SUBLIME VENGEANCE 18
Bonne lecture mes amours
La petite plume
CHAPITRE 18: Le poids du secret
18. LE POIDS DU SECRET
« Qui cache son jeu, cache son destin » la petite plume
DANIELLE
La nouvelle de Sandra m'avait laissée sonnée, je me sentais comme si j'avais reçu un coup de massue
Mais je savais que je devais me ressaisir, je ne pouvais pas me permettre de laisser mes
émotions prendre le dessus au travail. J'ai fait un effort surhumain pour me concentrer,
pour faire semblant que tout allait bien, mais c'était comme essayer de respirer sous l'eau.
Chaque tâche me semblait insurmontable, chaque conversation avec mes collègues me semblait forcée.
Je me sentais comme si j'étais coincée dans un cauchemar dont je ne pouvais pas me réveiller.
Mais je continuais à avancer, à faire semblant que tout allait bien, même si mon cœur était en mille pièces.
La fin de la journée s’annonça j’étais presque achevée,
non seulement par le travail mais aussi par toute les réflexions que j’ai pu avoir cette journée
Seulement, l’avantage de tout ceci est que sa m’éloignait en quelques sorte de ma réalité
Je me remettais encore à repenser à m’a conversation avec Sandra quelques heure plutôt
Comment est ce que Alexandre avait pu a accepté cette interview pourtant il m’avait
demandé le divorce des heures plutôt ?
Je restait perplexe à cette question et j’appréhendais vraiment notre rencontre ce soir
Je m’apprêtais à sortir quand Sandra m’a rejoint
« Hey ma belle c’est l’heure de rentrée »
« Je termine de ranger tout ça et je te rejoins »
Je met mes affaires dans le sac et nous sortons de mon bureau
« Sa te dis un verre comme au bon vieux temps ? »
« J’aurais tellement aimé mais j’ai d’autre projet pour ce soir, je dois aller voir ma mère elle m’a également manqué »
« Oh je comprends, à demain dans ce cas »
« Passe une Bonn soirée » on se fait un câlin je rejoins ma voiture et je roule jusqu’à chez ma mère
Sa fait seulement un mois et demi que je n’ai plus mis mes pieds dans le coin mais on dirait une éternité
J’arrive et je entre car la porte est entre ouverte, je dépose mon sac sur la table
J’enlève mes chaussures avant de me dirigé dans la chambre de ma mère, mais nous nous croisons au couloir
Qui mène dans les chambres, la cuisine et la salade bain, elle ouvra instinctivement les bras
« Oh mon bebe » dit elle en me serrant contre elle
« Salut, maman ! Comment vas-tu ? »
« Je vais bien, ma chérie. Juste un peu fatiguée. Mais je suis heureuse de te voir ! »
Ell était pâle, je regardai ma mère avec attention, elle avait pris de l’âge,
ses cheveux était devenu totalement gris, ses rides s’était accentuée, elle semblait si fatiguée
Je lui pris par le bras et nous allons nous assoir sur le canapé au salon
« Je suis heureuse de te voir aussi, maman. Je me suis dit que je passerais te voir un peu. »
Elle me sourit mais je ne fut pas autant rassuré, elle se mit a tousser
« Tu es sûre que tout va bien maman ? »
« Tout va bien ma chérie, juste une petite grippe qui me menace, rien de bien méchant »
J’avais beau me soucier, lui demander d’aller voir un médecin, elle m’avait rassuré d’y aller si sa ne se calmait pas
Nous parlons de tout et de rien, de la météo, des amis, des voyages...
J’étais tellement heureuse d’échanger à nouveau avec elle, d’être en sa compagnie, dans ses bras
Que je ne vis pas le temps passé, comme j’aimerais aller me coucher dans ma chambre
Comme au bon vieux temps, ma vie n’était pas si mal avant
Je me suis lever et je suis allé dans ma chambre et tout était comme avant
Elle n’avait pas pris la pein de changer les draps sous le lit, mais les lieux étaient propres
Je me suis couché et j’ai fermé les yeux, me rappelant de tous les larmes que j’ai eu à verser sur ses oreillers
De toute les fois où j’ai partagé mes coup de geuele avec Sandra et ma mère,
De mes retour nocturne, de tous les rêves erotique et ses rêves était uniquement destiné à lui…Alexandre
Et moi qui croyais qu’elles deviendront réalité, encore plus ce jour où il me demanda en mariage de la façon la plus improbable qu’il soit
Je ne sais pas combien de temps ma mère a fait devant la porte, c’est seulement quand j’ai sentis sa présence qu’elle s’est invité à entré
« Tout va bien ma chérie » me demande t’elle en prenant place près de moi
« Oui maman, juste que tout cela me manque »
Elle se coucha près de moi et me serra très fort dans ses bras, une étreinte qui me fit chaud au cœur
C’est tout ceux donc j’avais besoin
« Rassure moi ma chérie, il te traite bien j’espère » Siffla t’elle dans mes oreilles
« Biensure maman, qu’est-ce qui te fait croire ke contraire ? » dis-je sur La Défensive en me détachant d’elle
« Si s’était le cas alors cette pièce ne te manquerai pas tant » je fus sans voix
« Ta chambre est toujours là si tu souhaites rentré, tu peux refaire demi tours si tu n’es pas
heureuse, tu n’a pas à avoir peur des regard des autres »
J’étais subjugué par ce que je venais entendre, comment avait-elle fait ?
Comment avait-elle fait pour savoir que je n’étais pas heureuse ? Que je redoutais mes choix ?
Je faisais pourtant l’effort de bien cacher cela et ce n’était pas encore le moment de lui dire
« Tu as beaucoup d’imagination, et je suis dessus que tu veuilles que mon mariage soit un échec »
Dis-je en me levant du lit
« Tu sais très bien que ce n’est pas le cas, rien ne me fera plus plaisir que de te voir heureuse »
« Je dois te laisser maman, passe une bonne nuit, je repasserais »
Je lui fit une bise sur la joue avant de m’éclipser, j’arrivais devant la porte quand ma mère m’interpellait
« Je t’aime ma chérie tu le sais n’est-ce pas ? »
« Biensure maman, je t’aime aussi » elle me serra très fort dans ses bras et me fit lui promettre de prendre soin de moi
Je retounra mes talons et sorta de la maison me sentant un peu coupable de ne pas avoir été honnête avec ma mère
mais soulagée de ne pas avoir à lui raconter tout ce qui se passe. Elle n’en avait pas besoin pour le moment
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« Qui cache son jeux, cache son destin »