Ma jolie voleuse
Episode 1
Jacob Miller
_Hey. Mais faites attention madame.
Moi : Désolé Monsieur. Je suis vraiment désolé.
Que s’est facile de voler dans les rues de New-York. C’est mon quotidien. Mon nom est Jacob Miller. Et je suis une voleuse. Oui. Une jolie voleuse. Comme vous l’aurez devinée si vous êtes intelligent, je viens de prendre le portefeuille de ce Monsieur. Je me rends dans l’une des plus luxueux restaurant de la ville pour prendre mon déjeuner. Après avoir faire ma commande, j’ai été servi une demi-heure plus tard. Je savourais mon repas lorsque je sens une main sur mon épaule. J’ouvre mes yeux et me rends compte que c’est le Monsieur que je venais percuter. Je lui souris et il prend place en face de moi.
Moi : Que puis-je pour vous Monsieur…dis-je en découpant ma viande.
_Je veux que vous me rendiez mon portefeuille. Vous pouvez prendre l’argent qui y trouve. Mais je voudrais mon portefeuille.
Moi : Est-ce que vous savez que c’est de la diffamation d’accuser une personne sans preuve encore plus une inconnue que vous ne connaissez d’Adam ni de Eve ?
_Ne jouez pas avec mes nerfs. Vous ne savez pas qui je suis. Remerciez Dieu que je vous parle gentiment et que je n’ai pas impliquer la police dans cette histoire.
Moi : Comment m’avez-vous retrouvé ?
_Je veux juste le portefeuille. Prenez tout se ce qui se trouve dans le portefeuille si vous le souhaitez.
Moi : Je ne sais réellement pas de quoi vous parlez. Mais si vous voulez appeler la police, ne vous gênez pas. Cela m’est complètement égale. Je vais plutôt porter plainte contre vous pour diffamation.
Il me fixe longuement et arques un sourcil.
_Vous ne savez réellement pas qui je suis n’est-ce pas ?
Moi : Même si vous êtes le fils unique du président Joe Biden, cela ne vous donne pas le droit de m’accuser à tort. Mais si vous voulez vraiment continuer, faite le.
_Comment une si jolie femme comme vous peut être voleuse alors qu’elle a tout ce qu’un Homme normal possède pour travailler. Vous faites hontes à la gente féminine.
Moi : Je n’aime pas les hommes qui bavardent de trop. Bon j’ai fini mon repas.
Je demande l’addition. Je viens de prendre un repas de cinq mille dollars. Je cligne des yeux et souris en coin.
Moi : Mettez sur la note de ce monsieur. Il va le payer n’est-ce pas.
Il ne réagit pas. Comme il l’a dit, je prends tout ce qui avais dans son portefeuille et le dépose sur la table.
Moi : Normalement, je ne devais pas vous le remettre. Mais comme vous venez d’agir comme un gentleman en payant mon addition il fallait que je vous récompense. En plus, je ne sais pas ce que je ferai avec ce truc aussi moche. Passez une excellente journée.
Je pose une bise sur sa joue et tourne les talons.
_Je vais vous retrouver madame. Je vous promets que je vous trouverai. Je n’oublie jamais un visage.
Moi : Bonne chance à vous alors Monsieur. J’ai été ravi de faire votre connaissance dis-je avant de sortir du restaurant sans oublie de claquer mon talon qui raisonnait dans le restaurant.
Il est vraiment marrant cet homme. Je ne comprends toujours pas comment il a pu me retrouver. Je mets mes mains dans mon veston et je constate qu’il a un petit objet qui n’était pas censé être là. Je le sors et c’est une petite puce qui clignote. Il est plutôt intelligent. Je la jette au sol et l’écrase. Bonne chance à vous Monsieur pour me retrouver dis-je avant d’en faire plusieurs autres victimes ce soir.
Issu d’une famille de deux enfants, je n’ai pas connu mon père. Il parait qu’il est mort avant ma naissance. J’ai grandi en pensant que le père de mon petit frère était le mien. Il avait tendance à frapper ma mère et l’a torturé comme il voulait. J’étais toujours triste et timide.
J’avais même peur des ombres. Lorsqu’il buvait, il m’enfermait dans une chambre noire en battant ma mère à mort. Pourtant ma mère supportait et continuait toujours à le servir. Mais la goutte d’eau à déborder le jours où il s’est pris à mon petit frère.
Ma mère après avoir assommé son mari dans une bagarre a puis fuir avec nous aussi loin qu’elle pouvait. Nous étions en ce temps dans le Colorado. Nous avons fini pas nous installer à New-York où la vie est vraiment chère. En grandissant, j’ai développé le vol parce que je n’avais jamais rien.
Personne ne m’offrait de cadeau et j’étais toujours réprimandé pour rien du tout le jour de mon anniversaire. Alors pour me faire plaisir, j’allais voler afin de pouvoir célébrer mon anniversaire. Lorsque nous avons déménager à New-York ma mère n’avait yeux que pour mon petit-frère. Je ne comptais pas réellement.
Alors je passais mes journées dans la rue a volé et c’est ainsi que je suis devenu une voleuse. Ma mère travaillait jour et nuit afin de donné le meilleur à mon frère. Je ne pouvais plus aller à l’école parce que les moyens n’y étaient pas.
A mes quinze ans, après un vol qui m’a fallu la prison, j’ai rencontré Carlos, un homme de la vingtaine, qui a pu payer ma caution et m’a appris comment voler après que j’ai intégré son gang. Aujourd’hui je suis devenu une voleuse professionnelle grâce à lui. Nous avons des contacts dans tout le secteur de la police qui qui pourrait nous faire sortir même si nous étions arrêtés.
Mais nous faisons tout pour être discret. Nous sommes un groupe de sept membres qui vole pour Carlos et il nous paie gracieusement. De tous, je suis sa préférée compte tenu de mon efficacité. Depuis ce temps, je passe ma vie dans les rues pour gagner ma vie. Ma mère ne se souciait réellement pas de moi alors je m’en foutais.
Mais j’aime énormément mon frère malgré qu’il soit la préférence de ma mère. Lorsque mon frère a passer son examen pour entrer en sixième, ma mère fut arrêtée dans son travail après qu’elle ait trainé une maladie qui a duré plus de trois ans à guérir. J’étais obligé de prendre la famille en charge. J’ai dépensé toute mes économies dans la maladie de ma mère et l’étude de mon frère.
Cela m’a motivé à travailler encore plus durement pour leur donner une meilleure vie. Ma mère n’a plus trouvé un travail et j’étais obligé d’apporter de l’argent à la maison. Malgré tout ce que je fais, elle n’est toujours pas satisfaite et ne rates aucune occasion pour me critiquer ou me traiter de délinquante.
Je suis déjà habituée. Après avoir fini mon travail de cette soirée, je suis rentrée faire l’inventaire de tout ce que j’ai pu récolter. Assisse sur mon lit, j’admire les colliers et montre que j’ai pu dérober ce soir. Ce sont des colliers en diamant, or ou en argent.
J’ai pu dérober plusieurs portefeuilles. C’est la chose la plus simple en prendre chez une personne. J’en dérobe chaque jour que sors. Après avoir fini ma journée, je suis rentrée admirer ces joyaux. Ces gens sont tellement riches qu’ils ne vont même pas remarquer qu’ils ont perdu quelques choses.
Ce sont des personnes pour qui l’argent ne dit absolument rien. Un des colliers attirent mon attention. C’est une chaine en or qui brille tellement bien. Je la prends et le mets à mon cou. J’admire vraiment ce collier. Quelques minutes plus tard, ma porte s’ouvre brusquement. Ma mère entre dans ma change le visage froissé.
Maman : Ne me dis pas que tout ce qui se trouve sur ton lit vient d’être voler me demande-t-elle ?
A suivre…
