Littérature > Jeune adulte

Pouvoir de femme- Chapitre 11

Écrire est un art

21 août 2024 - 5 Minutes

Victoria 

J'avais attendu qu'il s'endorme pour fouiller la drogue. Je l'avais trouvé dans son tiroir puis, j’étais ressortie en douce.

Dans ma chambre, je la prenais avec plaisir. Elle me faisait du bien. Après l'avoir pris, je m’étais allongée.

Je repensais à la gamine insolente et son père. Je devais leur donner une leçon. Je devais aller récupérer ce qui me revenait.

J’avais les papiers de KINKE. J’étais l'héritière. Je m’étais endormie comme un bébé toute souriant. Je fis un rêve où j’avais énormément de pouvoir.

Je faisais absolument tout ce qui me passait par la tête, j’étais puissante. Les gens avaient peur de moi. J’étais heureuse de ma nouvelle vie.

J’étais avec Frida et Jason. La vie était belle. Tout à coup, j'avais du sang sur les mains. Je me réveillai brusquement.

Je pris une douche puis je m’apprêtai. EN descendant des escaliers, je tombai sur la gouvernante.  

NELLY : Madame, vous êtes magnifique.

MOI : Merci

NELLY : Vous sortez ?  

MOI : Oui j'ai des choses à faire.

NELLY : Mais vous devez vous rétablir.

MOI : Je le suis déjà. Si Monsieur me demande, dis-lui que j'arrive.

Je me rendis au domicile de KINKE. J'avais demandé à le voir. L'imbécile avait survécu.

Arthur m'avait dit qu’il était sur une chaise roulante et paralysé. Une infirmière vint avec lui au salon.

Lorsqu’il me vit, il agita les yeux ce qui me fit sourire.

MOI : Tu es pathétique. Qui aurait cru que tu finirais ainsi à cause de ta pu*te ? Je t’informe que ce soir, tu vas mourir donc profites encore de ta chaise roulante.

J’ouvris la porte pour m’en aller. Avant de la franchir, je lui avais dit :

MOI : Ton fils, celui que tu as eu avec Tatiana est en vie et c’est un homme extraordinaire.

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Je l'insultais et lui révélait mes plans après mon mort. Il voulait les larmes puis je suivis.

KINKE : Mon… Arthur…mon…fils

Je m’étais mise à rire. Il avait mouillé son pantalon. Je l’avais laissé en larme. Je m’étais rendue dans son club. C’était calme.

Il devait être fermé. La police pensait avoir pris tous les biens de KINKE mais elle s’était trompée. KINKE avait toute sa richesse aux Etats-Unis.

Il n'avait pas été mis en prison à cause de son handicap. Ça n'en valait pas la peine qu’on l'enferme.

La vie lui avait déjà puni. Je rentrais toute souriante. En allant dans ma chambre, je tombai nez à nez avec Arthur qui descendait des escaliers.

On s’était regardé sans dire un mot. Il y’avait une atmosphère étrange. Il avait brisé le silence en me demandant

ARHTUR : Où étais-tu ?

MOI : J’étais prendre de l’air.

ARHTUR : Je vois.

Je continuai ma route. Il m’arrêta le bras et m’avait dit que j’étais très belle puis il était parti. J’avais souri.

J’étais dans ma chambre couchée à sourire seule. Je repensais à mon rêve. J’avais bien apprécié le fait d’être riche et que tout le monde ait peur de moi.

Je suivis des pas et une porte qui se refermait puis de la musique. Sa chambre était juste à côté de la mienne.

Je ne savais pas pour quelle raison je pensais à notre nuit dernière.

Je revoyais son corps, je ressentais le désir de retourner dans ses bras, de ressentir sa chaleur.

Je me levai du lit, j'ouvris la porte pour le voir et je le vis placer prêt à toquer.

MOI : Arthur ? Que fais-tu là ?

Il ne m'avait pas répondu, il était entré et avait refermé derrière lui. Il se rapprocha dangereusement de moi.

J’étais vulnérable face à son regard. On s’était une fois de plus embrassé. En un rien de temps, on se retrouva en train de faire l'amour.

Je me sentais bien avec cet homme. Avec lui, c’est comme si j’étais avec Jason. Toute la nuit, nous nous étions point séparés.

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Lorsqu’il s'endormit, j'en avais profité pour appeler le tueur que j'avais engagé pour en finir avec KINKE.

D'une part, KINKE m’avait servi car il m'avait fait découvrir des lieux qu'il fréquentait et m'avait présenté comme étant celle-là qui le succédera.

J’étais soulagée. Enfin on entendra plus parler de ce vieux porc. À mon réveil, je vis Arthur me regarder avec un sourire magnifique.

Il était tellement beau que je n'avais pas résisté de faire encore l'amour avec lui.

Quelques minutes après, son téléphone sonna. Il décrocha. Il se leva brusquement.

MOI : Il j’ai un problème ?

ARHTUR : KINKE a été assassiné cette nuit.

Un léger sourire se traça sur mon visage. Il partit rapidement avec Noé. Je restai avec la gouvernante.

J'aimais bien cette femme. Elle me faisait penser à Lisa, la gouvernante de mon feu époux Bertrand.

D'ailleurs, je me demandais bien ce qu'elle était devenue ? Je m’étais apprêtée puis je me mis à table.

Je savourais mon petit déjeuner avec un sourire de victoire. Arthur m'avait appelé car il avait trouvé des papiers portant mon nom.

Et oui, j'avais fait exprès de laisser les papiers de KINKE chez lui dans son tiroir. Mon plan avait marché.

J’étais officiellement son héritière mais puisque la police avait pris ses biens, je ne pouvais pas les avoir.

Par contre ceux des Etats-Unis étaient tout à moi. Noé et Arthur étaient de retour. Nous avions parlé par rapport au sujet.

MOI : Maintenant que tout est terminé, qu'allez-vous faire ? Et Frida pourra revenir au pays ?

ARTHUR : Rien n'est terminé. Tu oublies le partenaire de KINKE qui avait séquestré Frida donc elle ne peut pas encore revenir. Il y'a aussi sa capricieuse de fille. Cette petite est une vraie peste. Il faut qu’on la kidnappe.

MOI : Pour en faire quoi ?

ARTHUR : Elle a été adoptée et elle doit à tout prix savoir dans quelle circonstance. Elle ne sait pas que c’est son père qui a assassiné sa grand-mère avec laquelle elle vivait.

MOI : Ah je comprends. Et tu penses qu'elle va te croire ?

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ARTHUR : J'ai des preuves grâce à Noé. Le jour qu'il avait commis l'acte, Noé avait tout filmé

MOI : Et que faisait-il là-bas ?

ARTHUR : Il rendait souvent service à la dame. Cet homme l'a assassiné juste parce qu'elle lui devait de l'argent. Ensuite, il a pris sa fille.

NOÉ : Lisa était une bonne femme. Je me fais de la peine de voir ce que Vitoria est devenue.

MOI : Quoi ?

Mais c’était impossible. Ça ne pouvait pas être ce que je pensais. Je ne croyais pas aux coïncidences.

La dame s'appelait Lisa exactement comme la gouvernante de Bertrand et la fille, victoria comme ma fille celle que j'avais reniée.

Je refusais de croire à ça. Je m’étais levée en tournant en rond les mains sur la tête.

ARTHUR : Morgana que se passe-t-il 

MORGANA : Mince pourquoi ça alors que tout se passait bien pour moi.

ARTHUR : Tu m’inquiètes. Dit moi ce qui ne va pas.

MORGANA : Victoria est ma fille.

Je leur avais raconté mon passé. Ils m'avaient dit qu'on doit être certains qu'il s'agit bien de ma fille.

Moi je savais qu'elle était. Je l’avais ressenti. Son visage m’était familier. Je n'avais besoin des autres preuves.

Même comme cela était le cas, ça n’allait pas impacter les plans que j’avais en tête. Je devais aller jusqu’au bout.

De plus, je ne l'ai jamais voulu cette enfant et cela allait continuer ainsi.

A suivre...

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