Littérature > Jeune adulte

Pouvoir de femme - Chapitre 13

Écrire est un art

26 août 2024 - 7 Minutes

Le face cachée de Morgana

Frida était magnifique, elle avait bonne mine. On s’enlaça. Je vis aussi les deux autres femmes qu'on avait sauvées.

On avait tellement à se dire. Elle me fit visiter la villa puis m'amena dans le jardin pour qu'on puisse discuter.

Ça se voyait qu'elle était heureuse. Son homme prenait soin d'elle aussi.

C’est cette vie-là que toutes les deux méritions avec la souffrance que nous avons enduré. Elle était au courant de la disparition de Jason.

Elle me donna des informations à propos de lui. Lorsqu’elle avait été kidnappée par le père adoptif de Victoria, ses hommes avaient amené en même temps Jason.

À ce qu'elle avait suivi, Victoria était tombée sous son charme et avait exigé qu'il l’épouse.

Son père s’était interposé à cette décision car elle était très jeune.

La nuit où nous étions venus à leur secours, il avait été amené dans un autre lieu qu'elle ne connaissait pas.

Elle ne savait pas s'il était encore vivant. Cette histoire était étrange car pourquoi cet homme kidnapperait le fils de son partenaire ?

Il fallait que j'en sache plus. Une idée me vint en tête. Nous avions dîné tous ensemble.

Il y’avait de la joie et de la bonne humeur qui régnait. Arthur quitta la table et prit la direction de l'extérieur.

Je le suivis. Je n’aimais pas le voir dans cet état. Il était assis près de la piscine, les pieds à moitié dans l'eau. Je pris place à côté de lui.

MOI : mon amour, s'il te plaît parle-moi. Je n’aime pas lorsque tu me boudes.

ARTHUR : je ne te boude pas. Je réfléchis.

MOI : À quoi ?

ARHTUR : Qui pourrait bien être le remplaçant de KINKE ?

MOI : Arrête d'y penser juste pour un moment. Nous sommes ici et profitons-en pour se distraire, penser à nous.

ARTHUR : Tu as raison

MOI : voilà ! Et…j'ai bien réfléchi à ce dont nous avons parlé la nuit dernière. Bb j'accepte de récupérer ma fille.

Cette nouvelle l'enchanta tellement qui me donna un baiser avec un sourire. Il me promit de tout faire pour qu’on soit une vraie famille.

J'adorais voir son sourire. On devait faire cinq jours au Canada pour se divertir. J’étais heureuse.

Je plongeai dans la piscine, il me tendit la main pour me faire sortir mais je le tirai. Nous étions collés face à face, l'un à l'autre.

Je voulais qu’on le fasse là, je n'avais pas tardé à le lui démontrer en enlevant la robe que je portais.

Il ne résistait pas à mon corps. On s'embrassa et on fit l'amour. Nous étions allés nous coucher aux environs de 23h. Nous avions dormi paisiblement.

ACHETEZ LE LIVRE: Pouvoir de femme

Très tôt, Noé et Arthur nous avaient embarqués dans une voiture énorme. En même temps, je profitai pour admirer la ville.

Nous étions descendus au Georges Restaurant, un des meilleurs restaurants de Toronto. Nous nous installâmes et on passa nos commandes.

On avait choisi de l'hamachi sashimi, Mango Carpaccio, du caviar premièrement.

Ensuite, nous prîmes du Black Gold, Bruléed Cauliflower, du barberries deuxièmement.

Et enfin, opéré take, du pistacchio avec trois bonnes bouteilles de champagnes. Il fallait fêter nos retrouvailles comme il se devait.

Frida m’interpella pour me montrer des photos d'elle. On les regardait en riant. Lorsque je regardai devant moi, je vis une boite rouge.

Je regardai tout le monde sans rien comprendre. Je l’ouvris, je vis une bague en diamant.

Arthur se leva, mit un genou un sol puis pris ma mère et m’avait dit : « Mon bb, veux-tu être ma femme ? » Je n'arrivais pas à y croire.

Il me demanda en mariage. J’avais sauté sur son cou et embrassé. Tout le restaurant avait applaudi. Je ne pourrai jamais oublié ce moment.

Nous avions visité la ville. En soirée, nous étions allés au Barcode Saturdays une boîte de nuit.

Nous nous amusâmes comme des malades. Ça faisait du bien de penser un peu à nous.

Le lendemain, nous avions visité Victoria, une magnifique ville.

Nous nous rendîmes au parc Beacon Hill. Ensuite, j’étais allée faire du shopping avec les filles au Hudson's bay.

On passa un excellent séjour sans travail. Il était temps pour nous de rentrer. Frida et moi étions tristes mais je lui promis que je viendrai de temps en temps.

Dans le jet, j’étais collée à Arthur. Je ne voulais pas le laisser pour une seule seconde.

Lorsque nous arrivâmes, il n’arrêtait pas de recevoir des appels ce qui attira mon attention.

Je savais qu’il enquêtait sur la personne qui avait pris en charge le business de KINKE. Je devais tout faire pour toujours être au courant de ses moindre faits et gestes…

On arriva à la maison.

Je voulus monter dans la chambre mais il me stoppa en me disant qu'il avait une surprise pour moi.

Il appela un de ses gardes qui vint avec Victoria ligotée. Elle s'agitait comme une chenille.

ARTHUR : son père la cherchera dans quelques minutes mais il ne saura pas où elle se trouve. Elle restera avec nous.

VICTORIA : Lâchez moi immédiatement sinon mon père vous le fera payer lança-t-elle.

ARTHUR : Elle est encore pourrie gâter. Avec le temps, elle chargera.

VICTORIA : Que me voulez-vous ? Laissez-moi m'en aller chez mon père. Papa, papa ! Cria-t-elle

Je m'avançai vers elle et lui donna une gi**fle ce qui la calma. J’ordonnai au garde de l'amener dans sa chambre.

Ensuite, je pris la direction de la mienne. Arthur me retrouva quelques minutes après.

ARTHUR : Ça va ? Me demanda-t-il.

Recevez mes Stories dans votre boîte e-mail aussitôt que je les publie.
Abonnez-vous à mon Blog

MOI : Je ne sais pas. Le fait de la voir aujourd’hui en tant que ma fille me choque un peu.

ARTHUR : Je comprends. Ne t'en fais pas bb. Tout rentrera dans l'ordre.

Si j’avais accepté de la récupérer, ce n’était pas parce que je l'aimais.

C’était pour qu'elle me révèle les plans de son père et pour qu'elle me donne des informations sur Jason.

Je n'avais rien à faire d'elle. Je me rendis dans sa chambre. Il était en mauvais état. Elle avait tout saccagé. Je me mis à rigoler.

Ce qui l’énerva encore plus.

VICTORIA : De quoi ris-tu ?

MOI : Cette chambre que tu as saccagée, tu vas la ranger.

VICTORIA : Jamais. C’est le travail des ménagères.

MOI : Écoute moi très bien, je vais ressortir et lorsque je reviendrai dans une heure de temps, je veux la voir dans un état impeccable.

VICTORIA : Si ce n’est pas le cas, que feras-tu ?

MOI : Tu le verras de tes propres yeux.

Je ressortis. J’eus le vertige. Heureusement que Nelly la femme de ménage me rattrapa. Elle me ramena dans la chambre.

Arthur nous vit, il se précipita et me porta jusqu'au lit.

ARTHUR : Bb qu'as-tu ?

MOI : Je n'en sais rien. J'ai mal au crâne.

ARTHUR : Repose-toi un peu. Il resta à mes côtés jusqu’à ce que je m’endorme.

Quelques temps après, je me réveillai et vue l'heure, j’avais beaucoup dormi. Je trouvai des messageries de mon bras droit.

Une cargaison devait arriver de Colombie. Il fallait que je me rende aux États-Unis. Je ne savais pas ce que j'allais inventer pour m'y rendre alors, je lui avais donné la responsabilité.

Je répartis dans la chambre de la petite. Sa chambre était dans le même état. Elle me vit et ria.

Je me précipitai vers elle et l'attrapa par le bras de force en hurlant sur elle. Noé entra et m’arrêta. Victoria était en larme. Il me fit sortir de la pièce.

NOÉ : Morgana qu’est ce qui se passe ?

MOI : Elle veut me défier. Je lui demande de ranger sa chambre, elle ne l'a pas fait.

NOÉ : comprend qu'elle n'a pas eu une bonne éducation. C’est nous qui devons la rééduquer.

Il avait raison. Je devais être douce avec elle. Je devais serrer le cœur et aller m'excuser. En entrant, elle se cacha derrière le lit.

ACHETEZ LE LIVRE: Pouvoir de femme

MOI : je suis désolée. Je suis un peu énervée ces derniers temps.

VICTORIA : et tu verses ta colère sur moi.

MOI : vient t'assoir s'il te plaît.

VICTORIA : Non. Sort de ma chambre !

Elle se mit à hurler. Je sortis tout énerver. Elle savait me mettre sur les nerfs. Avec les efforts que je faisais pour lui présenter des excuses.

Mon bras droit m’annonça qu'il avait bien reçu la cargaison. Des jours passèrent, la petite changeait.

Je ne peux pas dire que c’était grâce à moi mais c’était grâce à Arthur. Elle l'aimait beaucoup et le prenait comme un père.

Contrairement à moi. J’étais son pire ennemie, elle ne supportait pas me voir.

Même lorsque J’étais gentille avec elle, cela ne changera rien. Les malaises continuaient. Un jour, je ne pouvais pas me lever à cause de la fatigue.

Arthur était inquiet. Il appela son médecin. Celui-ci m'examina. Ensuite, il appela Arthur tout souriant.

MÉDECIN : cher ami, votre femme est enceinte de deux semaines. Le sourire qui se traça sur nos visages. Arthur me prit dans ses bras.

C’était agréable de le voir aussi joyeux. Il l’avait annoncé à Lisa et Noé qui étaient venus me féliciter.

En soirée, j’étais dans ma chambre lorsqu’on toqua à la porte. Je vis Victoria entrée. Elle se plaça devant moi.

VICTORIA : félicitations pour le bébé.

MOI : merci. VICTORIA : j'ai toujours voulu avoir un petit frère ou une petite sœur.

MOI : maintenant tu en auras.

VICTORIA : non puisque vous n’êtes pas mes parents. Je reverrai encore mon père un jour ?

MOI : non il est dangereux. Tu connais ce qu’il fait.

VICTORIA : je le sais. Oncle Arthur m'a déjà tout raconté. Je ne savais pas qu'il assassinait ces pauvres femmes. Je pensais qu'elles travaillaient juste pour lui.

MOI : je veux te connaître et être ton amie. Me donnez-vous cette opportunité ?

Elle resta silencieuse avant de me dire : « oui » je lui tendis la main pour qu'elle prenne place près de moi. J'allais enfin mettre tous les plans en exécution.

A SUIVRE…

  1. Lire
  2. Aimer
  3. Commenter
  4. Partager

L'homme est ondoyant et divers.