SUBLIME VENGEANCE 14
Bonne lecture mes amours
CHAPITRE 14 : Le cœur qui bat à son insu
La petite plume
14. LE CŒUR QUI BAT À SON INSU
« Le cœur a ses raisons que la raison ignore » Blaise Pascal
DANIELLE
Je ne suis pas sorti de ma chambre de toute la journée, je n’en avais pas envie
Martha a pris la peine de m’amener à manger mais je n’avais pas tellement l’appétit
Mon esprit vagabondait, je ne savais pas où exactement il se trouvait, je me sentais vide, perdu
Je n’arrivait même pas à réfléchir, j’étais rester sur mon lit toute la journée sans m’en rendre compte
J’ai suivi toquer à ma porte mais je n’arrivait pas à me lever pour aller ouvrir
Je n’avais même pas assez d’énergie pour demander à la personne d’entrer
J’ai juste suivi des pas qui s’éloignait et la porte d’à côté qui s’ouvrait, j’en ai conclu qu’il s’agissait d’Alexandre
Une trentaine de minutes plus tard je l’ai de nouveau suivi toquer et comme je ne répondais pas, il a pris l’initiative d’ouvrir
Je n’ai même pas pris la peine de le regarder, je n’ai pas non plus bouger d’un poil
Il est resté debout pendant un moment avant de ressortir, à peine il est parti que Martha fait son entrée
« Ma fille tu n’a rien manger du tout depuis ce matin »
Elle s’est avancé vers moi et a commencé à prendre ma température
« Si tu continues comme ça tu risques tomber malade, je vais t’apporter une soupe »
Elle a porter le plateau de nourriture et est sorti avec
En un laps de temps elle était de nouveau devant moi avec ce bol tout chaud et c’était mis en tête de me nourrir
« Dépose le là je la mangerais bien plus tard »
« Ma fille… »
« S’il te plaît Martha, je n’ai pas très envie de discuter en ce moment »
Je me suis alors allongé et j’ai mis la couverture sur ma tête cette fois-ci
Je l’ai suivi sorti de la chambre, j’ai fermé les yeux pour pouvoir m’endormir car je n’avais pas
Vraiment réussi à le faire cette nuit, je n’ai vraiment pas eu du mal à retrouver le sommeil,
ce qui est normal, j’étais vraiment épuisé, au bout d’un moment, j’ai ressenti la couverture qui quittait sur moi brusquement
Ce qui m’a fait sursauter
« Alexandre ?! Mais…qu’est-ce… »
J’étais encore sur choc, mon cœur qui battait à vive allure
Il se mit lui aussi a vérifier ma température
« Pourquoi refuse tu de te nourrir ? Tu veux tomber malade c’est ça ? »
J’essayais encore de réaliser ce qui se passait en regardant autour de moi
« Regarde moi quand je te parle »
Me dit-il en retournant mon visage vers sa direction, j’étais vert de colère, je le dégagea de la
« Arrête de faire comme si tu t’inquiétais pour moi et sort d’ici »
« Je suis ici chez moi tu n’a pas le droit de me donner des ordres »
« Oh! D’accord comme c’est comme ça je m’en vais »
Dis-je en me levant du lit
« Qu’est ce que tu fais? Où compte tu aller à cette heure ? »
« Lâche moi cela ne te regarde pas »
J’ai eu des vertiges et j’ai manqué de tomber car il m’a rattrapé mais je l’ai de nouveau repoussé en prenant appuis sur le mur
« Ne me touche pas, ne pose plus jamais tes mains sur moi est ce que c’est compris ? »
« Danielle tu te fais du mal »
« Et depuis quand cela t’importe t-il? Ah oui j’avais oublié, il n’y a que toi qui peut me briser n’est-ce pas ? »
Je me mis à pleurer, il essaya de s’approcher mais je le demandait de ne pas le faire
Cette fois-ci il ne m’écouta pas, j’avais essayé de me débattre comme je pouvais, il était beaucoup plus fort que moi
« Sa suffit maintenant calme toi et cesse tes caprices »
Mes caprices ? Je n’avais plus de force pour le répondre, je me suis juste effondrée
« Danielle…danielle… »
ALEXANDRE
Eh merde, j’étais dans de sale draps
Je l’ai porté jusqu’à son lit et je me suis dépêché d’appeler un médecin
Martha qui m’avait sans doute suivi crier son nom s’est précipité
« Que s’est t’il passé monsieur ? »
« Le médecin arrive »
C’est tout ce que j’avais trouvé à dire avant de sortir de la pièce
J’étais mal en point, la voir dans cet état me brisait le cœur, je ne cessait de faire des vas et viens dans l’aller
Jean me regardait, je sentais très bien qu’il avait quelque chose à me dire mais n’osait pas
Et ce médecin qui tarde à venir
Je m’apprêtais à le rappeler quand la barrière s’est ouverte sur son véhicule
« Où se trouve la patiente ? »
« A l’intérieur dans sa chambre »
Jean s’est chargé de l’accompagner me voyant hésiter à le faire
Je suis allé me servir un verre de whisky que j’ai bu à sec, j’étais à mon cinquième verre quand ils sont descendu
« Ce n’est rien de grave, elle a juste besoin de repos et récupérer un peu, je lui ai prescrit des médicaments »
A t’il dit avant de s’en aller, il était 3h du matin a ma montre, j’ai demandé à tous le monde d’aller se reposer
Martha a insister pour être à ses coter mais je l’ai rassuré que je prendrais soins d’elle
J’ai terminé mon verre avant de la rejoindre, elle était si belle dans son sommeil
Je la caressait la joue au point de me perdre au contact de la douceur de sa peau
Ce n’était pas ça le deal, je n’étais pas censé souffrir en la voyant se briser, j’étais censé y trouver du plaisir
Je me demandai comment les choses allaient se dérouler ensuite, je me retrouvais en train de
Caresser ses lèvres et une envie folle de l’embrasser m’envahît
Je me suis éloigné d’elle et je suis allé m’asseoir sur le fauteuil en face de son lit
Je n’ai pas pu fermer les yeux, je n’y arrivais pas, j’ai passé toute la nuit à veiller sur elle
A prendre sa température, je me trouvais pathétique, je me justifiais en disant qu’il ne fallait surtout pas qu’elle meurt
Ce n’était pas dans mes plan
A 6h du matin Martha nous a rejoint, elle était toujours endormie
et moi j’avais cessé de compter mes verres de whisky
« Vous avez l’air fatigué monsieur, je prends le relais »
« C’est pas la peine »
Elle n’a pas insisté et est sorti de la pièce, la lumière du soleil éclairait son sublime visage
Je me suis levé de mon siège pour aller rester près d’elle pour mieux la contempler
Je la trouvais encore plus belle le matin, ça doit être l’effet de l’alcool…oui c’est sûrement ça
Je lui caressa le visage et elle se réveilla au contact de ma peau
Je voyais ses paupières se soulevées lentement comme les pétales d’une fleur qui s’ouvre à la vie
J’étais éblouie par ce spectacle splendide, elle essaya de se redresser à m’a vu mais eu à nouveau des vertiges
« Ne fait pas d’effort »
« Que fait tu là ? »
« Quelle drôle de question, tu ne te souviens pas de ce qui s’est passé la nuit dernière ? »
Je la voyais réfléchir essayant de se souvenir, elle avait l’air si faible, un bon bain lui ferait du bien
Je l’ai porté pour la salle de bain
« Qu’est-ce que tu fais ? Mais…tu…tu pu l’alcool bon sang »
Je ne disais rien, arrivé à la salle de bain je l’ai déposé sur le carrelage et je m’apprêtais à hoter ses vêtements, elle pris peur
« Ne soit pas stupide, je suis ton mari »
Elle fut probablement très surpris par ce que je venait de dire et moi aussi d’ailleurs
Je fit glisser sa robe de nuit sur son magnifique corps et la vu était juste incroyable
Je m’y perdais totalement, je n’avais jamais autant eu envie de faire l’amour à une femme
Encore moins à elle, j’avais envie de la serrer dans mes bras, de la rassurer, de la protéger
Pourtant ce n’était pas dans mon habitude, je ne faisais jamais l’amour, je ne l’ai jamais fait car je baise
Elle fut pris de honte et se mis cacher sa poitrine s’est aussitôt tournée
C’est Je me suis également déshabillé, mon érection était flagrant
- Vous pouvez retrouver l’épisode précédent via le lien https://www.wutsi.com/read/89749/sublime-vengeance-13