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Ma jolie voleuse - - Sous-titre: Jacob libéré de prison

Aug 30, 2024 - 5 Minutes

Episode 6

Jacob Miller

Avoir ma réponse ? Je n’arrive pas à croire qu’il me regarde en face pour me le dire. Je reconnais avoir mal agir en cambriolant son entreprise.

Si ce n’étais par manque d’argent, jamais, je n’aurais fait une chose pareille. Déjà que cela est contre mes principes.

 Mais ne sommes-nous pas prêts à tout faire pour le suivi de notre famille ?

Une chose est de m’arrêter mais une autre est de me torturer pendant des semaines et ne pas me faire juger.

Je ne suis pas la seule avoir cambrioler une entreprise. D’autre y mets des bombes.

Jusqu’ici, je ne comprends réellement pourquoi ce Monsieur a été autant cruelle avec moi.

Mr Lyon : Maintenant je voudrais avoir ta réponse. Tu voulais que je vienne, je suis là. Tu peux parler me répète-t-il. Je n’ai pas l’habitude de vraiment trop parler alors ne me pousse pas à le faire.

Moi : Ma réponse est non ? Pensez-vous que je suis bête au point de vouloir me jeter dans la gueule du loup. Qu’est qui pourrait pousser un homme aussi reconnu et redouté comme vous avoir vouloir avoir une voleuse comme fiancée. Ils vous ont donné quelle herbe ?

M. Lyon : A toi de voir Jacob n’est-ce pas ? A toi de voir ce qui est bien pour ta famille et toi. Tu acceptes de te fiancer avec moi, je ferai mon possible pour que tu sortes de cette prison aujourd’hui dans le cas contraire, je vais te laisser pourrir ici.

Il me prend pour qui exactement ? Il pense que je suis vraiment stupide pour croire une seconde ce qu’il me dit ?

Je suis sur qu’il a anguille sous roche. Je préfère continuer à vivre ici que de suivre cet homme. Il pourra facilement me faire du mal.

Je ne veux plus encore me mettre dans des problèmes. Mais j’ai besoin de sortir d’ici pour prendre soins de ma mère.

Il faut vraiment que je réfléchisse pour ne pas tomber dans le piège de cet homme.

M. Lyon : Je n’ai pas assez de temps.

Moi : Je ne veux pas de votre offre. Je préfère continuer à vivre dans cette prison.

M. Lyon : Tu es sur de ta réponse ? Je ne reviendrai dessus ?

Moi ; Je suis plus que sur ?

M. Lyon : Une voleuse et fier dit-il avec sarcasme. Je n’ai jamais vu une personne aussi fière malgré qu’elle soit dans une mauvaise posture comme toi. Alors qui prendra soins de ta mère qui a été renvoyé de l’hôpital par faute de moyen. Tu sais bien qu’elle meurt a petit feu. Et ton petit frère qui a laissé les cours afin de voler comme toi pour subvenir au besoin de ta mère. Je vois que le vol est un héritage chez vous ?

Moi : Quoi ? De quoi parlez-vous ? Mon petit frère vol ?

Non, non, je ne peux pas croire une chose pareille. Mon frère déteste voler et il ne le fera pour rien au monde.

Ce n’est pas le genre à faire une chose pareille. Même pour ma mère. Pourquoi voler aujourd’hui ?

Il pense surement que je les ai abandonnés. Il sait bien qu’il appuie sur une corde sensible.

Si je ne le détestais pas assez, maintenant c’est fait. Je le fixe et il croise les pieds.

M. Lyon : Alors tu ne veux toujours pas quitter cette prison pour prendre soins des siens ? Je suis que tu n’es pas aussi insensible à la douleur des tiens.

Moi : Si vous ne m’avez pas enfermé dans une cellule d’isolement en m’empêchant aussi d’appeler les mien, je serai déjà libre. Que voulez-vous exactement de moi ?

M. Lyon : J’ai pourtant été clair avec toi. Accepte d’être ma fiancée pendant une durée donnée. Je ne veux pas grande chose. Mais en contrepartie, tu n’as plus le droit de voler compte tenu de mon statut. Je ne peux pas avoir une voleuse comme fiancée.

Moi : Si vous acceptez prendre en charge ma famille, je suis prête à être votre fiancée. C’est ma seule condition. Je veux une nouvelle maison pour ma mère et que mon frère fréquente la meilleure école de Manhattan.

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M. Lyon : Tu n’as vraiment pas de négociation à faire ici.

Moi : Dans ce cas, je préfère continuer à vivre ici. De toute façon mon frère est très bien éduqué. Il saurait bien s’en sortir que moi. J’ai totale confiance en lui. Il pourra faire son possible pour que ma mère ne manque de rien. Alors vous pouvez partir.

M. Lyon : Je te donne encore une chance pour changer d’avis.

Moi : Vous êtes celui qui a le plus besoin de moi en ce moment et non le contraire. Je sais que je pourrai mourir ici. Cela ne me gène en aucun cas. Je n’ai vraiment pas espoir alors, je n’ai absolument rien à perdre.

Je tape la porte et l’agent me menotte et m’installe dans la chambre d’isolement.

J’observe tout autour de moi et prie que se soit faux tout ce que cet insensible m’a raconté.

Je ne me pardonnerai jamais si cela est vrai.

Il faut que je trouve un moyen de quitter cette prison. Je n’ai aucun moyen de contacter à l’extérieur.

Ils ne m’ont même pas permis de contacter une personne. Je dois trouver un moyen de sortir d’ici. Je dois le faire pour ma famille.

Maintenant une semaine que je réfléchir à un plan pour m’évader de la prison lorsque la porte de ma cellule s’ouvre sur les agents qui viennent me prendre brusquement comme à leurs habitudes. Depuis que je suis dans cette prison, c’est la première fois que je vois le soleil.

Je suis toujours dans le noir. Ils m’emmènent dans une salle et font sortir les vêtements que je portais avant de venir en prison.

Ils m’enlèvent les menottes et me demandent de signer quelques papiers. Une fois la paperasse faite, il me demande de me changer.

_Vous êtes libre madame. J’espère ne plus jamais vous revoir de toute ma vie.

Moi : Quoi ? Je suis libre ? Comment est-ce possible. Qui a payé ma caution ?

_Vous voulez retourner dans votre cellule ou sortir d’ici.

Moi : J’espère ne plus jamais revoir votre visage dis-je en sortant.

Le vent m’accueille et je prends une seconde pour inspirer l’air. Je ne savais pas l’importance de l’air libre avant de venir dans cette cellule.

Le gout de la liberté. La grille de la prison s’ouvre et je m’empresse de sortir tout souriante. Je faire un tour sur moi-même en souriante.

Une voiture noire blindées s’approche de moi et la vitre de l’arrière s’ouvre.

_Madame Jacob Miller ?

Moi : Qui me cherche ?

_Montez dans cette voiture.

Moi : Certainement pas. Qui êtes-vous et que me voulez-vous ?

_Montez dans la voiture et je répondrai à toute vos questions.

Moi : Vous savez bien le pays dans laquelle nous vivons et vous me demandez d’entrer dans votre voiture. Non merci. Je connais bien mon chemin. Je ne vais pas rentrer.

_Montez tout de suite dans cette voiture dit une voix que je pourrais aujourd’hui reconnaitre parmi mille. Ce insensible.

Je tourne les yeux et l’un des gardes ouvre la portière de la voiture et me laisse entrer.

A suivre…

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