AMOUREUSE DE MON BOURREAU
Chapitre 26
Tu m'as déçu...!
Je ne savais pas que tu étais aussi obsessionnelle au point de me dégoûter.
- Teyana et sa mère ont une violente dispute car celle-ci est derrière la séparation de Tevin avec sa fiancée
- Camille va battre la secrétaire de son mari soupçonnant celle-ci comme étant son amante
Je suis abasourdie par le comportement de ma mère, j'ai tellement honte d'admettre qu'elle m'a portée dans son ventre. Je la vois assise dans le salon, la tête baissée. Je l'applaudis.
Moi : Bravo.
Mégane : Pas aujourd'hui Tété.
Moi : Aujourd'hui Megane, car c'est maintenant que j'ai enfin vu qui tu es vraiment. Je ne savais pas que tu étais aussi obsessionnelle au point de me dégoûter.
Mégane :
Moi : Prends du champagne et célèbre ta victoire car ils ne sont plus ensemble. Elle l'a quitté, c'était ton souhait non ? Allez, trinquez et faites la fête. En réalité, tu es comme la marâtre de Mira, vous êtes pareilles. J'ai honte de toi, je n'aurais jamais pensé que ma mère puisse agir ainsi un jour, n'importe quoi.
Mégane : Écoute-moi ma fille.
Moi : Je ne suis plus ta fille, tu as fait du mal à mon frère.
Mégane : Je ne voulais pas en arriver là.
Moi : Mais tu y es arrivée, tu viens de détruire le bonheur de ton fils et de toute la famille.
Tévin : Merci beaucoup Megane, merci d'avoir rendu ma vie misérable, je te félicite, bravo.
Donald : Tu m'as déçu.
Mégane : Je voulais juste son bonheur.
Moi : Tais-toi. Son bonheur en le séparant de la femme qu'il aime. Va te réjouir car elle vient de le quitter et il est dévasté. Une mère est censée protéger ses enfants, donner sa vie pour leur bonheur. Une mère ne détruit pas la vie de ses enfants par égoïsme. Une mère est prête à tout pour voir un sourire sur le visage de ses enfants, mais tu es une honte pour toutes les mères qui...
Je reçois alors une gifle de ma mère.
Mégane : Je ne te permets pas.
Moi : Ça ne me surprend pas venant de toi. Il n'y a que la vérité qui blesse.
Mégane : M.. ma fille.
Moi : Je ne suis pas ta fille et désormais, oublie que tu as des enfants.
Sur ces mots, je sors de la maison avec mon frère.
Mikaël Pérou
Je ne sais pas trop quoi dire car en ce moment tout va bien dans ma vie. Ma femme est de retour et je l'aime tellement, même si nous avons mal commencé, je suis convaincu que nous finirons bien. Elle est si enfantine par moments et la grossesse lui va à ravir. Son ventre est légèrement arrondi et je ne me lasse jamais de le caresser et de discuter avec ma fille à venir, car oui, je veux une fille aussi belle que sa maman, avec ses yeux envoûtants.
Le seul inconvénient, ce sont les caprices de grossesse. Comment peut-elle me réveiller à 2 h du matin pour que je lui prépare des sushis, sérieusement ? Je sens que je ne vais pas avoir beaucoup de repos. Aujourd'hui, nous allons à la plage avec ma petite femme.
Moi : Bébé, dépêche-toi, non ?Elle : J'arrive, mon chéri, une minute, dit-elle depuis la chambre.
Je reste là à compter les heures, c'est ce qu'elle me dit depuis déjà 30 min. Je lève les yeux lorsque je la vois descendre les escaliers avec une robe transparente blanche qui laisse entrevoir son bikini rose très sexy mettant en valeur son petit ventre rebondi. Les cheveux attachés et un maquillage léger. Je suis complètement subjugué par elle et mon mini junior est déjà en éveil. Ça fait des mois que je n'ai pas fait l'amour, même après son retour, nous n'avons pas encore eu l'occasion. J'ai des craintes quant à nuire au bébé là-bas. Même si elle le réclame souvent à minuit, je cherche une façon de la convaincre de changer d'avis.
Elle : Je suis prête, dit-elle avec un sourire.
Moi : Euh, mon amour, et si on restait ici pour passer la journée dans la piscine ? Je ne pense pas qu'aller à la plage soit une bonne idée.
Elle : Non, tu m'avais promis la plage,dit-elle en boudant.
Moi : D'accord, mais si je me mets en colère sur quelqu'un là-bas, tu ne diras rien, n'est-ce pas ?
Elle : Pourquoi ? dit-elle en passant ses mains autour de mon cou et se rapprochant de moi.
Moi : Parce que je ne supporterais pas que les gens te regardent, surtout les hommes, dis-je en faisant la moue, mais elle ne change pas d'avis.
Elle : Pourtant, tu es mon mari et je t'ai choisi, dit-elle avant de capturer mes lèvres.
Elle n'a pas peur de prendre les devants.Nous nous embrassons pendant un moment avant de nous séparer.
Moi : Je t'aime.
Elle : D'accord.
Je me demande quand elle me dira aussi je t’aime. Je sais que j’ai mal agi, mais bon...
Le trajet se passe silencieusement. Nous venons d’arriver à la plage et nous nous installons sur le sable après avoir étalé un drap par terre. Elle enlève sa robe transparente et reste en bikini, je remarque déjà un individu la dévisager. Nous nous asseyons enfin et elle se love dans mes bras. Nous contemplons la mer alors que je caresse doucement son ventre.
Moi : Tu souhaites une fille ou un garçon ?
Elle : Peu importe ce que Dieu nous donnera, j'accepterai. Mais je voudrais qu'il ou elle ait tes yeux et soit aussi beau ou belle que toi.
Je lui dépose un baiser sur la tête.
Moi : Moi, j'aimerais une petite fille aussi mignonne que toi ma chérie.
Nous passons un agréable moment à la plage, à nous amuser comme des enfants, ce qui est normal après tout, j’ai une compagne qui a une âme d’enfant.
Toute la journée, j'ai ressenti une grande colère envers ceux qui la regardaient, et j'ai même frappé un idiot qui l'avait touchée à la taille. Ce crétin voulait l'embrasser de force pendant que j'allais lui chercher son déjeuner alors qu'elle s'amusait dans l'eau.
~Une semaine plus tard ~
Je me trouve actuellement dans mon bureau, débordé par les tâches à accomplir, et ma chère épouse me manque beaucoup depuis hier. Elle me boude car j'ai réagi brusquement envers l'homme qui l'a touchée et lui a crié dessus. Je ne sais pas comment me faire pardonner auprès d'elle. J'espère qu'elle ressent aussi de l'amour pour moi. Alors que je suis concentré sur mon ordinateur, mon téléphone sonne. C'est mon assistante personnelle qui m'informe qu'une femme est en train de se battre avec la secrétaire. Je me demande qui est cette folle cette fois. J'espère que ce n'est pas Rachida, sinon elle regrettera de m'avoir provoqué. En descendant pour voir ce qui se passe, je réalise qu'il s'agit de madame Pérou qui se battait avec la secrétaire, la courageuse Camille. Je les sépare et Camille se réfugie dans mes bras en larmes.
Moi : Que se passe-t-il ici ?
Secrétaire : Cette femme est arrivée brusquement en déclarant qu'elle est votre femme, alors j'ai dit que vous n'aviez pas de femme.
Moi : Calme-toi, ma chérie.
Camille : (d'une voix tremblante) Je la déteste.
Moi : Eh bien, elle dit vrai. Camille Smith Pérou est mon épouse, la mère de mes enfants. Je vous la présente. Personne ne manque de respect à ma femme. Et toi, Bernice, ne qualifie jamais ma femme de folle. Sinon, tu seras renvoyée.
Bernice : Oui, Monsieur, je suis désolée.
Elle ne jette pas un regard à la secrétaire, elle s'agrippe à moi. Je la soulève pour la faire entrer dans mon bureau, puis m'assois sur ma chaise. Elle a toujours le visage collé sur mon torse. Je la regarde. Je me demande combien de temps elle va mettre avant de parler.Je me concentre sur mon ordinateur. Je recherche un magasin pour elle. Elle sait faire des tresses, alors je vais créer sa petite entreprise. Elle va vendre des sacs de qualité, des mèches brésiliennes, des vêtements, du maquillage, etc. Cela fait plus de 20 minutes qu'elle n'a pas encore ouvert la bouche. Elle pense que je suis fâché contre elle, et elle a raison, je le suis un peu. Elle est enceinte et elle est la femme d'un homme riche. Elle devrait se comporter de manière plus mature et ne pas se battre comme une enfant. Elle aurait simplement dû m'appeler et je serais venu la chercher. Mais non, madame a préféré choisir le kung fu.
Elle relève la tête et me regarde avec des yeux désolés. Nous parvenons à communiquer par le langage des yeux.
Moi : D'accord, je te pardonne, mais la prochaine fois, je vais te donner une fessée, crois-moi, tu ne devrais pas te rabaisser à ce point.
Camille : Ouais, elle n'aurait pas dû m'appeler \"pute\".
Moi : D'accord, que veux-tu manger ?
Camille : Hmm, une soupe de cape bien épicée accompagnée de couscous.
Moi : D'accord, on la prépare à la maison ou on commande ?
Camille : On commande.
Je prends mon téléphone et passe la commande. Je pose mon téléphone, elle fixe mes lèvres, je sais qu'elle veut faire l'amour, mais je ne suis pas prêt. Je ne veux pas la traumatiser. Elle capture mes lèvres, nous nous embrassons un moment, je sens ses doigts me caresser la queue bien dure dans mon pantalon.
Moi : Que veux-tu ?
Camille : Que tu fasses l'amour.
Moi : Pas aujourd'hui, madame Pérou. Tu vas rester tranquille car j'ai beaucoup de choses à faire.
Elle boude en se levant sur moi, puis s'assoit sur la table du bureau, les jambes écartées devant moi. Je me demande pourquoi elle est venue ici sans culotte.
Moi : Arrête, ma puce.
Camille : Que dois-je faire ?
Moi : Si tu ne veux pas que je te fasse l'amour jusqu'à ce que tu ne puisses plus marcher pendant des jours, ferme les jambes.
Elle déglutit et ferme les jambes. Je l'embrasse passionnément avant de me concentrer sur les dossiers, tandis qu'elle n'arrête pas de me mater.