AMOUREUSE DE MON BOURREAU
CHAPITRE 17
À LA PLAGE
Je te retrouverai toujours, où que tu choisisses de te cacher.
- Camille s'échappe des griffes de Mikaël
- Mikaël réussi à la retrouver après deux jours et la tabasse comme d'habitude jusqu'à ce qu'elle perde connaissance
En ce samedi, les couples se sont retrouvés à la plage pour profiter de la journée ensemble et renforcer leurs liens. À présent, ils se trouvent près de la piscine en train de discuter.
Horace : Oui, je sais que tu as faim.
Brayan : Voilà une aussi ici.
Horace : Pour elle, on peut comprendre, il y a deux bébés dans son ventre, mais celle-là un mais je ne peux pas respirer.
Tévin (regardant sa fiancée) : Vous parlez d'elle et celle-là avec sa grosse tête là.
Mira : Non mais sérieux là ? Vous nous insultez comme ça ?
Horace : Pourquoi, ma puce, je t’aime.
Anita : Le bébé, c’est nous qui l’avons mis dans notre ventre ?
Véro : Belle question.
Dylan : Toi, plus jamais tu vas tomber enceinte, crois-moi. Je me rappelle quand tu m’avais réveillée au milieu de la nuit en me demandant d’aller braquer une banque pour toi, car c’est ce que le bébé voulait.
Eux : QUOI ?
Dylan : La seule caprice que j’ai refusé.
Horace : Non, elle est pire que ma petite princesse.
Tévin : Mon frère, tu avais vu l'enfer, hein?
Dylan : Oui, moquez-vous.
Mira : Vernet, mon gâteau, où est-ce que ça ?
Horace : Dans le sac, ma puce.
Elle sort le gâteau, qu'elles dévorent entre femmes, pendant que les hommes, eux, buvaient de la tequila. La tequila est une boisson alcoolisée espagnole.
Mira : J'en veux un peu, mes amours.
Les hommes : NON, NON et NONNNNN.
Mira : Ils sont méchants comme ça.
Quelques minutes plus tard, ils apportent le déjeuner, avec toutes sortes de plats.
Mira : Humm, miam miam.
Eux : On sait que vous aviez tous faim à cause des bébés mais pardon, mangez doucement.
Pendant que les autres couples déjeunaient au bord de l'eau, Teyana entraîne Jeffrey dans une chambre de l'hôtel où se trouve un grand jacuzzi rempli d'eau et de pétales de roses.
Jeffrey : Bébé, qu'est-ce qu'on fait ici ?
Teyana (en nichant son visage dans son cou) : J'ai envie de te sentir en moi.
Jeffrey : Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, la dernière fois tu...
Teyana : Non, s'il te plaît bébé, fais-moi tienne et allons jusqu'au bout cette fois-ci.
Il se montre très entreprenant et entre dans le jacuzzi avant de l'embrasser passionnément, sa langue s'engageant dans sa bouche pendant qu'il lui caresse les fesses. Elle gémit doucement en réponse à ses gestes. Puis, il descend vers son cou pour lui laisser une marque, signe de sa possession. Entre les baisers et les caresses, il défait le nœud du bikini sexy qui dissimule sa poitrine. Dès qu'il les découvre, il les capture et les déguste avec gourmandise, alternant entre les deux. Elle ne peut s'empêcher de gémir en se blottissant contre son torse.
***Teyana
Je suis complètement excitée par ce qu'il me fait en ce moment. C'est si agréable, il adore mes seins. Je lui caresse son torse musclé et je prends en main son érection, que je caresse lentement en effectuant des mouvements de va-et-vient. Il se concentre sur mes seins qu'il mord, ce qui me fait pousser un gémissement de plaisir.
Moi : Oh… oui
Il glisse un doigt en moi après avoir retiré mon string. Je suis complètement mouillée et j'apprécie de plus en plus la vitesse à laquelle il me doigte. Quand je sens que je vais jouir, il retire ses doigts et me pénètre brusquement, je me demande comment il fait. Il reste immobile un moment puis commence à bouger doucement tout en m'embrassant. Ses coups de reins sont puissants et lents, à la fois doux et fermes. Je m'accroche à son cou, ressentant un peu de douleur mais surtout du plaisir. Il se place complètement entre mes jambes dans le jacuzzi et ses mouvements deviennent plus rapides.
Moi : Oh… J'adore bébé, plus vite…
Il intensifie ses mouvements et j'apprécie vraiment cela, c'est tellement agréable. Ses coups de reins sont puissants et sauvages, l'eau du jacuzzi atténuant la douleur. À chaque coup puissant, je plante mes ongles dans sa peau.
Lui : Tu es tellement excitante bébé.
Moi : accélère bébé, je te veux... j'aime ça.
Il augmente la cadence, sort brusquement et me plaque contre le mur de la salle, puis entre en moi et commence à me pénétrer avec vigueur.Je le griffe sur la cuisse tellement je le sens en moi, et il me mord le cou en retour. Il est sauvage et rapide, ses coups s'abattent sur ma chatte.
Moi : oh... c'est si bon, continue à me baiser plus fort.
Lui : oui, dit-il en me donnant un coup violent que je sens en profondeur.
Moi : oh putain, je t'adore mon cœur.
Lui : tu es si serrée et j'adore ça, ça me donne envie de te baiser encore plus fort et te montrer qui contrôle cette délicieuse chatte.
Moi : oui, plus fort... c'est ça..!
Il me soulève et instinctivement je passe mes jambes autour de sa taille. C'est dans cette position qu'il me baise avec vigueur. J'appuie sur le bas de son dos pour mieux le sentir en moi. Mes marques de griffures sont partout sur son dos et ses cuisses, témoins de tous les plaisirs que je ressens quand il me pénètre. Je sens qu'il approche de la jouissance et il accélère jusqu'à ce que nous venions ensemble. Il reste en moi un instant avant de se retirer et de capturer mes lèvres pour un baiser passionné. Après avoir pris une douche rapide, nous nous changeons et rejoignons les autres dans la chambre.Mira me murmure quelque chose à l'oreille.
Mira : le match était serré, hein, regarde ses cuisses et son dos, et regarde-toi.
Anita : Pauvre de toi ma belle, il ne t'a pas ratée vu ta démarche.
Je me sens honteuse, merde, elle n'arrête pas de se moquer de moi. Je lance un regard à mon homme. Son visage veut tout dire, les hommes aussi se moquent de lui.
Véro : Fais attention pour ne pas tomber enceinte vite, hein, car tu dois profiter de son pilon d’abord.
Moi : Haa, les filles, c'est gênant.
Clara : Nous sommes entre nous les filles, pas besoin d'être gênée.
Véro : Dans quel coin les plus risqué que vous avez déjà fait l'amour ?
Mira : À l'hôpital, on s'est fait prendre par l'aide-soignante et aussi dans les toilettes d'un restaurant et dans le parking.
Anita : Dans les toilettes d'un parc, ce jour-là les gens nous avaient insultées, lol, c'était trop génial.
Véro : Dans un restaurant plein de gens.
Nous : Quoi ?
Mira : Comment vous avez fait ?
Véro : Je suis rentrée sous la table, et j'ai défait sa braguette et fait sortir son bâton que j'ai immédiatement plongé dans la bouche. Quelques minutes plus tard, je suis sortie de sous la table et je suis venue m'asseoir sur lui et voilà.
Moi : Personne ne vous a attrapées ?
Véro : Personne, nous étions très discrèts. C'était vraiment intéressant.
Moi : Hum, et le sperme, comment vous avez géré ça ?
Véro : Il m'a essuyée avec sa veste.
Mira :AHhhhh
Nous sommes restées à discuter avant de rentrer chez nous .
***Camille Smith Pérou
Je me suis réveillée au milieu de la nuit, affamée. Une fois, il m'a appris à faire une omelette, alors je décide d'en faire. Je me rends dans la cuisine, prépare l'omelette, mais elle est trop salée, impossible à manger. Je quitte la cuisine en larmes, vraiment affamée.
... Pourquoi pleures-tu ?
Je me retourne et tombe sur Mikael.
Moi (le fixant) : Pour rien.
Je monte dans la chambre et m'allonge, incapable de dormir, je tourne en rond à cause de mon .
Mikael : Lève-toi, tu vas manger ceci.
Je me lève précipitamment, il y avait une boîte de pizza dans ses mains. Je la saisis de ses mains et commence à manger. Après avoir fini, je vais jeter la boîte de pizza, puis reviens me coucher.
Je me réveille le lendemain à cause des rayons du soleil qui me frappent le visage, il n'est pas là. Sûrement il est allé au travail. C'est le moment de m'échapper. Je fouille les tiroirs, prends de l'argent qui servira à louer un appartement et acheter de la nourriture, quelques vêtements, puis je quitte la maison discrètement. Dieu merci, je trouve rapidement une voiture qui me dépose à la gare. Je prends le train et vais dans un p'tit village où je trouve un appartement un peu confortable.
****
Cela fait trois jours que je suis ici, je ne sors presque pas. Je n'ai plus d'eau, je dois aller en chercher à quelques kilomètres d'ici. J'ouvre la porte et mon visage heurte quelque chose de dur. Je reconnais ce parfum, je relève la tête, ce n'est pas possible.
Moi : Mi...kael.
Mikael : en chair et en os
Il me bascule puis entre dans la maison .
Moi (effrayée): Je ...
Mikael( me coupant): pas mal ton appart, mais bon tu viens avec moi ma femme.
Moi ( pleurant ): non, je ne veux pas
Mikael (d'un ton ferme): je ne vais pas me répéter .
Moi : je ne veux pas. Tu vas encore me tabasser orbje ne suis pas ton tam-tam.
À peine ma phrase finie, je reçois deux gifles qui me font saigner de la bouche. Il commence à me frapper jusqu'à ce que je perde connaissance.
Je me réveille plus tard, enfermé dans la douche, chez lui. Je frappe à la porte en hurlant
Moi : STP OUVRE MOI, JE TE JURE QUE JE TE RESPECTERAI, JE FERAI TOUT CE QUE TU VEUX MIKE, OUVRE-MOI. J'AI FROID .
Tout ce que j'entends en retour sont ses moqueries. Mon Dieu, dans quoi me suis-je embarqué ?
DE L'AUTRE CÔTÉ
Nous voyons Aissatou couchée avec un jeune homme d'une vingtaine d'années.
Aissatou : tu es fantastique, mon amour, oui fais-moi l'amour.
C'était dégoûtant, après avoir fini, elle lui donne de l'argent.
M’a Aissatou : Ne t'inquiète pas mon chéri, ton visa est presque prêt.
Noël : Fais vite, je veux partir vivre en Europe.
M’a Aissatou : Oui, ne t'inquiète pas, bientôt on sera ensemble.
Elle embrasse le jeune homme avant d'aller prendre sa douche et de partir.
Noël( dans sa tête ): Vieille de Caracas, dépêche-toi, je vais quitter cet endroit. Si je suis avec toi, c'est pour l'argent que tu me donnes.
