Pouvoir de femme- Chapitre 9
Écrire est un art.
Le fils aîné de KINKE
Il m’avait installé dans une chambre chez lui. Une femme entra et prit soin de moi jusqu’à ce que je m'endorme.
Le chant des oiseaux m'avait réveillé. J’avais légèrement mal. La même femme entra pour déposer un plateau.
Elle me demanda : « tu as trop mal ? » j'avais dit simplement « non » ensuite je demandai Arthur.
Elle m’avait dit qu’il était sorti très tôt. Elle se prénomme Nelly. Elle travaillait comme gouvernante chez Arthur juste en journée.
Elle est gentille avec moi. Lorsqu'elle repartit à ses occupations, je me levai pour aller aux toilettes.
En passant devant le miroir, je m’étais mirée puis, à repenser à tout ce qui s’était passé. Malgré mon état, je m’étais habillée puis j’étais allée dans la pièce où j’avais vu des armes.
Je pris une que je cachais immédiatement après avoir suivi la voix de Nelly.
NELLY : Madame, vous ne devez pas vous levez. Vous êtes encore faible.
MORGANA : Ça ira. J'ai besoin de sortir.
NELLY : Il n’en est pas question. Monsieur m'a demandé de veiller sur vous. Elle me raccompagna dans la chambre.
Dès qu’elle était partie, j'avais caché l'arme dans le tiroir qui se trouvait à côté.
J’avais mangé ce qu'elle m’avait apporté et pris les antibiotiques. Ça n'allait pas.
Je ressentais que quelque chose manquait. J'avais besoin de la cocaïne. Je roulais sur le lit.
Je croyais que je devais devenir folle. Je sortis de la chambre en courant pour fouiller le bureau d'Arthur si je pouvais en trouver.
Malheureusement pour moi, il y'avait rien. En voulant sortir, je tombai nez à nez avec Arthur.
ARTHUR : Que faites-vous là ?
MORGANA : Rien
ARTHUR : Comment ça rien ? Il entra dans son bureau et vit le désordre.
ARTHUR : Que cherchiez-vous ?
Je commençai à trembler. Je ne tenais plus sur mes jambes. Je m'agrippais sur lui en lui demandant de me donner un peu de cocaïne.
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Il demanda à Noé d'appeler le médecin. Je me mis à m’agiter. Il me porta jusqu’à ma chambre.
ARTHUR : Je ne veux pas vous ligoter alors, restez calme !
J’étais assise sur le lit pendant qu’il gardait un œil sur moi jusqu’à ce que le médecin arrive. Je me grattais le corps, je tirais ma chevelure.
Il vint m’arrêter. Je le suppliais de m'en donner un peu mais il avait refusé.
Pour qu’il cède, j’avais bondi sur lui pour l'embrasser même comme je n’étais pas certaine qu'il allait accepter.
À ma grande surprise, il me rendit mon baiser avec foudre comment s'il n’attendait que ça. Je ne voulus plus me détacher de lui.
Une personne toqua à la porte ce qui nous obligea à se détacher l'un à l’autre.
NOÉ : Monsieur, il est là.
MÉDECIN : Comment vas-tu cher ami ?
ARTHUR : Bien merci et toi ?
MÉDECIN : bien. C’est elle ?
ARTHUR : Oui.
MÉDECIN : Je vais l'examiner. Veillez nous laisser.
Je restai seule avec lui. Il m'examina pendant quelques minutes. Il sortit pour parler à Arthur. Je me précipitai pour suivre leur conversation.
MÉDECIN : Elle ne peut plus s'en passe. Le seul moyen est qui l’enferme pour un L’omniscient.
ARTHUR : Non je ne veux pas.
MÉDECIN : Ça se voit que tu tiens à cette femme mais pour son bien on doit le faire
ARTHUR : Je ne veux pas que ça se répète.
MÉDECIN : D'accord mais si tu changes d'avis, tu sais où me trouver.
Je répartis me coucher comme si de rien n’était. Il entra et m'avait dit qu'il devait s'absenter pour quelques heures.
J'avais hâte qu’il s'en aille car je devais sortir pour me procurer de ce dont j'avais besoin.
Je me rassurais qu'il soit bien partir avec Noé. Je pris mon arme et je sortis tout doucement de la maison.
Heureusement, le gardien n’était pas à son poste. Je sortis rapidement et je stoppai une voiture. Je savais que où je me rendais était dangereux mais je devais le faire.
Arrivée, je me dirigeai chez KINKE. Il ne pouvait jamais manquer de la drogue.
Comme d'habitude en journée, c’était vide mais je savais qu’à cette heure-là, le patron avait l'habitude de recevoir des clients.
J'arrivai devant son bureau, il était en pleine causerie.
Je n’attendis pas, je ne me cachai pas, j’étais entrée dans son bureau avec mon arme. Il était surpris de me voir.
KINKE : Ma chérie, quelle surprise ! J'ai cru que tu étais morte. Ça me fait plaisir de te revoir.
Il avait un sachet de cocaïne entre mains. Je lui avais exigé de m’en donner. Ce qu’il fit. Son client voulut s'enfuir, je n'avais pas hésité à tirer sur lui.
KINKE : Morgana qu'est ce qui se passe ? Je ne te reconnais plus. Tu as tué un pauvre homme sans défense.
MORGANA : Ferme-la ! Tu vas prendre tous tes papiers important et tu mettras mon nom dessus.
KINKE : Quoi ?
Je tirai une balle sur sa jambe. Il me supplia. Il prit les papiers dans son tiroir. Je mis l'arme sur sa tête.
Il mit mon nom partout et signa. Ensuite, je demandai des informations sur Jason mais il me répondit qu’il ne savait pas que son fils avait disparu.
Je mis une balle dans l’autre jambe. Il n’ira qu'il ne savait rien. Je mis encore au niveau des mains puis aux hanches.
Je pris de la drogue que je mis dans sa bouche et je l'injectai avec des seringues une forte dose. Je pris les papiers et la drogue je sortis de son bureau.
En refermant la porte, je me souviens qu’il était en vie. Je sortis de là. Plus loin, je pris un taxi qui me laissa chez Arthur.
Le gardien était en poste. Lorsqu’il me vit, il était effrayé.
GARDIEN : Madame, que faites-vous dehors ?
MORGANA : Je voulais prendre un peu d'air et m'acheter quelques petites friandises.
GARDIEN : D'accord mais pardon entrez vite avant que Monsieur ne revienne. Je ne veux pas les problèmes.
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Arrivée dans la chambre, je mis les papiers dans le tiroir. Je pris la poudre que je tirai. Cela me fit me sentir bien puis je gardai le reste.
Je m’étais couchée et endormie. Profondément endormie, je suivis les voix d’Arthur et Noé. Arthur avait l'air en colère.
Je n’avais pas très bien suivi puisqu’ils étaient en bas.
J'en avais encore envie alors, je pris encore de la drogue au point de m'oublier et là, la porte s'ouvrit et je tombai face à face avec Arthur et Noé.
J’étais là, avec de cette foutue poudre à la main. ARTHUR : Lâchez ça !
MORGANA : Sinon quoi ? Lorsqu’il voulut s’approcher, je sortis l'arme.
NOÉ : Ce n’est pas un jouet.
MORGANA : Je le sais bien
ARTHUR : Vous allez tirer sur moi pour de la poudre ? Demanda-t-il en avançant vers moi.
MORGANA : N'approchez pas. Je vais tirer.
ARTHUR : Allez-y.
Plus il avançait j'avais les larmes aux yeux jusqu’à ce qu'il me prit l’arme et la donna à Noé qui sortit avec. Il me calmait en me disant que tout ira bien.
J'avais envie de le croire car j’étais accro à cette chose et on devait trouver une solution pour me sortir de là.
Arthur m'avait beaucoup aidé et j’étais reconnaissante envers lui.
Dans ses bras je lui avais demandé « qui êtes-vous réellement ? Je pense que je mérite de le savoir. »
On se coucha face à face sur le lit puis il m'avait dit :
ARTHUR : mon vrai nom est Arthur KINKE.
A suivre...
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Chaque famille a un secret