Literature > Short Stories

Ma jolie voleuse

Aug 26, 2024 - 6 Minutes

Episode 2

Jacob Miller

Maman : Ne me dis pas que tout ce qui se trouve sur ton lit vient d’être voler me demande-t-elle ?

Moi :  Eh bien oui. Et d’où veux-tu que cela sorte ? Penses-tu que j’ai assez d’argent pour les prendre ?

Maman : Veux-tu me donner une crise cardiaque ? Pourquoi ne veux-tu pas m’écouter ? Il n’est pas encore trop tard pour toi chérie. Tu peux encore faire une formation et laisse ce métier pour ceux qui en veulent.

Moi : Pour vivre de quoi maman ? Comment allons-nous survivre si j’abandonne maintenant. Depuis que tu cherches un travail, l’as-tu trouvé ? Ben doit passer l’examen pour entrer en seconde cette année alors je ne peux pas me permettre d’abandonner mon métier. Je te signale que c’est grâce à ce travail qui te répugne tant que je vous nourris.

Maman : Je ne veux pas être liée de près ou de loin à ton activité. Et je te préviens, je ne pourrais rien pour toi si jamais la police t’attrape. Va remettre ses colliers a ses propriétaire Jacob. Je ne sais pas ce qui ne va réellement pas avec toi.

Moi : Si ne m’avais pas donné le nom de ce voleur de la bible, peut-être que je ne serai pas devenu celle que tu vois.

Maman : Donc tu m’accuse du fait que tu es une délinquante. Je t’ai donné ce nom en souvenir de ton père mais toi tu me juge.

Moi : Tu aurais pu me donner autre nom que ce nom ringard maman. Ce qui arrive est de ta faute. Ne me condamne pas. Si tu m’avais instruite en me laissant pas livrer à moi-même dans les rues du Queens peut-être que tu aurais été fier de moi. Maintenant je voudrais me reposer. Et de grâce la prochaine fois, ai l’amabilité de frapper avant de rentrer.

Je range les colliers dans mon armoire et lui tourne le dos. Je ne sais réellement pas ce qu’elle veut réellement de moi. Elle sait bien à quel point nous avons besoin d’argent pourtant elle veut que je laisse le seul travail qui nous permets de tenir dans ce monde. Je ne la comprends toujours pas. C’est sur ces pensées que je m’endorme.

Le lendemain matin, je me réveille tôt afin de voir Carlos, mon patron pour lui faire l’inventaire de ce que j’ai pu récupérer hier. Je prends ma douche et m’habille avant de rejoindre la petite famille à table. Ben et ma mère prennent leur petit déjeuner. Je donne un baiser au front de mon frère avant de prendre place. Il est ma priorité. Je l’aime tellement que je voudrais qu’il vît bien. C’est pour lui que je me bats autant.

Ben : Salut Jacob me dit-il.

Moi : Comment vas-tu Ben. J’espère que tes cours avancent bien.

Ben : Bien sûr. J’ai quelques livres à prendre pour l’examen qui approche.

Je lui remets cent dollars pour qu’il prenne tout ce dont il a besoin pour son examen.

Moi : Tu sais bien que c’est pour toi que je travaille autant alors ne me déçois pas mon grand. Je voudrais que tu fasses parties des présidents de ce pays.

Ben : Je crois que je vais plutôt penché sur la médecine. Je ne veux pas faire la politique. Mais ce n’est pas aussi une mauvaise idée.

Moi : Tant que tu réussis je ferai tout pour te mettre à l’aise.

Je prends une tasse de thé avec une portion de friand avant de demander à partir. Ma mère m’ignore totalement. Elle n’aime pas mon travail pourtant elle ne continu de vivre grâce à cet argent sale. Je dépose Ben à l’école avant de me rendre au quartier général.

Sylvanus : Yo girl, comment a été le marché hier ?

Moi : Toujours fructueux Sylvanus.

Sylvanus : J’aimerais apprendre de toi.

Moi : Mets juste tes atouts en valeur et je pense que tu pourras faire beaucoup de fric. Est-ce que Carlos est là. Je voudrais discuter avec lui.

Sylvanus : Dans son bureau je suppose.

Je le remercie et continu mon chemin. Arrivé devant le bureau de Carlos, je toque et il me donne la permission d’entrée.

Carlos : Comment va mon employé la plus efficace. Tu sais que tu es ma poule d’or.

Moi : Je vais bien Carlos. Je ne veux pas trop rester. Je voudrais juste te faire le compte de ce que j’ai récupérer sur le terrain hier.

Je fais sorti les colliers et aussi l’argent que j’ai pu avoir des portefeuilles. Il vérifie l’authencité des colliers et me sourit.

Carlos : Ce sont des colliers de valeur. Je suis fier de toi. Mais tu sais qu’elle ne sera pas vendue à grand-chose sur le marché noir.

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Il compte la somme que j’ai pu avoir des portefeuilles qui s’élève à dix-mille dollars.

Carlos : Waouh, tu as vraiment fait du bon boulot. Assure-toi de ne plus te rendre sur les terrains d’hier pour éviter de te repérer.

Moi : Ne t’inquiète pas pour moi. Je sais bien prendre soins de moi.

Il me remet sept-mille dollars.

Moi : Tu ne vas quand même pas me dire que tout ces colliers ne valent que sept-mille dollars ?

Carlos : Tu sais bien que ses colliers sont vendus à des prix dérisoire sur le marché. Tu sais bien que je te favorise plus que les autres parce que tu es ma meilleure employée.

Moi : Je sais bien mais je pense que ce collier pourrait se vendre plus que ça.

Carlos : N’oubli pas que je dois aussi prendre mon pourcentage. Je te donne alors les trois milles dollars restant. Mais que ceci reste entre nous. Offert, j’ai un boulot pour toi. Un travail vraiment très facile.

Moi : Je suis toute ouïe.

Carlos : Prends place.

Je prends place en face de lui puis il me sourit.

Carlos : C’est vraiment simple. J’ai appris qu’une des familles la plus influente de New-York vient d’entrer en possession d’un collier inestimable. Et avec ce collier au pourrait devenir plus riche plus que tu ne le pense.

Moi : Dis plutôt que tu seras plus riche que tu l’ais maintenant.

Carlos : Que racontes-tu ? Si tu arrive à prendre ce collier, je te donnerai cent mille dollars. Ce collier vaut des millions de dollars sur le marché. Je suis vraiment véridique avec toi.

Moi : Et tu veux me donner que cent milles sur des millions. Tu me prends pour qui au juste ? Je vais risquer la prison et toi tu ne veux que me donner cent mille. Je suis sûr que ce travaille que tu me proposes est vraiment risqué n’est-ce pas ?

Carlos : Tu dois t’introduire dans l’entreprise de la famille Lyon pour prendre ce collier. Mais ne t’inquiètes pas. Tout a déjà été organiser. Ce boulot ne va prendre que quelques minutes. Je te connais bien et je sais que tu pourras y arriver raison pour laquelle je voulais que tu le fasses.

Moi : Je ne marche pas Carlos. C’est un travail très risqué et la somme que tu me propose ne me convient pas. Il faut que j’y aille maintenant. J’ai beaucoup de chose à faire. Passe une excellente journée.

Carlos : Jacob…

Je rentre chez moi, faire une somme avant d’examiner les lieux que je vais explorer ce soir. Je ne compte pas me laisser utiliser par cet homme. Je ne me plains pas de ce que je gagne avec lui mais il aime tellement l’argent qu’il peut me laisser bruler dans le feu juste pour quelques miettes. Et me réfugié dans l’ancre de la famille Lyon ? Je n’aimerais pas signer ma mort.

 Qui ne connais pas la famille Lyon dans cette ville. Certes, la vie devient de plus en plus dur surtout avec la santé de ma mère mais je vais me contenter de voler des personnes dans la rue que tu de me mettre dans le cambriolage. A mon retour ma mère n’était plus présente.

Je vérifie mes plans pour ce soir afin de me coucher. J’entend la voix de ma mère qui m’appelé et je sursaute. Je sors de ma chambre voir ce qui se passe. Ben est assis au salon suivant la télé.

Moi : Qu’arrive-t-il à ta mère ?

Ben : L’eau fuite dans la cuisine.

Moi : Mais pourquoi ne l’aides-tu pas ?

Ben : Elle m’a interdit d’entrer dans la cuisine.

Maman : Jacob hurles-t-elle.

Je la rejoins et toute la cuisine est inonder d’eau qui coule en vers le salon.

A suivre…

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