Littérature > Jeune adulte

Pouvoir de femme- Chapitre 15

Écrire est un art

27 août 2024 - 7 Minutes

La déception 

Tout se passait comme je l’avais prévu. Arthur avait oublié cette histoire, notre couple se portait à merveille.

Noé avait demandé Frida en mariage et le mien était prévu dans un mois. J’avais hâte.

Victoria et Mike notre fils allaient très bien. Mon business également allait à merveille. J’avais créé un compte dans lequel je gardais mon argent.

Un jour, Arthur était rentré très fâché. Le père de Victoria avait été relâché.

Moi non plus cette nouvelle ne m’avait pas plu. Il s’était rendu aux Etats-Unis pour terminer avec cette affaire.

Je n’allais pas rester les bras croisés ? Je voulais me venger de lui, pour ce qu’il m’avait fait dans mon enfance.

Arthur et Noé s’y étaient rendus. Je m’y étais rendue également le lendemain. Je trouvai une mauvaise ambiance.

Roger mon bras droit m’annonça que mon fiancé Arthur était à leur poursuite et avait quelques temps faire échoué des opérations et libéré plusieurs filles.

Il avait reçu plusieurs gifles de ma part.

MOI : Comment as-tu pu me cacher des informations pareilles ?

ROGER : Je devais arranger la situation. Je ne voulais pas vous déranger madame.

MOI : l’as-tu donc fait ? C’est la dernière fois que quelque chose se déroule ici et que personne, surtout toi ne me met au courant. Est-ce clair ?

ROGER : Oui madame.

MOI : Tu as autre chose à me dire ?

ROGER : Votre mari sait que c’est une femme qui est à la tête du business.

MOI : ce n’est pas possible. Je fais deux semaines sans être ici, vous ne faites que des erreurs.

Je ne voulais plus y rester. J’étais rapidement rentrée. Arthur n’était pas là.

Je montai regarder Victoria toute souriante. Au moins le fait de voir mes enfants me donne toujours du sourire.

Lorsque j’entrai dans sa chambre, elle n’était pas là. Je l’avais cherché dans toute la maison mais rien.

Je partis dans celle de mon fils, il n’était plus là aussi. C’est en ce moment-là que j’avais vraiment commencé à paniquer.

Je descendis en courant et je tombai sur Nelly la femme de ménage.

Elle tenait Mike dans ses bras. Je le lui pris en tremblant.

NELLY : Madame, vous allez bien ?

MOI : Non je l’ai cherché et où est Victoria ?

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NELLY : Dans sa chambre.

MOI : Elle ne s’y trouve pas.

On fouilla encore la maison une deuxième fois mais il y’avait aucune trace d’elle.

J’étais sous les nerfs. Arthur arriva avec Noé et se mit à nous chercher.

Lorsqu’ils nous trouvèrent, ils se sentirent soulager mais on ne trouva toujours par Victoria.

MOI : Pourquoi êtes-vous dans cet état ?

NOE : Le père de Vitoria m’a appelé pour me menacer qu’il prendrait les enfants.

MOI : Quoi ? Victoria a disparu ?

ARTHUR : Comment ça ? On demanda au chauffeur qui disait ne pas l’avoir vu sortir de la maison.

MOI : Comment un enfant peut disparaître ainsi ?

J’allais devenir folle. On cherchait une solution pour la retrouver lorsque le téléphone d’Arthur sonna.

Il décrocha.

Quelques temps après, il le mit sur haut-parleur. Le père de Vitoria l’avait avec lui et il voulait que j’aille les rejoindre pour vivre avec eux.

Il voulait qu’on soit réuni. Si je refusais, il devait éliminer Victoria.

Il fallait qu’on le piège car il était hors de question que j’aille vivre avec cet homme.

Il m’avait donné une semaine pour les retrouver aux Etats-Unis.

ARTHUR : Comment a-t-il fait pour avoir Victoria ? Il y’a sûrement un espion.

Je me retournai vers Nelly car elle était la seule qui s’occupait des enfants. Je rappelai le gardien.

Il garda toujours la même version selon laquelle personne n’était arrivée à la maison à part nous.

Je montai dans ma chambre et je sortis avec une arme que je braquai sur lui.

ARTHUR : Que fais-tu avec cette arme ?

MOI : je veux des réponses concernant la disparition de ma fille.

GARDIEN : Pardon madame je ne connais rien.

Je tirai sur sa jambe droite. Arthur vint m’arrêter mais je le repoussai.

MOI : Arthur ne me touche pas. Il est le seul qui connait véritablement ce qui s’est passé ici. Oh… toi parle sinon je te tire une autre balle.

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GARDIEN : Madame Morgana, un homme est venu ici. Nelly m’a demandé de le faire entrer parce qu’il est un ami de la famille. Elle a distrait le garde et elle lui a donné un café qui l’a endormit. Ensuite, elle l’a enfermé dans une chambre. Noé alla faire sortir le garde. Il était encore sous le choc de ce qu’elle lui avait donné.

MOI : Quel homme ? Décrit le nous.

D’après sa description, il s’agissait bien du papa de Victoria. Il avait menacé le gardien de garder le silence sinon il s’occuperait de sa famille.

Je me retournai vers Nelly. Je lui infligeai une gif**le puis je lui arrachai sa perruque.

J’étais incontrôlable. Noé et Arthur m’arrêtaient, je repris l’arme et la pointa sur elle.

ARTHUR : Ne lui fait rien. Laisse-moi m’occuper de ça. Nelly je suis déçue de toi. Comment as-tu pu faire ça ?

NELLY : Monsieur, excusez-moi je vous ai toujours aimé. Je l’ai fait pas jalousie je vous en prie.

MOI : Il pourrait être ton fils. N’as-tu pas honte ?

NELLY : Monsieur, Morgana voyage tout le temps lorsque vous n’êtes pas là.

ARTHUR : Quoi ?

NOE : Le mieux est de s’expliquer après. Frangin amenons la et le gardien au poste de police.

ARTHUR : Je reviens et on en parlera s’adressant à moi.

Je voulais tu**er cette chie**nne. On l’avait coincé et elle ne voulait pas tomber seule. S’ils ne l’avaient pas amené, je devais me la faire comme il se devait.

Je m’occupai de mon fils. Pour une prière fois, je priai pour qu’Arthur ne revienne pas vite à la maison.

De toute la nuit, je n’avais fermé l’œil. Noé m’avait appelé pour me dire qu’ils ne rentreraient pas cette nuit-là.

J’avais appelé Frida pour qu’elle me tienne compagnie durant toute la nuit. Très tôt, Arthur et Noé rentrèrent.

Je les avais accueillis. Arthur me tint par le cou. Noé fit tout pour l’empêcher mais il m’avait déjà attrapé et ne voulait plus me lâcher.

Je n’avais jamais vu autant de colère dans son regard.

NOE : Tu vas la tu**er. Lâche-la s’il te plaît.

ARTHUR : Non je ne la lâche pas ! Qu’est-ce que je ne t’ai pas donné ? Pourquoi as-tu fait ça ? Je te faisais confiance ? J’étais prêt à tout faire pour toi. Tu es un mon**stre Morgana.

Il parlait en pleurant, il me serrait toujours le cou.

NOE : Arrête je dis.

Noé lui avait mis une arme pour l’obliger à me lâcher. Même de cette manière, il me tenait encore et plus fermement.

Mike se mit à pleurer, ce qui attira son attention et me lâcha. Je toussai car je me sentais étouffer.

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Il alla et prit l’enfant. Il le remit à Noé et lui avait demandé de s’en aller avec lui.

Je voulais le lui empêche mais il me tint par le bras ? Noé partit avec l’enfant et referma derrière lui.

ARTHUR : Nelly a tout avoué, je suis au courant de tout. Et sache que le père de Victoria sait que tu es sa véritable mère et que c’est toi qui es à la tête des entreprises de mon père. Je te promets que lorsque toute cette histoire va se terminer, je vais moi-même te mettre derrière les barreaux.

Je ne pouvais rien dire car le voir dans cet état me rendait malade. Il partit dans son bureau et s’enferma à l’intérieur.

Je toquais mais il n’ouvrait pas. Je suivais des bruits dans son bureau qui m’inquiétait. Il avait fait près d’une heure à l’intérieur avant de l’ouvrir.

Son bureau était en mauvais état, il avait tout saccagé. Il sortir avec une bouteille de whisky à main.

Je la lui arrachai et la jetai. Il me tint le bras en me disant : « pourquoi ? Hein… pourquoi ? Qui es-tu réellement ?

Si je savais, je ne serai jamais tombé amoureux d’une femme comme toi. Il s’écroula.

J’appelai le garde qui se trouvait devant la porte pour qu’il m’aide à le transporter jusqu’à notre chambre.

Arrivés, je le déshabillai. Il se réveilla et me repoussa.

MORGANA : Bb laisse-moi t’aider à prendre une douche.

ARTHUR : Je te haie Morgana.

MORGANA : Moi je t’aime Arthur et je vais toujours t’aimer.

Je m’approchai de lui. Je l’aidai à prendre sa douche. Il était comme ailleurs. Il ne bougea plus. Il me regardait, son regard me frustrait.

Je voulus chercher une serviette pour le nettoyer, il m’arrêta le bras.

ARTHUR : Que m’as-tu fait ? Pourquoi je n’arrive pas vraiment à te haïr ?

MORGANA : Je suis désolée chéri.

ARTHUR : Je t’aime toujours autant.

J’entrai dans la baignoire et je l’embrassai. Il voulait résister mais il n’avait pas pu. On s’embrassa et on fit l’amour.

Lorsque nous avions terminé, on se rendit dans la chambre pour se coucher.

Je voulus le coller à lui mais il me repoussa en disant : « Demain matin, nous irons aux Etats-Unis. Dort pour être en forme car tu en auras besoin. » Il me donna le dos sans plus rien dire.

A SUIVRE…

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