Pouvoir de femme- Chapitre 14
Écrire est un art
Le véritable père de Victoria
On avait tissé un lien d'amitié. Il fallait ça pour un début avant de lui dire que je suis sa mère légitime.
J’étais à quatre mois de grossesse. Même dans cet état, je n'avais pas arrêté avec la cocaïne. Son père adoptif était à sa recherche.
Il pouvait toujours la chercher parce qu'il ne devait pas la retrouver.
Un matin, je partis dans le bureau d'Arthur car Lisa m'avait informé qu'il venait de rentrer et se trouvait dans son bureau.
Je suivis une conversation entre Noé et lui. Il avait interdit Noé de ne pas m'informer de quoi que ce soit à cause de ma grossesse.
Mais de quoi pouvait-il parler ?
NOÉ : mais elle a le droit de savoir.
ARTHUR : je la mettrai aussi au courant lorsqu’elle aura accouché.
NOÉ : cette vie est vraiment incroyable. Qui aurait cru que Victoria est la fille de Morgana et que son père adoptif est en fait son véritable géniteur.
MORGANA : Quoi ? Donc c’est lui son père ?
Ils me regardèrent. Arthur s’avança vers moi pour me calmer. Je ne voulus rien comprendre.
Je montai dans la chambre en colère. Il me suivit. Je pris des cachets dans mon tiroir. Il les vit et me les arracha.
Ça m’était égal qui le sache que je les prenais.
ARTHUR : tu es folle ou quoi ? Comment peux-tu prendre ces choses dans ton état ?
MORGANA : je fais ce que je veux.
ARTHUR : tu es enceinte et je suis le père de cet enfant. Ça fait combien de temps que tu en prends.
MORGANA : longtemps.
ARTHUR : Morgana !
MORGANA : comment as-tu pu me cacher que cet homme est celui qui a abusé de moi ?
ARTHUR : ne change pas de sujet.
MORGANA : non répond moi. Il était deux, qui est le deuxième ? Et ne me ment pas !
ARHTUR : Okay. Je vais te le dire. Le deuxième était mon père KINKE.
Je m’étais écroulée. Je suivis comme dans un rêve la voix d'Arthur qui m'appelait. Je me réveillai plus tard dans un hôpital.
Arthur était à mes côtés.
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ARTHUR : comment tu te sens ?
MORGANA : mal. La nouvelle est difficile à gérer.
ARTHUR : tu me déçois énormément. Ce que tu prends peut tuer notre enfant.
MORGANA : je ne veux pas en parler. Dit moi plutôt comment avez-vous du qu'il s'agissait d'eux ? Et pour le père de Victoria.
Arthur avait un espion chez cet homme. C’est de cette façon qu'il avait su sur toute l'affaire.
Son père était au courant et il avait fait le test d'ADN, voilà comment il dit qu'il était le père de ma fille.
ARTHUR : tu seras surveillé. Si toi tu ne tiens pas à cet enfant, moi j’y tiens.
MORGANA : je ne suis pas une enfant pour être surveiller.
ARTHUR : je fais entrer Victoria, elle veut te voir.
Il s'en alla sans me faire même un petit bisou. Quelques minutes après, Vicky entra. Elle prit place près de moi, elle avait l'air inquiet.
Elle me prit dans ses bras en me demandant de faire attention à moi. Sans même m'en rendre compte, je m’attachais à elle.
Je lui avais demandé de m'apporter mon téléphone le lendemain car j'en avais besoin. Elle était prête à me rendre n'importe quel service.
Elle avait beaucoup changé. La fille capricieuse, insolente et méchante est devenue une fille aimable, respectueuse et gentille.
Avant qu’elle ne parte, je lui posai quelques questions par rapport à Jason.
VICTORIA : ah… oui le bel homme. Papa l'avait amené.
MOI : où ?
VICTORIA : aux États-Unis. Il devait faire de lui son esclave.
MOI : merci ma chérie.
VICTORIA : de rien.
Le lendemain, Victoria vint avec mon téléphone. Noé l'accompagnait. Il l’avait laissé avec moi et s'était en aller.
Je pouvais tout gérer avec mon téléphone. Des filles avaient essayé de s’échapper.
Je demandai à ce qu'elles soient éliminées pour que ça donne de leçons à d’autres… j'avais donné l’ordre à mon bras droit de faire des recherches pour retrouver Jason.
Je n'en pouvais plus j'en avais besoin. Il me fallait de la cocaïne. Je suppliai Arthur mais il me l’a refusa.
J’étais suivie par un médecin 24/24. Je ne pouvais pas sortir.
Un jour alors que je discutais avec Victoria, tellement j’étais en manque de cocaïne que je lui avais révélé que je suis sa mère d'une manière brute et qu'elle avait été conçue d'un abus. Arthur m'avait suivi les lui révéler.
Elle s’était enfuie en larmes. Il s’était mis à sa poursuite. Ce n’était pas de ma faute.
Il fallait qu’il me donne tout simplement ce que je réclamais depuis.
Arthur ne m'adressait plus la parole car je ne voulais pas me faire soigner et j'avais déjà des malaises qui pouvaient conduire à la perte du bébé.
Pour le bien de mon enfant, je décidai de ne plus en prendre. Je suivis un traitement par rapport. Victoria m'avait pardonné.
Cela me fit beaucoup plaisir. À mon huitième mois, j'eus de fortes contractions. J’étais en salle d'accouchement.
J'avais peur, je n’étais qu'au huitième mois. Finalement, je mis au monde un garçon. Il était né prématuré.
Je pleurais beaucoup car il allait mal et je m'en voulais. Le médecin nous avait dit que c’était à cause de ce que je prenais.
J’étais inconsolable. Je voulais juste que mon fils de rétablisse. Arthur jugea bon pour nous d’être soudé pour notre enfant.
Quelques temps après, il a commencé à aller mieux. Il prenait un peu du poids. Le médecin nous avait annoncé de bonnes nouvelles.
Il était hors de danger mais on devait prendre soin de lui car il avait encore une santé fragile. Nous sortîmes de l’hôpital tout joyeux.
Noé nous apprit que Frida était enceinte. Les bonnes nouvelles inondaient nos vies. Je n'avais pas oublié mon business.
Mon bras droit s'en sortait très bien. Je devais m'occuper de cet homme, le père de ma fille. Arthur fit un voyage.
Je m’étais rendue aux États-Unis. Je devais conclure un contrat avec lui. Je lui tendis un piège.
Je lui avais donné RDV et j'avais également appelé la police. Il m’attendait sans savoir que la police devait être là à ma place.
Il avait été attrapé. Après cela, j’étais rentrée au Cameroun. Je trouvai Arthur au salon tranquillement assis.
J’avoue que j’avais eu peur.
ARTHUR : Où es-tu ?
MOI : Chez une amie.
ARTHUR : Je suis là depuis hier. Tu as dormi chez ta copine ?
MOI : exactement bb.
ARTHUR : arrête de me prendre pour un idiot ! Selon mon espion, tu étais aux États-Unis.
MOI : tu m'espionnes maintenant ?
ARTHUR : je n'ai plus confiance en toi depuis que tu m'as caché ton obsession pour la cocaïne. Qu’est-ce que tu es allée y faire ?
MOI : des boutiques.
ARTHUR : et où sont tes sacs ?
MOI : Arthur arrêt de me stresser. Je n'ai pas besoin de ça.
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ARTHUR : si tu me caches quelque chose de grave et que je le découvre, croit moi que tu verras un autre visage de moi.
Je tremblais comme une feuille. Mes ambitions allaient me faire perdre l'homme que j'aimais. J’étais montée voir mon fils qui dormait.
Ensuite ma fille, elle visionnait. Je ne supportais pas passer une nuit sans Arthur. Je me rendis dans son bureau.
Il buvait du whisky. Je pris place en face de lui, je lui pris son verre, je lui donnais un baiser.
ARTHUR : ne pense pas que tu m'auras comme ça. Que me caches-tu ?
MOI : rien bb.
ARTHUR : fait moi l'amour. J'ai besoin de toi.
J’enlevai tout doucement sa cravate et sa chemise. On ne pouvait se résister. Je baissai son pantalon pour lui faire une bonne p**pe.
Il ne résista pas pour commencer à gémir. Je savais le rendre fou. Je remontai pour l'embrasser. Il me porta pour m'installer sur la table.
On s'embrassa avec foudre, il hotta ma robe. Nous n'avions pas mis du temps aux préliminaires tellement nous en avions envie.
Il me pénétra comme il savait si bien le faire.
Je gémissais tellement qu'il m’embrassa pour empêcher que les autres se posent des questions.
MORGANA : bb je t'aime… j'aime ce que tu me fais.
ARTHUR : ah…oui… tu es si belle… si douce. Jamais je ne m'enlacerai de toi. Je t'aime trop.
On fit l'amour comme si nous ne l'avions jamais fait. Il accélérait ses va et vient ce qui me rendit folle.
Je le serrais fort contre moi. C’est fou comme ça m'avait manqué. Il me regarda droit dans les yeux et avait souri.
Tout à coup, il entra d'une façon dont il ne l'avait jamais fait. Je hurlai tellement que Noé toqua à la porte.
NOÉ : j'ai suivi un cri. Tout va bien ?
ARTHUR : oui Fréro tout va très bien répondit-il en me faisant un bisou.
NOÉ : okay je monte me coucher. À demain.
Il continua à faire ses mouvements jusqu’à ce qu’on atteignit la jouissance ensemble. On riait en se disant des mots doux. Cette nuit-là avait été ma préférée avec lui.
A SUIVRE…
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L'amour est un sentiment pur.