Littérature > Romance

AMOUREUSE DE MON BOURREAU

14 août 2024 - 5 Minutes

CHAPITRE 13

JE PEUX SAVOIR CE QU'IL SE PASSE ICI 

Je te fais confiance...!

***Brayan Lewis 
Nous voilà de retour de notre voyage et je dois avouer que le Bénin est un pays merveilleux, avec des habitants formidables. Je ne voulais pratiquement plus en partir, j'ai pu me reposer énormément pendant ces jours-là, même si Clara me fatigue beaucoup.
Nous sommes maintenant dans la chambre, elle s'est immédiatement endormie. Je la regarde dormir, son petit ventre me rend encore fou d'elle. Elle ouvre les yeux après une démi-heure .
Clara : Quoi ?
Moi : Tu es tellement mignonne, surtout quand tu dors.
Clara : Merci mon amour.
Je la soulève pour la cuisine, elle ne cesse de me fixer. Je la pose sur le plan de travail, me mets entre ses jambes et l'embrasse.
Moi : Madame Lewis, que veux-tu manger ?
Clara : Hum, je ne sais pas mon chéri.
Moi : D'accord, que penses-tu d'un repas italien ?
Clara : Hum, okay. Tu vas faire quoi comme plat ? 
Moi : Préparation d'osso-bucco à la Milanaise.
Clara : J'espère que ce sera délicieux, non ?
Moi : Tu vas adorer, ma chérie. 
Je vais vers le frigo pour sortir les ingrédients et commencer la cuisine, mais elle ne cesse de se plaindre.
Moi : Attends un peu, ma puce.
Clara : J'ai trop faim.
Je la comprends, avec deux bébés ce n'est pas facile. Je lui donne une pomme et elle commence à manger. En la regardant, je n'arrive pas à croire qu'elle est à moi, je l'aime tellement.
Moi : Voilà, tout est prêt, je vais dresser la table.
Clara : D'accord, bébé.
Après avoir mangé, elle ne cesse de demander encore et encore. J'ai rangé un peu le désordre et je suis retourné dans la chambre pour me rincer et me reposer. Alors que je savonne ma tête et commence à laver mes cheveux, je sens une main me caresser le dos.
Moi : Tu veux prendre une douche avec moi, ma chérie ?
Elle ne répond pas, je sens une de ses mains sur ma poitrine et l'autre me caresser. Puis elle m'embrasse, mais je remarque un goût différent. Je veux me rincer le visage mais la personne me pousse contre le mur et continue à m'embrasser. Au moment où je veux la repousser, j'entends la voix de ma femme.
Clara : Peux-tu me dire ce qui se passe ici ?

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  1. Rosa dit à Clara qu'elle couche avec Bryan son fiancé sous les ordres d'un homme dans l'ombre.
  2. Contre tout attente Clara défend son homme au lieu de croire la servante.
  3. Mira de son retour de voyage apprend que ses enfants sont chez son père, elle décide d'aller les chercher immédiatement ne faisant pas confiance à sa belle-mère qui l'a toujours maltraité 

Je me rince rapidement le visage et devinez quoi? C'est la servante, non mais Rosa, mais c'est quoi ce bordel? Je tire la serviette et l'enroule autour de ma taille. Clara entraîne Rosa par le bras pour la faire sortir de la chambre. Merde, mais c'est quoi ça? Je n'arrive pas à comprendre ce qui vient de se passer. Non, mais elle va penser que je la trompe. Je m'habille rapidement et sors de la chambre, je les trouve au salon. 
Clara : Je t'écoute, Rosa.
Rosa : Je suis désolée madame, mais Brayan et moi sortons ensemble depuis un bon moment.
 Moi : Non, mon amour, c'est faux.
Clara : Ah bon? Donc tu sors avec mon homme?
Rosa : Oui. Non mais cette fille est une menteuse.
Clara : Ok, va ramasser tes affaires et quitte ma maison. Remercie mon ventre sinon je t'aurais défiguré. Sors de ma maison avant que je ne complète sur les quatre gifles. Pour ton information, j'ai confiance en mon mari, jamais il ne me trompera et encore moins avec toi.
Quoi, elle me fait confiance à ce point? 
Rosa : Je ne peux pas, car je l'aime beaucoup.
Clara : SORS DE CHEZ MOI! 
Elle jette la fille dehors puis vient se blottir dans mes bras. 
Moi : Merci beaucoup mon amour, je croyais que tu allais me quitter.
Clara : Je le sais mon amour, je te fais confiance.  
Je la serre étroitement dans mes bras, mon amour pour elle s'intensifie encore plus chaque jour je crois.
MIRA SMITH MOREY
Mon mari prend soin de moi comme d'habitude. Nous rentrerons demain, les enfants nous manquent. Actuellement, nous sommes dans un restaurant. Une fille ne cesse de le regarder, ça m'agace.
Horace : Calme-toi ma chérie, elle ne fait que me regarder.
Moi : Je n'aime pas les regards qu'elle te lance.
Horace : Jalouse hier, jalouse aujourd'hui, jalouse demain, jalouse pour toujours.
Moi : Oui, moque-toi, vilain garçon. Bon, je vais aux toilettes.
Horace : D'accord ma puce.
Moi : Tu viens avec moi, Monsieur.
Horace : Mais pourquoi ?
Moi : Je ne vais pas te laisser seul ici, sachant que cette fille là-bas te fait de l'œil.
Horace : D'accord, allons-y, madame.
Nous sommes allés ensemble aux toilettes. J'y suis allée, et il me regardait avec amour.
Horace : J'ai hâte que ton ventre s'arrondisse, ma puce. Comme ça, les enfants et moi pourrons dessiner dessus.

Moi : Je t'aime tellement. Je termine en remontant mon string et en abaissant ma robe. 
Je voulais ouvrir la porte quand il m'a plaquée contre le mur. Il relève ma robe, déplace mon string sur le côté et me pénètre brusquement. Je mets la main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements.
Horace : Tu es tellement bonne, ma reine. 
Il me prend sans retenue, donnant des coups secs jusqu'à ce qu'il se vide en moi. Puis il prend un mouchoir pour nous nettoyer . Nous sortons, puis il règle l'addition et nous retournons à l'hôtel.
Moi : Tu ne te lasses jamais de moi ?
Horace : Non, ma puce. Vas-y prendre ta douche maintenant ! 
Je prends une douche et viens ensuite me coucher dans ses bras. Le lendemain, nous prenons l'avion. Ouf, je vais revoir mes enfants. En arrivant à la maison, je cours jusqu'au salon et retrouve ma belle-famille, mais où sont les enfants ?
Moi : Salut maman et papa, j'espère que je vous ai manqué ?
Eux : Oui, énormément ma belle. 
Ils me prennent dans leurs bras, je les aime tellement. Horace rejoint aussi ses parents pour les serrer dans ses bras.
Moi : Où sont les enfants ?
Donald : Ton père est venu les chercher pour passer la journée avec eux.
Moi : Quoi ? Non, non, il faut que j'aille les chercher.
Donald: Mais pour mquoi ?
Moi: Je ne fais pas confiance à ma belle-mère, elle est capable de faire du mal à mes enfants.
Diana: Mai..
Je l'empêche de finir sa phrase et me retrouve dans la voiture où Horace prend le volant. 
Horace: Calme-toi ma puce.
Moi: Non, je ne peux pas. Tu ne connais pas cette femme.
Nous sommes arrivés chez mon père, Dieu merci sa sorcière de femme n'est pas là.
Moi: Salut papa.
Je le prends dans mes bras, Davidson tend ses petits bras, je le soulève, Horace prend David. 
Moi:Vous m'avez manqué, mes petits lapins ?
Horace: Arrête d'appeler mes enfants lapins, c'est toi la lapine.
Moi: Ils sont trop mignons comme des lapins.
Nous sommes restés chez mon père jusqu'au soir avant de rentrer chez nous avec les enfants.