Littérature > Romance

SUBLIME VENGEANCE 19

Bonne lecture mes amours

15 sept. 2024 - 7 Minutes

La petite plume 

CHAPITRE 19: Le désir qui consume 

19. LE DÉSIR QUI CONSUME 

Le feu qui brûle le plus est celui qui est caché 

ALEXANDRE 

Je rentrais ce soir très épuisé, c’était bien de gagner des contrats 

D’agrandir son entreprise mais l’inconvénient est que sa demandait encore plus de travail 

Plus d’énergie, beaucoup plus de réflexion et de précaution pour ne pas tout fait capoter 

Déjà que ma journée avait mal commencé, voire l’état dans lequel Danielle était quand je lui ai

remis la demande de divorce m’avait meurtrie 

Bien que je ne voulais pas l’admettre, j’étais confus, perdu, je n’y comprenait plus rien,

Je ne la voulais pas près de moi encore moins loin de moi, 

J’avais essayé de me consoler par le fait que je lui avais fait entrer dans ma vie pour des

raisons bien précises 

La faire souffrir pour atteindre celle qu’elle prend pour sa mère, je n’avais guère l’intention

de la garder près de moi définitivement 

Mais jusque-là, la voir souffrir comme je l’avais prévu me faisait encore plus mal…qu’elle ironie 

J’avais finis par croire qu’elle ne méritait pas ça, qu’elle n’y était pour rien,

 qu’elle n’avait pas à payer pour une vengeance dont elle ignorait l’origine 

Je pensais qu’elle n’était peut-être pas comme toute les autres, et pour cela j’avais décidé de

la laisser partir 

Bien que cela me faisait du mal, il le fallait, que je la laisse s’en aller pour son bien à elle 

Du moins c’est ce dont je m’étais persuadé jusqu’à l’appel de sa soit disante

meilleure amie ce matin…

Elle n’était qu’une manipulatrice, comme toute les autres

A peine arrivé je me dirige dans sa chambre, j’ouvre la porte et la pièce est vide

J’entre sans prendre la peine de fermer derrière moi,

je jette un coup d’œil dans la salle de bain et elle n’y est pas 

Je regarde autour et je remarque l’enveloppe que je lui ai remis ce matin,

dessus est posée la demande de divorce 

Elle ne la pas signé, alors je ne me trompait pas,

je sors de la pièce et je fais appel à Martha 

« Où est Danielle ? »

« Elle n’est pas encore rentré du travail monsieur »

Je regarde à ma montre et celui-ci marque 19h elle était censé finis le travail depuis 1h 

Où a t’elle bien pu aller ?

Martha s’éloigne et je m’affale sur le canapé un verre de whisky à la main

Cela fait 2h que j’attends et madame n’est toujours pas de retour, j’aurais bien pu lui passer 

Un coup de fils mais à quoi bon? Je veux bien voir où la conduira sa liberté 

Mais une question me préoccupait l’esprit, où peut-elle bien être en ce moment ?

Que fait-elle?

Je suis assis au salon les lumières éteintes entrain de vider mon verre

quand j’écoute la porte grincer 

Les bruits de ses talon me confirme exactement que c’est elle quand elle entre dans la pièce 

Elle ne prend pas la peine d’allumer,

je l’écoute se diriger vers les marches d’escalier qui conduisent dans la chambre 

« C’est une heure pour rentrer ? » elle fit un petit cris avant de répondre 

« Alexandre ? » Demanda t’elle en se retournant je suppose 

« Tu ne réponds pas à ma question, tu as terminé le boulot depuis 4h »

Nous étions toujours dans l’obscurité, la pièce était calme et sombre, elle n’avait pas avancé 

Elle était rester sur place, j’avais pu écouter une forte inspiration de sa part 

Ce qui reflétait sans doute son agacement je suppose 

« J’étais chez maman »

« Est-ce une heure pour une femme mariée de rentré chez elle ?

Tu n’a même pas daigné me tenir informer »

Elle émit un rire ironique, mon cœur se noua tout d’un coup, elle se moquait de moi

J’ai allumé la lampe de chevet qui était à ma gauche, je voulais voir l’expérience de son visage 

Je voulais qu’elle me regarde en face avant de d’osées faire n’importe quoi d’autre 

Elle pris immédiatement un air sérieux en me voyant,

je ne sais plus combien de verres j’avais ingurgité 

J’avais la mine serré, je n’avais qu’une seule envie…lui serrer le cou et ensuite…et ensuite…

Je réfléchissais à la suite et mon esprit se baladait, je la dévisageais du regard 

Sa robe verte citron  lui allait à merveille, et ses cheveux coiffés de cette manière…

Je crois qu’elle ne les avaient jamais bouclé de cette façons lors de nos sortis 

Le reste de son corps je n’arrivait pas à le voir à cause de l’obscurité

Je voulais voir plus, je n’arrivait pas à me contenter de cela

« Tu m’a demandé le divorce ce matin…et…depuis que nous sommes ensemble

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tu ne m’a jamais considéré comme ta femme de toute les façons » 

A t’elle lancer me faisant sortir de mes pensées

« C’est pour cette raison que tu as orchestré ce jeux stupide avec ta copine? »

Dis-je en me levant, je me suis approché d’elle un peu trop même ce qui l’a faisait reculer 

Plus j’approchais, plus elle se reculait jusqu’à heurter le mur 

J’enfoui ma tête dans son cou humant ainsi son doux parfum, elle sentait si bon

Je crois que ma réaction là surprise au point où elle n’eut le courage de me répondre 

Mon nez effleura légèrement sa peau et je la ressentait tressaillir 

Je n’avais qu’une seul envie la couvrir de baisers et je ne me laissa pas languir plus longtemps 

Je posa mes lèvres sur son cou, elle ne s’y attendait pas,

elle avait presque sursauter au contact de ma peau 

Ce qui me fit attraper sa hanche, elle était si fine, bon sang,

je mourrais d’envie de la posséder 

Avec ma langue je montais doucement jusqu’à son oreille avant de la mordre un tout petit peu 

Elle émit un léger gémissement, rien de plus pour me faire perdre la tête 

Elle aimait ce que je lui faisais,

j’étais assez proche d’elle pour écouter son cœur battre à vive allure 

« Alexandre » a t’elle dit d’une voix à peine audible 

C’était comme une mélodie à mes oreilles, putin pourquoi me faisait-elle autant d’effet?

Je lui pris les lèvres avec tant de force qu’elle fut un peu désorienté,

c’est seulement là que je constata qu’elle l’avait un sac à main 

Elle l’avait laissé tomber, elle se laissa aller et nous nous embrassons avec ferveurs 

Ce n’était pas comme le baisers de l’autre soir à la cérémonie, non,

C’était beaucoup plus agressif, possessif, ardent et sensuelle en même temps 

Sa faisait un bon bout de temps que je rêvais de ce moment,

une femme n’avait jamais autant hanté mes pensées 

Elle s’abandonna complètement à moi, je passais mon autre main sur ses hanches

pour mieux la rapprocher plus qu’elle ne l’était déjà 

On s’accordait si bien, je n’hésitais pas à lui caresser le corps sur ses vêtements 

Je faisais passais mes mains sur ses petite fesses rebondies

se qui me fit avoir un grognement 

Putin elle était parfaite, je montais un peu plus haut en passant par son sublime ventre plat

Je pensais alors à comment je pouvais le couvrir de baisers, passer ma langue sur son nombril 

Elle devrait être si délicieuse, je continuais ma route puis je m’arrêtais sur ses seins

Rien qu’au toucher je pouvais ressentir que ses téton avait durci 

J’imaginais ses magnifiques petits seins rond à ma portée, à ma merci

Elle ne m’arrêtait pas, bien au contraire, elle se trémoussait à chaque touché, à chaque caresse 

Elle m’offrait son corps, je pouvais en faire ce que je voulais 

Toujours en l’embrassant, je descendis la manche de sa robe

et je me détacha enfin de ses lèvres pour y déposer des baisers 

Elle inclina la tête en arrière pour pouvoir mieux s’offrir, je glissa ma langue sur son cou

Un pure délice, une flamme se répandit en moi me couvrant de désir 

Je la désirais tant, j’émis un grognement sourd

mes doigts se pressèrent avec plus d’insistance sur ses seins 

Je les massais comme si je voulais y extraire quelque chose,

et d’une autre main je pris ses fesses et les compressaient avec la même vigueur 

Elle s’agrippa à moi comme pour ne pas s’effondrer et

je compris que je venais de trouver son point faible 

Je me détacha aussitôt d’elle, je levais ma main pour arriver à l’interrupteur 

Elle avait sans doute ressenti en cette instant l’effet qu’elle me faisait 

Elle avait sans doute compris que ma carapace était tomber

Qu’elle avait gagné la partie, oui je l’admets, elle avait remporté la partie 

Néanmoins, je pouvais voir le même désir sur le visage de ma femme 

Elle était un peu troublé mais cela n’y changeait rien, où peut-être que si 

Car ce brin d’incertitude dans son regard m'excitait encore plus 

Malgré le fait que je l’avais presque décoiffé, je pouvais remarquer que sa coiffure lui allait bien 

Plus question qu’elle les nouent, on se regardait les yeux dans les yeux 

Sans pouvoirs dire un mot, elle attendait que je fasse le premier pas mais j’hésitais 

Nous respirons comme si nous venions de courir un marathon, était-ce là bonne conduite à suivre

Et depuis quand je me souciais de ce qui était bon ou mauvais ? J’avais envie d’elle ce soir 

Je la désirais plus que tout, et elle aussi d’ailleurs, le reste on verra au lever du soleil 

  1. Vous pouvez retrouver l’épisode précédent via le lien suivant 

« Le feu qui brûle le plus est celui qui est caché »

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