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Ma jolie voleuse

Lanice plume

Sep 10, 2024 - 7 Minutes

Sous-titre : Mr Lyon changea le professeur de cours de Jacob.

12

Jacob Miller

La proposition est vraiment alléchante. Je sais qu’il peut me laisser voir ma famille si je le laisse partir.

Mais est-ce vraiment correct de le laisser partir dans cet état.

Je ne veux pas avoir son gorille sur le dos. J’esquisse un sourire et sors de la chambre en fermant à clé.

Il pense m’avoir avec du chantage.

 Je pourrais bien le laisser partir encore que je veuille vraiment voir ma famille.

Mais ce n’est pas une raison d’être insensible.

Il ne va pas très bien et il doit être en bonne santé pour que je reste en liberté.

Jacob tu dois vraiment être plus intelligent que lui.

Il pense sincèrement m’avoir aussi facilement.

Il ne me connaît absolument pas. Je lui fais son café qu’il avait demandé et monte-le lui remettre.

Je lui tends la tasse de café mais il ne le prit pas.

Moi : Soit tu agis sagement et te rétablir vite afin d’être libéré de moi ou tu peux faire la grosse tête et être coincé avec moi pendant des jours. A toi de faire ton choix.

M. Lyon : Je pensais que ta famille t’importait plus que tout.

Moi : Cela n’ a pas changé. Mais si vous n’êtes pas en vie, je crois que je vais réellement les perdre. Alors désolé de prendre aussi bien soin de vous. Pour l’heure, vous devez prendre votre repas et vos comprimés. Excellente journée à vous. Je commence bientôt les cours. Soyez sage comme moi M. Lyon.

Il me lance un regard meurtrier. Je suis sincèrement désolé mais je ne peux rien faire pour lui. Dommage.

Après avoir préparé tout pour mes cours, je prends un bain et m’apprête avant l’arrivée du professeur. Assise dans la salle d’étude, j’entends des pas approchés.

_Bonjour madame. Je m’appelle Alex. Je suis votre professeur d’anglais.

Je me retourne face à un Dieu de la beauté. Il a tout à sa place et il est vraiment craquant. Je n’arrive plus à détourner mes regards de lui. Je souris bêtement ne sachant plus quoi faire.

M. Alex : Puis-je avoir votre nom ?

Moi : Bien sûr. Je m’appelle Jacob. Jacob Miller et les intimes m’appelle Jack.

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En y pensant, lorsque j’étais petite, j’avais un ami qui n’habitais pas loin de notre maison.

Nous sommes devenus ami après que je l’ai protégé contre des enfants du quartier qui voulait lui faire mal.

Depuis ce jour, nous sommes devenus ami. Et il m’appelait Jackie parce qu’il disait que Jacob était un prénom pour homme.

Nous étions tellement proche en ce temps.

 Il avait même promis travailler dur afin de revenir me chercher et m’épouser. Cela fait tellement d’années.

J’avais à peine commencé à voler en ce temps afin de pouvoir manger étant donné que ma mère n’avait les yeux pour mon petit frère.

Mon ami me suivait en ce temps pour voler et faire beaucoup d’autre bêtise jusqu’à ce que nous soyons arrêté puis sa famille et lui quitta le quartier.

J’en était dévasté. Quelques semaines après, j’ai eu un accident qui m’a rendu amnésique.

Je le voyais toujours me sourire et s’amuser avec moi mais je ne me rappelle plus ni de son visage, ni de son nom. J’espère qu’il est heureux aujourd’hui.

Après cet accident, je n’ai que des infirmes parties de mes souvenirs d’enfance.

Je me rappelle plus des actions de mon beau-père qui battait ma mère ainsi que moi à chaque fois qu’il se saoulait.

Mais tout ceci fait parti du passé et je n’attends pas que mon ami ne revienne me chercher. Je crois même qu’il m’a déjà oublié.

M. Alex : Pourquoi ne pas vous appelez Jackie alors. Jack ressemble plutôt à un prénom pour homme.

Je l’observe un moment. C’est exactement de cette manière il le disait. C’est vraiment lui ? Est-ce vraiment lui mon ami ?

Moi : Bien sûr. Cela fait des années que personnes ne m’as appelé ainsi.

M. Alex : Super. Nous pouvions commencé les cours. Nous avons quatre heures de cours chaque jour afin d’améliorer votre français.

Je ne faisais qu’observer sa lèvre se bouger. Est-ce vraiment lui mon ami d’enfance. Et si c’était vraiment le cas ? Il faut que j’en sois sur. Il le faut.

M. Alex : Est-ce que vous me suivez ?

Moi : Désolé mais pas vraiment. Disons que je suis un peu embrouillé par votre présence.

M. Alex : Ma présence ? Vous n’aimez pas ma manière de faire mon cours ?

Moi : Je l’adore dis-je sans le faire exprès. Ce que je veux dire…Offert j’ai l’impression de vous connaitre. Avez-vous passé quelques temps dans le Queens dans votre enfance.

M. Alex : Oui mais juste pour un semestre. J’ai du quitter avec ma famille.

Moi : Vous étiez dans quelle ruelles ?

M. Alex : Dans la ruelle 006.

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Cela ne peut pas être une coïncidence. Je suis sûr que c’est lui.

Moi : Avez-vous eu une amie d’enfance dans cette ruelle ?

M. Alex : Je ne m’en rappelle plus trop bien. Mais j’ai connu une fille là-bas. Mais j’en ai plus vraiment des souvenirs d’elle.

Moi : C’est compréhensible. Cela fait d’ailleurs plusieurs années.

M. Alex : Nous pouvions continuer alors ?

Moi : Bien sûr, dis-je tout heureuse d’avoir rencontré mon ami d’enfance de nouveau.

Il fait de son mieux pour m’expliquer le cours mais je n’entends presque rien.

M. Alex : Nous avions fini le cours d’aujourd’hui. On se voit demain ?

Moi : Quoi ? Déjà. Mais l’heure passe très vite. Vous êtes sur que nous avions finir ?

M. Alex : Bien sûr rigole-t-il. J’ai d’autres cours à faire. Alors je vais demander à partir.

Moi : Ok dis-je toute déçu. J’aurais voulu que vous restiez encore un peu.

M. Alex : Désolé mais je ne pourrais pas. Je serai encore là demain. Prends le temps de bien faire tes exercices. On se dit à demain Jackie.

Moi : A demain M. Alex dis-je toute souriante.

M. Lyon : Jackie demande-t-il en me faisant sursauter au passage.

Moi : Ne pouvez-vous pas faire attention, je hurle.

M. Lyon : Il vient de vous appeler Jackie. De quel droit.

Moi : Je pense qu’il est en mesure de m’appeler Jackie que vous. Bonne journée M. Lyon. Je dois faire mes devoirs afin d’avoir une chance de revoir ma famille un jour.

Je ne tarde plus à l’écouter avant de m’enfermer dans ma chambre. J’espère que ce cauchemar prendra bientôt fin. Je voudrais passer du temps avec Alex.

Je sais bien qu’il ne se rappelle plus de moi, mais cette attirance qu’il avait entre nous. Je sens qu’il l’a aussi ressenti.

Cette maison m’apporté pas mal de chose. Je range mes affaires et me concentre sur mes exercices.

Ben est passé voir son patron et je ne les ai plus revus jusqu’à ce que je m’endorme. Surement qu’il est rentré chez lui.

C’est mieux ainsi. Je me réveille le lendemain matin toute heureuse de voir M. Alex.

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En me dirigeant vers la douche, M. Lyon y sort une serviette nouée à la taille. L’eau dégoulinant sur son torse.

Moi : Oh mon Dieu dis-je en me retournant. Je peux savoir ce que vous faites encore dans ma chambre ?

M. Lyon : C’est ma chambre. Et j’ai tout le droit d’y être.

Ne voulant pas déclencher une dispute, je m’empresse de me fermer dans la chambre de bain. Cet homme est déterminé de me rendre folle.

Je prends vite mon bain et m’habille très bien pour mon cours. Je me méconnais dans la glace. Je suis tellement impatiente.

Il reste encore une demi-heure pour qu’il ne vienne. Je descends prendre mon petit déjeuner.

M. Lyon est assis à la table un journal en main son café dans sa seconde main. Il me scrute du regard lorsque je descends à la salle à manger.

M. Lyon : Pourquoi es-tu habillé de cette manière. Qui est ce que tu reçois ?

Moi : Qui voulez vous que je reçois alors que je n’ai même pas le droit de sortir. J’ai cours dans une demi-heure alors je me suis préparé un peu tôt. Vous voyez à quel point je prends mes études au sérieux ?

M. Lyon : Je l’ai bien constaté. J’en suis ravi pour toi. J’espère que tout sera parfait d’ici six mois.

Moi : Faites-moi confiances.

Il finit son café et quitte la table. Il descend avec son sac de bureau. Je vois qu’il va mieux.

M. Lyon : Je ne serai pas en mesure de rentrer ce soir. De grâce ne fait pas de bêtise. Et je suis très sérieux. Tu ne voudrais pas m’énerver.

Moi : Je suis une nouvelle personne à partir de maintenant. Alors je promets de ne rien faire quoi qu’il arrive. Je serai sage comme un enfant obéissant.

M. Lyon : J’aimerais bien voir cela.

Il s’en va et je m’en réjouis. Je m’installe dans la salle d’études le temps que mon professeur ne vienne. Lorsque la sonnerie de la maison retentit, je m’arrange l’attendant.

_Bonjour madame Jacob. Je suis Elsa votre nouvelle professeur d’anglais ?

Moi : What ?

_Nous pouvions commencé ?

Moi : Prenez place.

Il n’a pas osé me faire une chose pareille. Je comprends pourquoi il était plutôt calme. Je te déteste M. Lyon.

A suivre…

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