Sex party : épisode 23
Écrire ma passion

Épisode 23
Nb : interdite au moins de 🔞 ans
Ce dont je venais de voir était horrible.je ne pouvais jamais penser qu'il pouvait tomber aussi bas en plus un vieux de son état.
je me demandais bien si sa femme et ses enfants allaient se sentir si jamais ils tombaient sur ça.
comme ça pierre ne s'en voyait seulement pas en l'air avec des femmes mais également des hommes.
quel gâchi
j'avais en face de moi des preuves qu'il était bisexuel,cet homme venait de lui envoyer une photo d'eux dans la salle de bain entrain de se donner des baisers et là on voyait très clairement qu'il s'agissait de Pierre.
j'étais tombée sur le gros lot et je me disais que si Dieu l'avait permis que je vois c'était sûrement une porte d'ouverture pour moi.
j'avais prie des copies de ces images ainsi que conversations avant de redéposer son téléphone.
je regardais désormais cet homme qui était couché sur mon lit comme un animal,il me degoutait à un point où je ne saurais l'exprimer.
j'étais redescendu en bas pour prendre un verre question d'oublier ce que je venais de voir.
#Jim.
j'étais dévasté,en colère et surtout très déçu.
Audrey venait de me toucher où ça faisait le plus mal, elle s'était moquée de moi comme personne ne l'avait fait auparavant pas même Raissa.
j'étais assis à même le sol à ressasser ce qui venait de se passer chez elle ou que dis je chez cet homme.ça me faisait très mal que je ne m'empêchais pas de boire sans modération cette bouteille de vin.
tout compte fait, j'avais sûrement mal fait de l'aimer car depuis le début ça me faisait juste souffrir.
une femme que je croyais être mienne m'avait rejeté pour un vieillard qui pouvait avoir l'âge de son père
je comprenais maintenant Pourquoi elle ne voulait pas que je vienne là-bas, parcequ'elle était prise en charge par lui, j'avais été visiblement aveuglé pourtant tout était clair.
une femme qui disait travailler dans un bar ne pouvait pas se payer cet appartement dans ce quartier chic de la ville.Audrey était sans doute la pire de toutes.
alors que je me soulageais avec cette bouteille de vin,mon téléphone avait vibré dans ma poche.j'avais laissé sonner à croire qu'il s'agissait d'elle.
je ne voulais pas lui montrer ce côté brut de moi au téléphone et pour l'éviter, j'avais tout simplement ignorer.
~Le jour suivant~
. À mon réveil sur ce sol glacé où j'avais passé la nuit entière, j'avais de violents maux de tête qui m'empêchait même de voir clair.il fallut assez de force pour me lever de là et prendre un bain.
l'instant d'après, j'étais sur le point de sortir de ma douche pour m'habiller lorsqu'on avait frappé à la porte de ma chambre.très bizarre ça.
j'allais vérifier lorsqu'elle s'était ouverte presque sur mon nez ;il s'agissait d'Audrey.
j'avais plié le visage immédiatement avant de me mettre à ressasser tout ce qui s'était passé là-bas hier où sa sans me contrôler la première phrase était sortie de ma bouche :
_ moi : tu fais quoi ici pourtant ton vieux t'attend sûrement chez vous...et d'ailleurs même tu es entré comment chez moi jusqu'à te retrouver dans ma chambre ?
_ Audrey : enfet la porte était presque ouverte à mon arrivé alors que je m'apprêtais à sonner du coup je suis entrée mais stp bébé j'aimerais que tu m'écoutes a avant de me rejeter...
_ moi : tu veux encore me dire quoi pourtant tout était assez clair ? Audrey tu m'as déçu grave et je ne demanderai qu'une chose maintenant,que tu t'en ailles de chez moi...
_ Audrey : je n'irai nulle part du moins pas avant que tu ne m'écoutes Jim...on peut s'asseoir d'abord ?
j'étais resté debout à là regarder sans plus parler.je ne comprenais pas pourquoi j'étais autant faible devant elle.
elle m'avait prise par la main pour me tirer vers le lit où nous avions pris place.
_ Audrey : je sais qu'en ce moment tu te sens très mal et désemparé mais permet moi de tout te raconter même si ça n'effacera pas le mal causé.
_ moi : je t'écoute...
_ Audrey : j'ai même honte Jim mais sache une chose qui est vraie, c'est que je t'aime sincèrement et ne veux pas te perdre... voilà cet homme que tu as vu chez moi est celui qui a payé cette maison pour moi et qui...
Audrey commençait à me raconter toute l'histoire et voilà qu'à ce moment on frappait à ma porte.
elle s'était arrêtée net pour me demander si j'attendais une personne et après mûre réflexion j'avais hoché la tête comme pour lui dire non.
elle s'était proposé d'aller ouvrir le temps pour moi de m'habiller.j'avais accepté bien évidemment.
~ quelques minutes après~
je descends donc après avoir terminé et à ma grande surprise j'aperçois Audrey avec à ses côtés Raissa.
les deux me fixaient d'un air très étrange comme si je venais de tuer une personne.
mon cœur était immédiatement tombé dans mon ventre.
_ Audrey : tu ne fais pas les présentations chéri ?
_ moi : Humm Raissa tu fous quoi chez moi ?je t'ai dit quoi ?
_ Raissa : Jim si je suis toujours là c'est pour que tu assumes tes responsabilités...occupe toi de ton enfant...
j'avais très vite regardé Audrey qui faisait également pareil,son regard en disait très long.
_ Audrey : quand comptais tu me dire que tu attendais un enfant ?
_ moi : je n'attend aucun enfant et toi met toi dehors très vite sinon je risque te faire regretter quelque chose
_ Raissa : comment peux-tu être dur avec moi pourtant j'attends juste ton enfant Jim...si tu ne veux pas de lui dit le moi clairement et je m'en irais sur le champ.
la pétasse !!
elle voulait montrer une mauvaise image de moi à Audrey ce qui commençait à marcher comme sur des roulettes.
_ Audrey : vous les hommes tous pareils on dirait...
_ moi : je ne suis pas comme les autres et tu ferais mieux de m'écouter avant de dire des bêtises... Raissa va t'en de chez moi maintenant ou alors assume ce que je vais te faire...
Raissa était sortie de toute vitesse de chez moi en coulant les larmes.cette fille était sans doute le diable en personne.
après son départ,moi et Audrey étions entrés dans une dispute sans fin.elle me balançait des horreurs sur le visage pourtant je voulais l'expliquer.
ça m'a rendu très nerveux et sans me retenir,je lui avais balancer cette phrase au visage :
_ ne me juge plus jamais surtout que tu n'es pas parfaite, c'est pas moi qui couche avec des vieillards pourqu'ils prennent soin de moi ok ?.
elle n'avait plus parler et pour la deuxième fois, elle avait coulé quelques larmes avant de remonter en haut prendre son sac pour s'en aller.
sur le coup, j'avais commencé à avoir des regrets...
À suivre...