Literature > Short Stories

Ma jolie voleuse

Sep 6, 2024 - 7 Minutes

Sous-titre : Jacob veut retrouver sa famille.

Episode 10

Jacob Miller

Je réfléchis à ce que je dois faire en ce moment. Il est hors de question que je retourne dans cet appartement. Je sais ce que je dois faire.

Je prends un taxi pour me rendre à l’entreprise de Mr Lyon. Je me rappelle aussitôt de la dernière que fois que j’étais dans ce lieu. J’ai été arrêté pour vol. Que la vie est bizarre.

 J’entre dans l’entreprise et me dirige vers la réception. La réceptionniste me dirige vers le bureau de M. Lyon une fois que je me suis présenté comme sa fiancée.

Je sais convaincre quand je le veux. Une fois au derniers étage, je descends de l’ascenseur et me dirige vers le seul bureau qu’il y avait.

Je vais vers la secrétaire qui est habillé d’une manière très sexy à mon gout.

Elles sont obligées de mettre toute ses ornements juste pour travailler. Les patrons de ce pays souffrent dans les mains de leurs secrétaires.

Je prends le temps de la saluer mais je reçois un bon vent. Je me présente comme la fiancée de son patron mais elle ne me calcule toujours pas.

Elle ne sait réellement pas la folle que je suis. Je me dirige vers le bureau de M. Lyon et constate que j’ai besoin d’une carte magnétique avant de l’ouvrir.

Elle me regarde et souris en coin. Je m’approche dangereusement en sa direction et elle prend peur.

Une fois près d’elle, je souris et le compliment tout en glissant ma main sur son visage, et la seconde main qui prend sa carte.

Sur le coup, elle était vraiment déstabilisée. Une fois ma mission accomplit, je recule et me dirige de nouveau vers le bureau. Avec la carte, la porte s’ouvre et elle hurle.

Elle aurait pensé à cela avant de faire son intéressante. Elle m’empêche quand même de rentrer mais je la pousse au point où elle tombe sur ses fesses.

M. Lyon concentré dans son ordinateur ne remarque absolument rien. Elle se relève et se lance dans tous les excuses qu’elle pouvait.

_Je suis désolé M. Lyon mais je n’ai pas pu l’empêcher d’entrer.

M. Lyon : Vous pouvez disposer dit-il sans lever un seul regard.

Elle sort du bureau et la porte se referme d’elle-même.

Moi : Je ne savais pas que M. Lyon étais aussi craint ma ses employés. J’ai aussi remarqué que vous aviez changé de méthode. Pas mal l’idée de la carte magnétique.

M. Lyon : Mais tu trouves toujours un moyen d’avoir accès à mon bureau dit-il en tapant sur sa machine.

Je prends place dans le siège en face de lui.

Moi : Vous n’êtes apparemment pas surpris de me voir.

ACHETEZ LE LIVRE: Dernière rose

M. Lyon : Je savais qu’ils ne pouvaient pas te surveiller comme il devrait. Et je savais aussi que tu viendras me voir une fois que tu seras incapable de retrouver ta famille. Alors ai-je raison ?

Moi : Vous êtes vraiment un démon. Je vous déteste et pour de vrai. Vous méritez bien votre nom.

M. Lyon : C’est l’objectif. Je n’avais pas prévu que tu m’aimes dit-il en levant le menton.

Il s’adosse dans son siège en croisant ses pieds.

M. Lyon : Alors tu as aimé ta chambre.

Moi : Je veux juste revoir ma famille. Quand est ce que je pourrai les voir.

M. Lyon : Une fois que tu seras sage. Il va falloir que tu signes un contrat avec moi. Je te connais plus que tu ne le penses. Je ne veux pas te donner une raison de pouvoir t’enfuir. Ensuite, tu feras une formation de six mois ou plus si tu n’apprends pas vite pour te comporter comme une personne de ma classe sociale et tu pourras voir tes parents. Dans le cas contraire, je te renvoie en prison et je ne prendrais plus soin de ta famille.

Moi : Je suppose que c’est la phrase la plus longue que vous ayez dire de toute votre vie.

Il passe un appel et se remet au travail.

Moi : Je ne peux pas vivre toute seule dans cette grande maison.

Une dame ou vais-je dire jeune fille d’à peu près de mon âge entre dans le bureau un long talon au pieds. Comment font-elles pour porter une si longue chaussure.

_Mon chou j’ai besoin de toi par rapport à ce dossier. S’il vous plait un café très serré sans sucre. J’ai besoin d’une bonne dose de café.

Moi : Je pense aussi que vous irai encore mieux si vous arrêtez de surcharger votre visage, votre corps et vos pieds de tous ces trucs que vous portez. Vous ressemblez énormément à un clown. C’est juste un conseil.

Elle lève le regard sur moi et le dirige vers M. Lyon.

_Je peux savoir qui est cette fille aussi vulgaire ?

Moi : Mais tu t’es mirée ce matin. Tu as aimé ce que tu as vu dans ta glace avant de sortir ? Tu es la vulgaire de nous deux.

_Tu ne vas pas me défendre mon chou.

M. Lyon : Qu’est ce qui t’amène Rose ?

Moi : Je vois pourquoi tu es habillé ainsi. Rose mais qu’elle nom ridicule.

M. Lyon me jette un regard et se concentre sur sa machine.

Rose : Mais qui es-tu exactement ?

Moi : Je suis la fian…

Ben : Boss dit-il en entrant dans le bureau.

M. Lyon : Ramène madame Jacob chez elle et assure-toi qu’elle ne tente plus de sortir cette fois-ci.

Ben : Je vais m’en assurer.

Receive my Stories your e-mail inbox as soon as I publish them.
Subscribe to my Blog

M. Lyon : Tu es responsable d’elle dès maintenant. Trouve moi un autre chauffeur. Tu peux disposer.

Rose : Tu connais réellement cette fille ?

M. Lyon : Rose retourne à ton bureau. Je dois me rendre à un rendez-vous. Tu pourras discuter avec Germain si tu rencontres des difficultés pour l’heure, libère mon bureau dit-il sans levé un seul regard.

Ben : Suivez-moi madame Jacob.

Moi : J’espère que tu pourras rentrer ce soir. Je ne supporterai pas vivre dans cette maison toute seule.

Ben : Madame…

Moi : C’est bon. Nous pouvons y aller.

Je sors du bureau et ce gorille me suis de près. Pourquoi il ressemble à ce point à son patron.

Une fois hors de l’entreprise, il m’ouvre la portière et je prends place. Une fois dans la voiture, il démarre pour la maison.

C’est tellement calme que j’allume la musique pour détendre l’atmosphère.

Arrivé à la maison, il ordonne aux gardes de bien vérifié qu’il n’y a plus d’issus pour que je m’échappe.

Je me dirigeais vers ma chambre lorsqu’il m’arrête.

Ben : Le téléphone et l’argent que vous avez pris aux employés.

Moi : Je ne sais pas de quoi vous parlez.

Ben : Ne me rendez pas la tâche difficile Madame Jacob. Les caméras de surveillance ont tout filmé.

Moi : Donc vous m’avez laissé sortir exprès. Je pensais que tu étais différent de ton patron ?

Ben : Le téléphone.

Moi : Viens le chercher si tu peux.

Je le mets dans mon soutient gorge tout en le fixant.

Ben : Ne me poussez pas à vous faire du mal.

Moi : C’est tout ce que j’attendais.

Il appelle le nom d’un des gardes quoi s’approche. C’est une femme. Il lui ordonne de prendre le téléphone et je la stoppe aussitôt.

On n’en peut même pas blaguer avec ses gens-là. Je lui remets l’appareil ainsi que le reste de l’argent et va m’enfermer dans ma chambre.

ACHETEZ LE LIVRE: Dernière rose

Je crois bien être pris au piège. Je vais prendre ma douche du soir et me couche tout en refichant à un autre plan afin de pouvoir retrouver a famille.

Il faut surtout que je joue à son jeu pour pouvoir revoir ma famille. Je m’endors sur cette réflexion.

Dans mon sommeil, je sens une main passé sur mon visage et je me réveille en sursaut. Mr Lyon était à mon chevet, sur le point de m’embrasser.

Je le pousse de toute mes forces et il trébuche en cognant sa tête à table de nuit.

M. Lyon : Mais qu’est ce qui ne va pas chez toi ?

Je me relève en couvrant mon corps avec le drap. Je le regarde stupéfiait. Je ne comprends vraiment pas ce qui ne va pas avec ce gars.

M. Lyon : Aide-moi à me relever, il m’ordonne.

Moi : Certainement pas. Tu me prends pour l’un de tes employés ou quoi. Tu comptais me violer ? Espèce de pervers.

M. Lyon : Qu’est ce qui pourrait bien me pousser à violer une aussi vilaine fille comme toi ?

Moi : Pourtant tu étais sur le point de m’embrasser ? Ai-je menti ?

La porte s’ouvre sur Ben qui entre brusquement dans la chambre aidant son patron à se relever. On doit tout fais pour celui-là. Il se prend pour Bill Gates ou quoi.

Moi : Dis à ton patron de ne plus jamais s’approcher de moi. C’est un pervers.

M. Lyon : Tu oublies que nous sommes fiancés. Alors j’ai le droit sur ton corps que sur ton cœur.

Moi : Je vois que toi aussi tu fumes un peu n’est-ce pas ? Surement. Sors de ma chambre. Je veux que vous sortiez de chez moi je hurle.

Difficilement il se tient sur ses pieds.

Ben : Vous allez bien Boss ?

M. Lyon : Je vais bien. Je peux marcher tout seul.

Ben le laisse. Il fait deux pas et trébuche.

Ben : Boss ? Je vais appeler le médecin dit-il en aidant son patron

M. Lyon : Je viens te dire que je vais bien.

Ben : Du sang.

Moi : Quoi ? Du sang où ?

A suivre…

Les chroniques de Nice
Les chroniques de Nice