadé jusqu’à l’appel de sa soit disante
meilleure amie ce matin…
Elle n’était qu’une manipulatrice, comme toute les autres
A peine arrivé je me dirige dans sa chambre, j’ouvre la porte et la pièce est vide
J’entre sans prendre la peine de fermer derrière moi,
je jette un coup d’œil dans la salle de bain et elle n’y est pas
Je regarde autour et je remarque l’enveloppe que je lui ai remis ce matin,
dessus est posée la demande de divorce
Elle ne la pas signé, alors je ne me trompait pas,
je sors de la pièce et je fais appel à Martha
« Où est Danielle ? »
« Elle n’est pas encore rentré du travail monsieur »
Je regarde à ma montre et celui-ci marque 19h elle était censé finis le travail depuis 1h
Où a t’elle bien pu aller ?
Martha s’éloigne et je m’affale sur le canapé un verre de whisky à la main
Cela fait 2h que j’attends et madame n’est toujours pas de retour, j’aurais bien pu lui passer
Un coup de fils mais à quoi bon? Je veux bien voir où la conduira sa liberté
Mais une question me préoccupait l’esprit, où peut-elle bien être en ce moment ?
Que fait-elle?
Je suis assis au salon les lumières éteintes entrain de vider mon verre
quand j’écoute la porte grincer
Les bruits de ses talon me confirme exactement que c’est elle quand elle entre dans la pièce
Elle ne prend pas la peine d’allumer,
je l’écoute se diriger vers les marches d’escalier qui conduisent dans la chambre
« C’est une heure pour rentrer ? » elle fit un petit cris avant de répondre
« Alexandre ? » Demanda t’elle en se retournant je suppose
« Tu ne réponds pas à ma question, tu as terminé le boulot depuis 4h »
Nous étions toujours dans l’obscurité, la pièce était calme et sombre, elle n’avait pas avancé
Elle était rester sur place, j’avais pu écouter une forte inspiration de sa part
Ce qui reflétait sans doute son agacement je suppose
« J’étais chez maman »
« Est-ce une heure pour une femme mariée de rentré chez elle ?
Tu n’a même pas daigné me tenir informer »
Elle émit un rire ironique, mon cœur se noua tout d’un coup, elle se moquait de moi
J’ai allumé la lampe de chevet qui était à ma gauche, je voulais voir l’expérience de son visage
Je voulais qu’elle me regarde en face avant de d’osées faire n’importe quoi d’autre
Elle pris immédiatement un air sérieux en me voyant,
je ne sais plus combien de verres j’avais ingurgité
J’avais la mine serré, je n’avais qu’une seule envie…lui serrer le cou et ensuite…et ensuite…
Je réfléchissais à la suite et mon esprit se baladait, je la dévisageais du regard
Sa robe verte citron lui allait à merveille, et ses cheveux coiffés de cette manière…
Je crois qu’elle ne les avaient jamais bouclé de cette façons lors de nos sortis
Le reste de son corps je n’arrivait pas à le voir à cause de l’obscurité
Je voulais voir plus, je n’arrivait pas à me contenter de cela
« Tu m’a demandé le divorce ce matin…et…depuis que nous sommes ensemble
tu ne m’a jamais considéré comme ta femme de toute les façons »
A t’elle lancer me faisant sortir de mes pensées
« C’est pour cette raison que tu as orchestré ce jeux stupide avec ta copine? »
Dis-je en me levant, je me suis approché d’elle un peu trop même ce qui l’a faisait reculer
Plus j’approchais, plus elle se reculait jusqu’à heurter le mur
J’enfoui ma tête dans son cou humant ainsi son doux parfum, elle sentait si bon
Je crois que ma réaction là surprise au point où elle n’eut le courage de me répondre
Mon nez effleura légèrement sa peau et je la ressentait tressaillir
Je n’avais qu’une seul envie la couvrir de baisers et je ne me laissa pas languir plus longtemps
Je posa mes lèvres sur son cou, elle ne s’y attendait pas,
elle avait presque sursauter au contact de ma peau
Ce qui me fit attraper sa hanche, elle était si fine, bon sang,
je mourrais d’envie de la posséder
Avec ma langue je montais doucement jusqu’à son oreille avant de la mordre un tout petit peu
Elle émit un léger gémissement, rien de plus pour me faire perdre la tête
Elle aimait ce que je lui faisais,
j’étais assez proche d’elle pour écouter son cœur battre à vive allure
« Alexandre » a t’elle dit d’une voix à peine audible
C’était comme une mélodie à mes oreilles, putin pourquoi me faisait-elle autant d’effet?
Je lui pris les lèvres avec tant de force qu’elle fut un peu désorienté,
c’est seulement là que je constata qu’elle l’avait un sac à main
Elle l’avait laissé tomber, elle se laissa aller et nous nous embrassons avec ferveurs
Ce n’était pas comme le baisers de l’autre soir à la cérémonie, non,
C’était beaucoup plus agressif, possessif, ardent et sensuelle en même temps
Sa faisait un bon bout de temps que je rêvais de ce moment,
une femme n’avait jamais autant hanté mes pensées
Elle s’abandonna complètement à moi, je passais mon autre main sur ses hanches
pour mieux la rapprocher plus qu’elle ne l’était déjà
On s’accordait si bien, je n’hésitais pas à lui caresser le corps sur ses vêtements
Je faisais passais mes mains sur ses petite fesses rebondies
se qui me fit avoir un grognement
Putin elle était parfaite, je montais un peu plus haut en passant par son sublime ventre plat
Je pensais alors à comment je pouvais le couvrir de baisers, passer ma langue sur son nombril
Elle devrait être si délicieuse, je continuais ma route puis je m’arrêtais sur ses seins
Rien qu’au toucher je pouvais ressentir que ses téton avait durci
J’imaginais ses magnifiques petits seins rond à ma portée, à ma merci
Elle ne m’arrêtait pas, bien au contraire, elle se trémoussait à chaque touché, à chaque caresse
Elle m’offrait son corps, je pouvais en faire ce que je voulais
Toujours en l’embrassant, je descendis la manche de sa robe
et je me détacha enfin de ses lèvres pour y déposer des baisers
Elle inclina la tête en arrière pour pouvoir mieux s’offrir, je glissa ma langue sur son cou
Un pure délice, une flamme se répandit en moi me couvrant de désir
Je la désirais tant, j’émis un grognement sourd
mes doigts se pressèrent avec plus d’insistance sur ses seins
Je les massais comme si je voulais y extraire quelque chose,
et d’une autre main je pris ses fesses et les compressaient avec la même vigueur
Elle s’agrippa à moi comme pour ne pas s’effondrer et
je compris que je venais de trouver son point faible
Je me détacha aussitôt d’elle, je levais ma main pour arriver à l’interrupteur
Elle avait sans doute ressenti en cette instant l’effet qu’elle me faisait
Elle avait sans doute compris que ma carapace était tomber
Qu’elle avait gagné la partie, oui je l’admets, elle avait remporté la partie
Néanmoins, je pouvais voir le même désir sur le visage de ma femme
Elle était un peu troublé mais cela n’y changeait rien, où peut-être que si
Car ce brin d’incertitude dans son regard m'excitait encore plus
Malgré le fait que je l’avais presque décoiffé, je pouvais remarquer que sa coiffure lui allait bien
Plus question qu’elle les nouent, on se regardait les yeux dans les yeux
Sans pouvoirs dire un mot, elle attendait que je fasse le premier pas mais j’hésitais
Nous respirons comme si nous venions de courir un marathon, était-ce là bonne conduite à suivre
Et depuis quand je me souciais de ce qui était bon ou mauvais ? J’avais envie d’elle ce soir
Je la désirais plus que tout, et elle aussi d’ailleurs, le reste on verra au lever du soleil
- Vous pouvez retrouver l’épisode précédent via le lien suivant
« Le feu qui brûle le plus est celui qui est caché »