Ma jolie voleuse
Episode 4 : Jacobs arrêtée pour vol par Mr Lyon
Jacob Miller
Debout dans les couloirs de l’hôpital, le temps passe lentement. Aucun médecin ne nous donne de nouvelle. Il me reste une heure avant de faire mon opération que je ne peux pas manquer.
Nous n’avons pas d’assurance alors l’hôpital de ma mère me coutera vraiment cher. Je n’ai plus assez d’argent actuellement alors que si je fais cette opération, nous n’aurons vraiment plus besoin d’argent.
Trente minutes plus tard, nous avons toujours aucune nouvelle. Je serai dans l’obligation de laisser mon frère tout seul. Je ne peux en aucun cas laisser cette opération me passer sous le nez. Je m’approche de ce dernier qui n’arrête de tripoter ses doigts.
Moi : Il va falloir que j’y aille Ben. Nous avons besoin d’argent pour payer les frais d’hospitalisation de mom. Je dois travailler ce soir. Mais je serai bientôt de retour. Informe-moi si le médecin dit quelques choses.
Ben : Fais attention à toi grande sœur.
Moi : Ne t’inquiète pas pour moi. Je vais m’en sortir. Le plus important est de faire tout possible pour que maman soit sur pieds.
Je lui donne un baiser sur le front et sors de l’hôpital. Je prends un taxi pour me rendre chez Carlos. Mais il m’envoie l’adresse de l’entreprise et le plan du bâtiment.
Je rentre chez moi prendre les habits que je dois porter pour l’opération. Je prends trois différents taxis pour me rendre à l’entreprise des Lyon.
Je surveille l’entreprise pendant plus de cinq heures de temps afin d’avoir un bon plan pour ne pas être arrêté.
Je sens mon cœur se battre pour sortir de ma poitrine mais je ne peux pas le laisser faire. A deux heures du matin, j’entre dans l’entreprise par le toit.
Je me faufile dans l’entreprise jusqu’à atteindre le bureau du patron. J’aurais appris que c’est un homme qu’on n’aimerait jamais croisé dans sa vie.
Ils parlent tellement de lui que je ne sais qui croire. De toute les manières, il ne me verra jamais. C’est pour ma famille que je me bats. D’autre ont la chance d’avoir la cuillère d’or dans la bouche depuis l’enfance.
Mais les gens comme nous doivent énormément se battre. Alors, je ne trouve aucun inconvénient à faire aussi mon travail.
Chacun faire son activité. Il a un bureau vraiment vaste avec une belle vue de la ville. J’allume mon compte à rebours sur ma montre.
Je n’ai vraiment pas assez de temps pour contempler ce magnifique vaste bureau. Je regarde le plan une fois de plus et j’arrive facilement à trouver l’emplacement du coffre-fort.
Je vérifie qu’il a aucun piège avant d’ouvrir le coffre. Cinq minutes après avoir ouvrir le coffre, je vois le collier briller à mille éclats. De toute ma vie, je n’ai jamais vu un aussi joli collier.
Mon Dieu, ce collier est d’une beauté indescriptible. C’est à ces occasions que j’adore le vol. J’étais sur le point de le prendre lorsque la lumière du bureau s’allume. Je suis dans la merde. Que s’est-il passé ?
Je regarde ma montre et il reste encore quelques minutes pour que la caméra de surveillance ne remarche. Qu’est ce que je viens de faire. Mes pieds ne tremblent pas possiblement.
_Je vous ordonne de vous retourner et tout de suite. Qui êtes vous et que faites-vous dans mon bureau ?
Moi : Non. Je ne crois pas. Il était censé être en voyage. C’est le diable. Je suis morte. Il faut que je trouve un moyen de sortir d’ici.
Je regarde la baie vitrée. Il est préférable de mourir que de lui fais face. Je ne réfléchir par à deux tours avant de me jeter sur la baie vitrée mais contrairement à mon imagination, elle ne se casse pas.
C’est mon bras qui a d’ailleurs reçu un grand coup. Je tombe comme une patate au sol ne pouvant plus me lever. J’ai tellement mal à l’épaule. Je suppose que je rêve. C’est impossible que cela soit vrai.
Je sens le talon de ce diable s’approcher. J’en tremble déjà. J’ouvre difficilement les yeux qui se croisent à ce dernier. Mais je le connais se Monsieur. Comment pourrais-je l’oublier.
Moi : Mais c’est vous ? Ca vous faire plaisir de me faire autant peur. Que faites-vous ici.
_Je vais le répéter encore une fois, que faites-vous dans mon bureau ?
Moi : Ne me dites pas que vous êtes le patron de cette entreprise et que c’est votre bureau. Je savais que quelque chose clochait chez vous lorsqu’on s’était rencontré. Alors vous êtes aussi voleur ? Nous pouvons négocier vous savez ?
_Je vous avais promis de vous attraper un jour. Je pense que ce jour est arrivé plus vite que je ne le pensais.
Il prend son téléphone et manipule pendant quelques secondes. Une minute plus tard, plusieurs agents de sécurité entrent le bureau.
Moi : Que faites-vous ? Je pensais que nous avions un accord.
_Ce collier que vous avez tenté de voler est d’une valeur inestimable pour moi. Comment avez-vous eu le courage d’entrer dans mon bureau. Si les autres non pas pu le prendre, qu’est ce qui vous faire croire que vous le pouvez ? Je veux savoir qui vous a envoyé avant que la police ne vienne vous arrêtez.
_Mr Lyon, la police est déjà en route.
Moi : Mr Lyon ? Non, non c’est impossible. Vous êtes Mr Lyon ? Je vous jure que je n’essayais pas de vous voler. J’ai rencontré le vrai voleur alors, je lui repris votre collier. Et comme je ne pouvais pas vous voir, j’ai décidé de le remplacer ce soir. Vous allez remarqué que j’ai échanger avec le faux qui était dans le coffre. Je ne faisais que du bien.
Mr Lyon : Tu le diras à la police.
Moi : Je vous en prie il faut que j’aille à l’hôpital. Mon bras me faire atrocement mal.
Je n’arrive pas à croire que le gars à qui j’ai pris le portefeuille est le même dont les filles s’extasient dans les rues de New-York.
Il est vraiment différent de celui que j’avais rencontré. Habillé dans son costume sur mesure, son visage donne froid au dos.
Et son regard peut faire arrêter un cœur. Je n’ai plus le courage de prononcer un mot. Mais il faut vraiment que je me défende. Je ne peux pas laisser mon frère seul avec ma mère.
Moi : Je vous en prie, je suis prêt à dire tout ce que vous voulez, mais je ne peux pas aller en prison. Ma mère est actuellement à l’hôpital. Je ne peux pas m’absenter plus longtemps.
Il fait signe aux agents de sécurité qui me menotte malgré que j’aie une douleur atroce au bras. Je hurle de douleurs.
Il prend place dans son bureau en me fixant. Je n’arrive vraiment soutenir son regard. Il pose le faux collier que je voulais remplacer sur son bureau.
Il était censé être en voyage. Il faut vraiment que Carlos m’explique exactement ce qui se passe. Et je compte sur lui pour me tirer d’affaire.
Une demi-heure plus tard, la police fait son entrée. Il discute un moment avec eux avant qu’ils me prennent.
Moi : Je vous en prie Mr Lyon je n’ai rien fait de mal.
Mr Lyon : Je t’avais fait une promesse et je viens de l’exécuté. Va pourrie en prison me dit-il avant de tourner le talon.
Moi : Je vous en prie ne me faites pas ça. Ma mère a besoin de moi je hurle avant qu’il ne me jette dans la voiture de police.
J’ai grave merdé.
A suivre…
