Ma jolie voleuse - - Sous-titre: Mr Lyon espère retrouvée sa Jackie

 Episode 7

Daemon Lyon

Assise autour d’une table en famille, je discute avec ma sœur qui est concentré sur son portatif.

Mes parents quant à eux rient au éclats lorsqu’un vent violent nous projette au sol.

Avant même que je me rends compte de ce qui se passe, le vent essaie d’emporter ma sœur qui s’est accroché à un poteau me demandant l’aide en dirigeant sa main vers moi.

Mes parents aussi me demandent l’aide et je suis vraiment déboussolé. J’essaie de sauver ma sœur mais je suis figé.

J’essai de toute des forces d’avancer mais, j’ai l’impression de reculer. Quelques minutes plus tard, le vent emporte ma sœur qui hurle et je me réveille en sursaut.

Mon réveil n’arrête de sonner dans mes oreilles. Je le jette au mur et le sons s’arrête aussitôt. Je regarde mon horloge et il est trois heures du mat.

Je descends à la salle de gym faire de la musculation afin de passer le temps.

Après quatre heures à essayer d’oublier se cauchemar en tapant sous mon sac de boxe, je monte prendre une douche.

Comme tous les ans, je m’habille décontracté afin de passer la journée comme un citoyen normal de New-York.

Je descends à peine que mon assistante récite mes rendez-vous de la journée. Plusieurs personnes font des va et vient dans la maison.

J’ai l’impression que ma mère prépare une fête. Je la vois sortir de la cuisine en compagnie du chef cuisine et d’autres personnes que je ne reconnais pas.

Esther : Monsieur, vous avez un déjeuner à midi avec le cheik Khalil.

Moi : Annule tout mes rendez-vous de la martinée.

Esther : Mais nous avons déjà tout confirmé Monsieur. Je ne sais quoi leur dire pour justifier votre absence.

Moi : C’est ton boulot à ce que je sache. Et depuis que tu travailles pour moi, tu ne sais pas que je ne travaille pas en matinée ce jour ?

Elle vérifie son téléphone en repositionnant ses grosses lunettes avant de poser ses yeux sur moi.

Esther : Je suis sincèrement désolé monsieur. Je vais de ce part annuler tous les rendez-vous de cette matinée.

Moi : Ce que vous venez de faire pouvait vous couter votre travail. Mais j’ai besoin de vous encore pour un bon moment. J’espère que cela ne se répètera plus jamais.

Esther : Toute mes excuses monsieur. Je vais de ce part….

Je ne la laisse pas finir sa phrase que je me dirige vers le parking de la maison lorsque je suis interrompu par Rose.

Rose : Mon chou comment vas-tu ? Tu m’as énormément manqué ces derniers jours. Pourquoi ne prends-tu plus mes appels ?

Elle essaie de poser sa main sur ma poitrine mais je la stoppe aussitôt. Je continu mon chemin mais elle m’entoure la taille de ses mains.

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Rose : Pourquoi tu m’ignores de cette manière mon chou.

Maman : Vous êtes vraiment beau ensemble.

Elle fronce les sourcils lorsqu’elle remarque que je ne sois pas en costume.

Maman : Je pensais que tu te rendais à l’entreprise.

Moi : J’ai des choses plus importante à faire ce matin.

Maman : Et je suppose que tu ne comptes pas prendre le petit-déjeuner. J’ai pourtant demandé au chef de te faire un repas circulant ce matin.

Moi : Je suis déjà en retard.

Maman : Et tu ne comptes pas aussi assisté à la messe de ta sœur.

Moi : Elle est déjà morte maman. Je n’ai plus rien à dire que je ne l’ai dit lorsqu’elle était malade. Il faut vraiment que j’y aille.

Maman : Ton père compte assister à la messe. J’aurais voulu que tu sois là afin de discuter un peu en famille.

Moi : Nous avions cessé d’être une famille depuis des lustres dis-je en sortant de la maison.

Rose : Mon chou, tu comptes t’en aller sans rien me dire ?

Cette fille n’arrête pas de me fatiguer. Je ne sais pour qu’elle raison j’avais obéis à ma mère en acceptant sortir avec elle. 

Elle est devenue une épine dans mes pieds depuis ce jour. Malgré que nous ne sommes plus ensemble, ma mère lui donne toujours de faux espoir me concernant.

J’aurais voulu qu’elle passe à autre chose mais elle persiste. J’espère qu’elle comprendra vite qu’elle ne signifie rien pour moi. J’espère toujours retrouver Jackie.

Ben : Bonjour boss dit-il en m’ouvrant la portière.

Moi : Tu me dépose au parc et tu rentres. Je voudrais être seule ce matin.

Ben : Je vais alors mettre des gardes en votre disposition pour votre sécurité.

Moi : Je ne veux ni chauffeur, ni garde. Tu me déposes et tu rentres. Et tu as intérêt à ne pas me désobéir. Je veux rester seul. J’espère avoir été clair.

Ben : Bien sûr boss.

J’entre à l’arrière de la voiture et il démarre quelques secondes plus tard. Une fois au parc, je porte ma casquette, ma paire de lunette et descend du véhicule.

C’est la journée des enfants atteintes de cancer. Chaque année, je passe la journée avec eux, en leur donnant un peu de sourire. C’était le vœu de ma sœur.

Elle voulait crée une association pour aider les enfants atteints de cancer pour qu’ils ne finissent pas comme elle.

C’est une journée de réjouissance que j’ai instauré afin que les enfants puissent sortir du centre enfin de se distraire.

Je passe aussi la martinée avec eux. Cela me permet d’être un peu plus proche de ma sœur. Elle est décédée dans des conditions dérisoire.

 J’aurais voulu que les choses se passe autrement mais hélas.

Après avoir passé toute la martinée avec les enfants, je marche un peu dans les rues de New-York comme à mon habitude lorsqu’une jeune femme me bouscule.

Après cette excusée, elle s’en va. Je fouille ma veste et constate que mon portefeuille n’y ait plus.

Je me suis tellement fait voler que je ne suis pas surpris. Raison pour laquelle, je garde toujours une puce sur moi afin de pouvoir poser sur le voleur.

J’allume mon téléphone et suis cette voleuse de près. Elle est actuellement dans l’une de nos restaurants.

Une fois dans le restaurant, je balaie la salle du regard, et reconnais son accoutrement.

 Je vais m’assois en face d’elle. Mais ce visage m’est familière. J’ai l’impression de la reconnaitre. Elle ressemble tellement à Jackie.

Surtout son sourire. Si ce portefeuille n’était pas aussi important pour moi, j’aurais juste annulé mes cartes bancaires.

C’est le dernier cadeau que ma sœur ma faite. Je ne me voyais pas en mesure de l’abandonner.

Si elle ne ressemblait pas autant à Jackie, je l’aurais delà mis dans une prison. Après avoir fini son repas, elle me remet le portefeuille et s’en va.

J’aurais juré que c’est elle. Ma Jackie. Je l’ai tellement cherché que je me demande si elle vivait toujours à New-York. Après avoir payé l’addition, je rentre chez moi.

Tout était déjà fait pour la messe de ma sœur. Je vais prendre une douche avant de m’habiller pour le travail.

Une fois sortie de ma chambre, je croise ma mère qui sortait de sa chambre.

Maman : Tu ne comptes pas assister à la messe de ta sœur ?

Moi : Non maman. J’ai déjà fait mon deuil alors tout est fini. Tu penses que cette messe lui apportera quoi de plus. Elle est déjà morte. Je préfère prendre ce temps pour travailler. L’argent n’attend personne. Alors tu veux bien me laisser avec cette histoire ?

Je descends et Ben était à table. Il se lève à ma vue.

Moi : Nous allons à l’entreprise.

Maman : Laisse-le au moins finir son repas.

Ben : Merci maman. Le repas était vraiment délicieux.

Maman : J’aurais voulu que ton patron aussi accepte prendre une bouchée.

Ben : Le boss a un rendez-vous assez important alors il ne pourra vraiment pas même s’il le voulait. Bonne journée maman.

Nous allons à l’entreprise et je monte dans mon bureau. Je traitre les dossiers très importants.

L’image de cette fille n’arrête pas de défiler dans ma tête surtout son sourire. J’aurais dû mettre un agent à ses trousses.

Ma secrétaire toque à la porte et entre après le lui avoir ordonné.

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Sara : Monsieur Yves vous attend.

Moi : Faites-le entrer.

M. Yves : Mr Lyon…

Moi : Prenez place. Allez droit au but. Je n’ai vraiment pas assez de temps à vous accorder.

M. Yves : Vos soupçons son confirmé. M. Maxence compte envoyer un de ses agents prendre le collier. J’ai déjà un plan afin de l’appréhender. Nous pouvons en profiter pour savoir exactement ce qu’il pense faire une fois le collier en sa possession.

Moi : Faites ce que vous pouvez afin d’arrêter cet agent. Je ne veux pas qu’il m’échappe encore une seconde fois. Vous pouvez disposer.

Je savais bien qu’il n’allait pas lâcher l’affaire aussi facilement.

Yves est mon chef de sécurité. Il a la gestion de tout ce que concerne la sécurité de mon entreprise ainsi que celle de ma maison.

Maxence est la famille la plus influente après le notre et c’est notre conçurent le plus redoutable.

Il met toujours des plans en marche à chaque occasion afin de me nuire. Mais il oublie toujours que j’aurai toujours une avance sur lui.

Pour finir avec cette histoire qui commencent déjà à m’ennuyer, je donne l’ordre de publier une fausse information sur un voyage que j’effectue en ce moment a l’extérieur du pays avec ma famille.

Je sais qu’il ne manquera pas l’occasion. Après avoir fini ma journée, je rentre chez moi le temps que l’agent de Maxence agit.

Je prendrais le plaisir de le torturer. Je rentre tardivement mais ma mère m’attend toujours comme à son habitude mais cette fois ci elle est en compagnie avec Rose.

Je pénètre a peine le salon qu’elle se jette sur moi.

Rose : Mon chou, tu m’as tellement manqué. Tu ne peux pas savoir tout ce qui s’est passé ici à ton absence.

Maman : Je pensais que tu ne rentrerais pas ce soir.

Moi : Je suis dans mon bureau si tu as besoin de moi.

Maman : Rose t’apportera une tasse de café.

Je la remercie et m’enferme dans mon bureau. Je dois suivre tout ce qui se passera ce soir de près.

Rose vient me donner le café une fois faite. Je la remercie et tente de la faire sortir du bureau sans succès.

Elle n’arrête de bravader, en me donnant tous les détails de la soirée qu’ils ont passé. Après des heures de bavardages, je n’entends que ses ronflements.

Ben me fait signe qu’il a une intrusion dans mon bureau. Je sors de la maison en fermant mon à clé. Je vais rejoindre Ben qui avait déjà positionner la voiture en face de la maison.

Nous avions pu facilement retourner à l’entreprise. Je demande aux agents d’être aux aguets au cas ou les choses se passeront mal.

A suivre…