Pouvoir de femme - Chapitre 8
La bonne lecture nourrit l'âme.
Mon héro
Je m’étais réveillée chez moi dans ma chambre. Comment avais-je fais pour arriver là ? Il y'avait une lettre sur mon lit.
Je l’ouvris, dessus était marquée « votre amie et les autres femmes sont en sécurité » c’était Arthur.
Cet homme était vraiment étrange. Il pouvait m'appeler où me faire un message pour le faire.
J'avais l'impression qu’il ne voulait pas me passer son numéro. Je le trouvais encore plus suspect. Je voulais quand même le remercier.
Il avait sauvé mon amie et moi aussi. Je me préparai et pris la direction de sa maison. En journée, elle était encore plus belle.
Le gardien m'avait reconnu et m’avait laissé entrer. J’entrai à l’intérieur en observant une fois de plus les tableaux.
Je me demandais bien qui pouvait être cette femme qui envahit sa demeure? Comme d'habitude, tout était calme.
Je montai dans sa chambre qui était ouverte, je le vis sur son lit coucher. Il était endormi. Il était beau et avait l'air inoffensif.
Je me rapprochai de plus près et là, il m'attrapa la main et me mit sur le lit avec une arme.
ARTHUR : Que faites-vous là ? Demanda-t-il
MORGANA : Euh… vous remerciez.
ARTHUR : C'est pour cela que vous débarquez dans ma chambre ainsi ? Et si j’avais tiré ? Apparemment vous aimez bien le danger.
MORGANA : Excusez-moi. Maintenant que vous savez que c’est moi, pouvez-vous me lâcher ?
On dirait qu'il ne m’écoutait pas. Il me regardait droit dans les yeux. J'insistais pour qu’il se dégage de moi mais rien à faire.
Puis tout à coup, il m'embrassa. Je ne comprenais pas. C’était quoi son problème de m'embrasser de la sorte ?
S'il avait l'intention depuis de me mettre dans son lit, il devait le faire dès la première nuit.
ARTHUR : Désolé, je me suis laissé emporter.
MORGANA : La prochaine fois que vous voulez m'embrasser, avisez-moi avant. ARTHUR : Vous avisez pour ?
MORGANA : Euh… et bien… bref… juste comme ça.
ARHTUR : Vous irez travailler ce soir ?
MORGANA : Bien-sûr sinon je suis morte.
ARTHUR : La fille a vu votre visage. Vous allez avoir de sérieux problèmes.
MORGANA : C’est vrai mais je n'ai pas le choix. Il y’a une chose. Comment avez-vous su qu'elle allait bientôt avoir 18ans ?
ARHTUR : Et les questions ont recommencé. Rentrez chez vous.
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Cet homme m’énervait parfois. Je sortis de sa maison en colère. Je me retournai en regardant vers l’étage, je le vis qui m’observait puis il referma sa fenêtre.
J’étais retournée à la maison. La solitude voulait me tuer. Frida n’était plus là et mon amour avait disparu.
Il me manquait beaucoup trop. Je suspectais son père et J’étais prête à tout faire pour le retrouver.
Devant la télévision à regarder les enquêteurs impossibles, mon téléphonique sonna. Le nom qui s'afficha m'avait donné la chair de poule
KINKE : Ma belle fleur, comment vas-tu ?
MORGANA : Bien monsieur.
KINKE : J'ai une surprise pour toi ce soir. Je t'attends à 19h.
MORGANA : Sans soucis Monsieur.
KINKE : J'aime lorsque tu es obéissante.
Je savais que j'allais passer un sale moment. Ce jour-là, le temps passait tellement vite que je vis 18h30.
J’étais allée rapidement me préparer. Mon patron détestait les retards. J'avais mis dans mon sac, un couteau.
Ça pouvait me servir. Devant ma maison, une voiture était garée.
Le chauffeur de Monsieur sortit et me dirigea vers l'arrière. Ensuite il monta à son tour et démarra.
Durant le trajet, je tremblais comme une feuille. Ce qui attira mon attention était la façon dont il me regardait à travers le rétroviseur.
Nous arrivâmes et il m'avait conduit au bureau. Le patron était assis confortable en sifflotant son verre de whisky.
Il vint vers moi et me tripota avec ses mains dégoûtantes.
KINKE : Tu ses bon. J'ai beaucoup de chance d'avoir aussi belle. Prend place.
MORGANA : Qu'est ce qui se passe Monsieur ?
KINKE : Relaxe. Pourquoi trembles-tu ?
MORGANA : Pour rien. Je veux juste savoir pourquoi vous m'avez fait venir à cette heure ?
KINKE : Que faisais-tu hier soir chez mon client ? Et qui est l'homme qui t'accompagnait ?
MORGANA : De quoi parlez-vous Monsieur ?
KINKE : Tu sais très bien de quoi je parle.
MORGANA : …
Il se leva et rodait autour de moi. Je ressentis une douleur au niveau des cheveux.
Il me les avait attrapé brutalement. Il avait jeté mon sac comme s'il savait que j'avais quelque chose à l'intérieur.
KINKE : Ne joue pas à ça avec moi. Je ne pouvais pas livrer Arthur. Non seulement il le connaissait mais grâce à lui, mon amie était en sécurité.
J'avais refusé de parler. Monsieur KINKE n'aimait pas lorsqu’on lui résistait. C’est avec des coups qu’il espérait me faire parler.
Nous avions fait près d'une heure de temps mais je n'avais toujours pas ouvert la bouche. Tout à coup, je vis la fille entrée avec son père.
--- C’est elle. En plus, elle m'a frappé avait-elle dit en m'indexant.
KINKE : Donc tu es forte au point de frapper sur des enfants ?
MORGANA : Ils avaient enfermé Frida. Je devais la sortir de là.
--- Je veux juste savoir qui est cet homme ? J'ai perdu quatre femmes à cause de lui lança le père de ma fille.
Il prit place en s'adressant à mon patron
--- KINKE je t'ai demandé cette femme mais tu as refusé.
KINKE : Non mon frère, ne t'en fait pas j'ai changé d'avis. D’ici quelques mois, elle sera à toi. Laisse-moi la préparer.
Mon Boss se foutait de lui. Il avait prévu faire une chirurgie à une autre femme pour me remplacer.
Je ne voulais rien dévoiler à cet homme car Frida m'avait averti que chez lui était bien pire.
Monsieur KINKE appela notre coach pour me chercher. Elle arriva à moins d’une minute. Elle me tira le bras et m’entraîna dans un véhicule.
Elle ne faisait que rire ce qui me faisait encore peur.
Lorsque je vis où on s’était arrêté, je voulus m’échapper mais les portières étaient fermées.
--- Où penses-tu aller ? Tu veux montrer que tu es maline et bien, on verra ça m'avait-elle dit en ricanant.
On sortit de la voiture. J'avais déjà coulé toutes les larmes de mon corps. Cet endroit horrible où ils m'avaient injecté de la cocaïne.
Je ne voulais plus avoir à faire à cette chose. J'implorais le Seigneur pour qu'il m'envoie un ange me sortir de cet enfer.
Elle m'amena dans la même salle. Il y'avait une grande table et une chaise placée là, elle me fit assoir et me ligota.
Je revivais le même scénario. Elle me posait les questions pour connaitre l'homme qui m'accompagnait.
J'avais décidé de ne pas livrer Arthur. Elle souriait en me disant « je voulais être gentille avec toi mais tu m'obliges à employer la manière forte. »
Elle ouvra la porte, deux hommes bien costauds entrèrent. Un avait une boite à main. Il l'ouvrit et m’injecta ce que je redoutais.
Le deuxième avait ouvert ma bouche pendant que mon coach me mit de la cocaïne avec de l'eau pour que je puisse l'avaler.
Je voyais flou, je ne bougeais plus. Je répétais d'une fois fine «Au secours » je la vis sortir et me laissant avec les deux hommes.
L'un d'eux m'avait porté et mit sur la table. Il m'avait déshabillé. À un moment, j'avais ressenti une grande douleur au niveau de mon vagin.
Il abusait de moi et le comble était que je ne pouvais plus bouger. Ils étaient en train de se marrer, ils n’avaient rien à faire de ce que je ressentais.
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Lorsqu’il eut terminé, je vis le deuxième enlevé son pantalon. C'était là que j’avais cru que je devais rendre l’âme.
Ce dernier m’avait sauvagement violé. Il avait tellement la rage qu’on aurait dit qu'il n'avait pas vu une femme depuis des siècles.
Lorsqu’il eut terminé, je le suivis dire : « elle est vraiment bonne. Si on pouvait nous apporter ce style tout le temps haha » la porte s'ouvrit, un homme s’avança vers eux.
Il avait l'air dérangé plus que les deux autres. Il avait une caméra à main.
Les deux autres lui avaient demandé de ne pas filmer car le patron l'avait interdit.
Il s’était énervé mais lorsqu’il se retournait vers moi, sa mine changea.
--- Ououhh comme elle est belle. Regardez son corps. Je vais me régaler.
Il vint vers moi.
Malgré mes blessures et le faite que je saignais déjà, il m'écarta les jambes et s’apprêta à s'introduire en moi lorsqu’on entendit des coups de feu.
Il reporta rapidement son pantalon. L'un alla ouvrit la porte pour voir ce qui se passait, j'avais entendu un coup de feu, ensuite un deuxième et enfin un troisième.
Des hommes qui disaient : « fouillez les autres pièces ! » un s’avança vers moi, je le vis me recouvrir avec sa veste. C’était lui, une fois de plus.
MORGANA : Vous ? Disais-je affaibli
ARTHUR : Shuttt… ne dites rien. Je vais vous sortir de là.
Il me prit dans ses bras un moment avant de me porter. Lorsqu’on sortait, partout étai inondé de cadavres, du sang, de la drogue.
Il y’avait toujours des coups de feu.
À l’extérieur, on entra dans le véhicule puis il avait dit :
ARTHUR : Noé allons-y. Ils vont s'occuper du reste.
NOÉ : Compris. Comment elle va ?
ARTHUR : Lorsque je la vois, je sais qu'elle va mal. Je ne laisserai plus personne lui faire de mal avait-il dit en me serrant dans ses bras.
Encore mes larmes qui coulaient. J’étais fatiguée de souffrir, de pleurer, qu’on vienne toujours à mon aide.
Cette fois-là, je n’allais pas me laisser faire. Mon Boss allait me payer tout ce qu’il m'avait fait même si pour ça, je devais devenir autre chose.
A SUIVRE…
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La vengeance est un plat qui se manger froid.