Ma jolie voleuse - - -
Lanice plume
Sous-titre: Jacob prends soins de M. Lyon
11
Jacob Miller
Moi : Je ne voulais pas le tuer. Vient le poser sur le lit. Mon Dieu, je ne voulais pas lui faire du mal. Je ne veux pas encore retourner en prison.
Je l’aide pour le couché sur le lit. Sa nuque est en sang. Mon Dieu qu’est-ce que j’ai bien pu faire à Dieu pour me mettre dans ce genre de problème.
Ben : Je vais appeler le médecin de la famille. Surveillez-le.
Moi : Je pourrais l’aider. Vous aviez une trousse de secours.
Ben : Je ne veux pas qu’il attrape une infection. Je préfère appeler le médecin.
Il s’empresse de sortir de la chambre. En quelques minutes, sa température monte et il tremble de peur. Il a les yeux mi-ouvert.
Il ressemble à un ange couché dans le lit. Je ne peux m’arrêter d’admirer ses lèvres. Mais à qui je pense ?
Moi : Je vous en prie ne mourrai pas. Qui va prendre soins de ma famille et moi si vous mourrez. J’ai besoin de vous.
M. Lyon : Jackie dit-il faiblement.
Moi : C’est qui ce Jackie ?
M. Lyon : Tu m’as déjà oublié ? Moi je t’ai reconnu.
Moi : Tant que ce mensonge vous permettra de garder les yeux ouverts vous pouvez tout dire.
Je pose ma main sur sa tête et sa température est toujours élevé. Je me lève dans l’intention de mettre dans l’eau dans une serviette pour diminuer sa fièvre mais il me prend la main.
M. Lyon : Ne m’abandonnes pas. J’ai besoin de toi Jackie.
Moi : Je suis là. Je ne vais nulle part.
Mais pourquoi le médecin prend autant de temps. Il est vraiment fiévreux. Quelques minutes plus tard, le médecin entre dans la chambre et nous demande de sortir.
Moi : Je ne peux pas rester avec lui. Je suis sa fiancée.
Dr : Laissez-moi faire mon travail.
Ben et moi sortons de la chambre le laissant faire son travail. Je vais prendre deux bouteilles d’eau à la cuisine. J’en donne un à Ben mais il décline.
Moi : Je suis sincèrement désolé. Je ne voulais pas lui faire du mal.
Ben : Je le sais bien, il répond.
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Moi : Je peux te poser une question ?
Il ne me répond pas. Je le sens un peu nerveux. Je le comprends. Son patron est blessé.
Moi : Je vais quand même le poser. C’est qui cette Jackie ? Il m’a appelé ainsi une fois et même quand il n’allait pas bien, il m’a aussi appelé par ce nom.
Ben : Je vais vérifier s’il va bien. Vous pouvez attendre ici.
Moi : Mais vous n’avez pas répondu à ma question.
Il est pareil que son patron. J’espère juste qu’il ira mieux. Je ne l’aime mais je ne veux pas qu’il ne meurt pas ma faute.
Maintenant plus de trente minutes que j’attends dans le couloir. Ni Ben, ni le médecin n’est sorti de ma chambre. Je m’adosse au mur et somnole.
Je ne sais plus combien de temps je passe contre ce mur avant que Ben ne vienne me réveiller.
Ben : Il est hors de danger. Vous devez prendre soins de lui le temps qu’il récupère.
Moi : Mais pourquoi c’est à moi de le faire ? Je ne suis ni aide-soignante ni infirmière.
Ben : Mais vous êtes la responsable de ce qui vient de passer je vous rappelle.
Moi : Ton patron et toi vous amusez à menacer les gens ou quoi ? Que dois-je faire ?
Ben : Tout ce qu’il vous demande et aussi l’aider à prendre ses comprimés.
Moi : Pourtant il a les moyens de prendre une aide-soignante. Je ne savais pas que c’était dans le contrat.
Ben : Il vous attend dit-il en entrant dans ma chambre.
Je le suis et reste dans un coin de peur de recevoir une foudre de ce gars. Il est de dos à la porte. Il a un bandage à la tête.
Ben : Boss vous êtes sur que vous allez bien ? Je m’inquiète pour vous.
M. Lyon : Demande à Esther de m’envoyer les dossiers importants par email et le reste, elle pourra les apporter demain. Germain pourra diriger toutes les réunion le temps de ma convalescence. Pour le moment, je vais me reposer avant de reprendre le travail.
Moi : Vous comptez vivre dans cette chambre ?
M. Lyon : A ce que je sache, je suis chez moi. N’est-ce pas ?
Moi : J’espère que vous allez bien. Mais j’ai vraiment sommeil et je ne peux pas dormir ici.
M. Lyon : Soit tu dors dans le canapé au salon, ou sur le sol ou sur le lit près de moi. Il n’y a qu’une chambre et je ne compte pas te donner mon lit. A toi de voir.
Moi : Vous avez fais exprès de m’installer dans votre chambre ?
M. Lyon : Assure-toi que tout se passe bien au bureau. Et essai de contrôler Rose. Je ne veux pas qu’elle crée encore plus de scandale. Je n’aimerais pas faire partir des gros titres demain. Et assure-toi que ma mère ne soit pas au courant de cet incident.
Ben : Vous pouvez compter sur moi.
Il sort de la chambre et le bon monsieur me tourne dos. Je vois bien qu’il prend ses ailes. J’ai vraiment sommeil et mal au pieds.
M. Lyon : Si tu ne veux pas dormir, je te prie d’éteindre la lumière et fermer la porte. J’ai besoin de repos pour reprendre mes forces.
Moi : Je ne vais pas vous répondre parceque vous êtes malades. Je vais me coucher au bord du lit.
Il ferme les yeux. Je lui tourne dos et ferme les yeux à mon tour. Malgré tout mes efforts pour m’endormir, je n’arrive pas à trouver le sommeil.
Je vais prendre une douche et à mon retour, il était sur son Pc. Je n’arrive pas à croire qu’il pense au travail malgré qu’il devrait censé être couché.
Moi : Je peux savoir ce que vous faites ?
M. Lyon : Je nage dit-il les yeux plongé dans son Pc.
Je le lui retire et il fronce les sourcils.
Moi : Je ne veux pas surveillez un malade têtu. Vous avez failli mourir il a quelques heures et vous pensez encore travailler. Qui vous a dit que vous étiez aussi important que si vous ne travaillez pas le monde ira mal ?
M. Lyon : Mon portatif demande-t-il.
Moi : Il va falloir me passer sur le corps avant de le prendre
M. Lyon : J’espère que tu seras responsable de tes actes.
Moi : Je n’ai pas du tout peur de vous.
M. Lyon : J’espère que cela ne changera pas madame Jacob dit-il avant de se recoucher.
Moi : En y pensant, je peux savoir qui est cette Jackie ? Vous m’avez encore appelé par ce prénom ce soir.
M. Lyon : Rien dont tu devrais t’en soucier. Contente-toi de faire ce que je te dis et tu pourras revoir ta famille.
Moi : Je parie que c’est l’une de vos ex qui vous a abandonné. Le problème avec les riches, est qu’ils sortent toujours avec des problèmes ambulants et des bombes à retardement.
M. Lyon : Comme toi n’est-ce pas ?
Moi : Nous ne sommes pas ensemble à ce que je sache. Je suis votre fausse fiancée n’oubliez pas.
M. Lyon : Cela vous arrive-t-il de vous taire juste pour une seconde. Je voudrais dormir.
Moi : Mauvaise nuit à vous.
Il soupire et je n’entends plus sa voix. Je dépose son portatif sur la table basse et me couche à mon tour. Vers l’aube, je me lève afin de lui faire un petit déjeuner et couler son bain.
Il ne veut pas que quelqu’un d’autre prenne soins de lui. Il est vraiment capricieux comme homme.
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Je fais son petit déjeuner avec l’aide des servantes à qui j’en profite pour faire mes excuses.
Excuses qu’ils ont acceptés à cœur ouvert et ont promis de me te compagnie en cas de besoin. Je sens que je vais bien m’amuser dans cette maison.
Je l’espère. Une fois le repas fait, je monte dans la chambre et monsieur est déjà sur pieds prenant un appel.
Je dépose le plateau de repas et lui fais couler un bain. J’attends plus de deux heures avant qu’il ne finisse son appel.
Lorsque nos yeux se croisent, il les détourne aussitôt. Je me rappelle que je suis en robe de nuit.
Gêné, je prends une robe que je vais mettre dans la salle de bain et le rejoins. Il est assis sur le lit, son portatif en main.
Moi : Je pensais que nous avions convenu que vous ne travailler pas le temps de vous remettre sur pieds.
M. Lyon : Je vous interdis de toucher à mon portatif.
Moi : Désolé mais mon job est de prendre soins de vous afin que vous soyez vite sur pieds. Alors désolé de vous désobéir dis-je en prenant le portatif que je compte bien caché.
Il esquisse un sourire et me fixe.
Moi : Je vous ai déjà coulé un bain. Le repas aussi est prêt.
M. Lyon : Merci mais j’ai déjà pris mon bain.
Moi : Alors vous devez pendre votre repas.
M. Lyon : Une tasse de café sans sucre. Merci bien. Ferme la porte en sortant.
Mais il me prend pour son assistance ou quoi. Je traine les pas avant de sortir.
Je voulais fermer la porte lorsque j’ai une intuition. Je suis sur qu’il a l’intention de sortir de cette maison. Je ne voudrais pas que son gros bras me vienne crier dessus.
Je reste devant la porte pendant un moment avant d’ouvrir la porte et monsieur était sur le point de sortir.
Je peux tout dire mais il est craquant dans son costume. Je ne sais pour quelle raison je commence à ‘intéresser à lui.
Moi : Alors Monsieur comptes aller où ?
M. Lyon : J’ai une affaire urgente à régler.
Moi : Vous n’avez pas le droit de travailler alors je suis désolé mais vous ne pouvez pas sortir.
M. Lyon : Et si je vous laissais voir votre famille ?
A suivre…
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