Ma jolie voleuse
Sous-titre: Jacob confronte Carlos
Episode 9
Jacob Miller
Couché paisiblement dans mon lit, je fais un magnifique rêve qui m’empêche de très vite d’ouvrir les yeux.
Je m’étire et me retrouve au sol quelques minutes plus tard. Je me lève en me frottant les yeux.
J’étais sur le point de me mettre à l’aise lorsque je me rends compte que je ne suis pas dans ma chambre.
Cette chambre est cinq fois plus grande que la mienne. Je me rappelle de tout sur le coup. J’avais oublié que devais vivre dans la maison de ce Daemon.
Il n’y a même pas une fenêtre dans cette chambre. Je vais me soulager et essai d’ouvrir la porte qui n’est heureusement pas fermé. Je descends les escaliers.
Le salon est d’une beauté indescriptible. Cela prouve que cet homme est vraiment riche. Tout brille dans cette pièce.
J’entends la voix de certaines personnes. Je suis le son des voix qui me conduis à la cuisine. Je voulais m’en aller lorsque je trébuche et un pot de fleur tombe au sol.
Tous les regards était fixé sur moi. Je souris tout en m’excusant.
_Bonsoir madame. Je m’appelle Clair. Je suis la dame de maison. Je suis à votre disposition.
Moi : Ravi madame Clair. Je ne veux rien. Merci bien. Je vais retourner dans ma chambre.
Clair : Le diner sera bientôt prêt madame. Et vous n’avez pas besoin de m’appeler Madame. Juste Clair suffira.
Moi : Compris. J’ai tout capté. Bonne soirée.
Je m’empresse de monter dans ma chambre. Mais où est ce que je me trouve. Il faut que je sorte de cette maison.
Je vais prendre une douche et cherche à mettre quelques choses. Il n’a pas fait les choses en dentelle cet homme.
Je vais dans le dressing et des chaussures, vêtements et sac marques y sont disposé. Et tous ses vêtements étaient à ma taille.
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Les colliers mon Dieu. Je pourrais me fais un vrai pactole avec ce que je vois. Mais apparemment, tout ceci m’appartient.
Mais il va falloir que je cache assez au cas où il voudrait rompre notre accord ou m’abandonner du jour en lendemain.
Je ne veux pas être la perdante dans cette histoire.
Après mettre habillé, je prends un sac de marque qui va avec ma robe et porte une chaussure qui y convient aussi.
Un coup de parfum et je suis prête à sortir. Je descends discrètement jusqu’à atteindre la porte.
Je pensais que se serai difficile de sortir mais j’ai eu tort. Il n’est pas aussi intelligent que je le pensais. A peine j’ouvre la porte que plusieurs gardes me font face. Je sursaute aussitôt.
Moi : Vous m’avez fait peur dis-je en mettant la main sur la poitrine. Pourquoi êtes-vous devant la porte ? Vous n’avez rien à faire ?
_Nous suivons juste les consignes de Mr Lyon.
Moi : Oooh, je vois. Je voudrais parler avec votre Mr. Je dois sortir de cette maison aujourd’hui.
_Nous sommes désolés mais nous ne pouvons pas vous aider.
Moi : Donnez-moi alors son numéro. Il faut que je l’appelle.
_Désolé madame. Nous ne pouvons pas vous aider continue-t-il. Rentrez à l’intérieur dans le cas contraire, nous serons obligés d’utiliser la force.
Moi : J’espère que votre patron ne vous punira pas. Vous me traitez mal. Je lui dirai tout ce que vous m’aviez fait aujourd’hui.
_Nous ne suivons que les ordres madame. Je vous prie de retourner à l’intérieur.
C’est gens sont droit comme la lette i. On aurait dit qu’il était sur le point de me faire du mal. Je ne demande pas mon dû avant de retourner à l’intérieur.
Il faut vraiment que je trouve un moyen de sortir d’ici. Je dois avoir une discussion sérieuse avec Carlos et retrouvé ma mère.
Qu’il ne pense pas qu’il peut me contrôler comme bon lui semble.
Jamais je ne le laisserai faire de moi ce qu’il veut. J’essaie de trouver un issu dans toute la maison.
Cela m’a pris quelques heures avant que je n’arrive à trouver un moyen de sortir de cette maison.
Il se fait maintenant tard et je ne sais pas si cet homme viendra me voir. Si jamais je sors ce soir, je pourrais être vite retrouvé.
Il faut que je sois plus maline que lui. Une fois le repas servi, la dame de maison, m’invite à me mettre à table.
Une fois à table, les servantes me servent le repas et me souhaite un bon appétit. Je suis seule dans cette salle à manger. Je ressens aussitôt un vide.
Je ne me vois vivre ainsi. Le repas finis, je monte dans ma chambre et attends que tout le monde s’endorme.
Je vais dans la chambre des servantes prendre quelques sous afin de pouvoir payer le taxi une fois que je sortirais ici.
Le lendemain matin, les gardes viennent faire un tour dans ma chambre afin de vérifier si j’étais toujours présente.
Le round fait, je me faufile dans les escaliers jusqu’à la porte de secours et sort discrètement de la maison. Ils pensaient réellement être plus malin que moi ?
Ils ne savent vraiment pas qui je suis. Je prends le premier taxi pour me rendre chez Carlos. J’ai beaucoup de choses à régler avec lui.
Une fois à destination, je paye ma course et entre dans le magasin de Carlos. C’est dans ce magasin qu’il fait tous ses activités illégales.
Pour le mal qu’il m’a fait en complicité avec ses collaborateurs, j’aurais pu finir avec lui. Sylvanus est à la caisse comme à son habitude. Il m’accueil tout souriant.
Sylvanus : Je ne pensais plus jamais te revoir la grande. Où étais-tu tout ce temps.
Moi : Ton patron à utiliser son influence afin de finir avec moi en prison.
Carlos : Que lui racontes-tu au juste avance ce dernier en sortant de mon dos. Je pensais même que tu étais morte Jac. J’étais vraiment inquiet pour toi.
Moi : Raison pour laquelle tu m’as vendu ? Combien t’ont-ils promis pour que tu acceptes faire de moi leur bouc émissaire dans cette affaire. J’ai failli mourir.
Carlos : Tu vas faire fuir mes clients. Pourquoi ne pas parler dans mon bureau ?
Moi : Dans ton bureau. Non mon cher Carlos. Je t’ai déjà dit de faire ce que tu voulais mais si jamais tu mettais ma vie ou celle de ma famille en danger, j’allais te faire payer. J’aurais bien pu te balancer au flic mais pourtant, je ne l’ai fait pas.
Carlos : Je sais que tu es vraiment fidèle. Je te suis reconnaissant. Mais faire un spectacle ne nous aidera pas. Tu as manqué à l’équipe. J’ai un nouveau job pour toi et cette fois ci je te promets de te protéger au détriment de ma vie.
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Moi : Je vois que tu fumes de l’herbe régulièrement ses dernières semaines. Il a vraiment un boulon qui n’est plus à sa place dans ta petite cervelle de drogué.
Carlos : Je sais que tu es vraiment en colère mais discutons dans mon bureau. Je pourrais te parler de notre nouveau plan. Il a des millions en question. Nous allons devenir riche.
Moi : Plus jamais je ne travaillerai avec quelqu’un de ton genre. Tu ne penses qu’à toi et ton pognon. J’ai été torturé pendant un mois et plus et toi tu me proposes encore un autre plan pour me conduire au suicide. Tu es vraiment malade. Tu devrais être interné. Tu es un danger pour les citoyens de cette ville.
Carlos : Je me suis vraiment inquiété pour toi. J’ai essayé de te sortir de prison mais ton nom ne figurait dans aucune base des prisons de la ville ni des villes voisines.
Moi : Et ton cerveau de moineau ne t’a pas soufflé que j’avais peut-être été séquestré parce que je me suis frotté à un requin n’est-ce pas ? Plus jamais, je te ferai confiance. Je quitte l’équipe et le gang. Nous sommes maintenant quittes. Cette fois ci je laisse couler pour tout le temps que j’ai passé ici et que tu m’as tendu la main. La prochaine fois, je vais te saigner. J’espère que tu m’as bien comprise.
Carlos : Très clair. Je suis sincèrement désolé. Mais je n’irai pas contre ta décision. Sache que mes portes seront toujours ouvertes pour toi quand tu auras encore besoin de moi. Je suis sincèrement désolé. Avant que tu t’en ailles, sache que ton frère était passé me prêter cinq dollars. Il voulait bosser pour moi…
Je m’approche dangereusement et lui attrape par le col. Les gars qui étaient censé être autrefois mes amis pointe tous leurs armes sur moi.
Ils savent bien que je n’aurais pas pitié d’eux si je voulais vraiment leur faire du mal. Il ordonne qu’ils baissent leurs armes ce qu’ils font avec hésitation.
Moi : La prochaine fois que tu vois mon frère même s’il te menace à mort, traverse le champ. Je ne veux pas voir quelqu’un de ton spécimen auprès de mon frère. J’espère avoir été clair avec toi. Où sont-ils maintenant je hurle.
Carlos : Tu peux me lâcher maintenant.
Je retire ma main et le fixe droit dans les yeux.
Carlos : Je lui avais promis de lui remettre la somme le lendemain mais il n’est plus jamais revenu.
Moi : Mr Lyon dis-je dans ma barbe. Cet enfoiré.
Je ramasse mon sac que j’avais laissé tomber au sol et me dirige vers la sortie du magasin.
Carlos : Je suis désolé pour tous Jac. Tu seras toujours la bienvenue dans mon magasin.
Je ne lui réponds pas et sors. Il faut que je trouve un moyen pour voir ma famille. Et la seule personne qui pourrait m’aider est celui qui me rends la vie encore plus difficile.
Il va falloir que je collabore vraiment avec lui. Je dois jouer à la stupide pendant combien de temps ? Il est primordial que je trouve ma mère et mon frère.
A suivre…
