Chapitre 6
Écrire est un art
La disparition de Frida
Monsieur KINKE m’amena chez un de ses partenaires qui avait un bordel plus pire que le sien.
Lui il faisait la vente aux enchères des femelles. Ils nous présentèrent. Ensuite, il me confia à une femme qui avait l’allure d'un homme.
Elle me tint fermement le bras et m’amena dans une salle où je vis plusieurs femmes se droguer.
Elle me fit assoir, me lia les mains et les pieds. Elle aligna des seringues devant moi ainsi qu’une assiette de cocaïne.
Je pleurais car je savais ce qu'elle voulait me faire.
--- Pardon Madame ne faites pas ça supplia-je en essayant de me détacher.
--- Ferme-la ! Me cria-t-elle
Elle prit de la drogue et me la mit dans la bouche. Un homme vint me tenir la bouche bien ouverte.
Elle me la mit avec de l'eau. Je me sentais faible. Ensuite, elle me m’injecta un liquide. Je ressentais mon corps ailleurs.
C’est comme si je quittais le monde. Je ne bougeais plus. Seules les larmes coulaient. Elle me détacha.
Je ne tenais plus debout. Je m'écroulai comme un sac de patate. Lorsque je m'étais réveillée, je me trouvais chez moi.
J’étais encore faible. En ce moment-là, je ne voulais qu'une seule chose « La cocaïne » je ne savais pas où en trouver.
Je pris mon téléphone pour joindre Jason.
--- Jason…vient disais-je en tremblant.
--- Chérie ? Pourquoi parles-tu ainsi ?
--- Vient … vite.
--- Okay.
J'arrive.
Je me sentais très mal. Je m’étais mise à consommer la boisson que j’avais chez moi pour me calmer mais…
ça n'avait pas des effets. Quelques minutes, on sonna. Je savais que c’était Jason. J'ouvris la porte en bondissant sur lui tel un fauve.
--- Wow Je ne savais pas que tu voulais autant me voir ?
--- Tu en as ? Si oui j'en veux.
--- Quoi ?
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--- La cocaïne j'en ai besoin.
--- Quoi ?
Il entra en refermant derrière lui. Il me prit la main et on prit place sur le sofa. Je tremblais et j’avais une forte température.
Il me calma puis il s’éloigna de moi pour téléphoner. Je l’entendis dire : « vient c’est urgent »
Il revint vers moi et me prit dans ses bras. Pendant ce temps, je réclamais ce dont j'avais envie.
On sonna et il alla ouvrir. C’était un de ses amis avec qui je l'avais déjà vu. Un médecin. Il m'examina puis m’avait dit : « si tu consommes encore une seule fois cette chose, tu seras accro »
--- C’est mon père Franklin affirma Jason.
--- Wouai ton vieux là m'a déjà dépassé. Depuis il a Toujours le truc que je connais là ?
--- Oui.
--- Mince.
Ils avaient encore discuté. Il m’avait puis donné quelques médicaments puis était rentré. Revoir Jason m’avait fait du bien.
Malheureusement, je ne pouvais pas être avec lui. Je lui avais parlé du projet de son père aux États-Unis et du fait qu’il m'apprenait le travail pour que je suive ses traces.
Il était en colère. Il voulait parler à son père mais je l'avais convaincu de ne rien tenter car ma vie serait en danger.
J’avais passé la nuit dans ses bras…
j’étais heureuse pendant quelques heures. Très tôt à mon réveil, il n’était plus là. Je l'avais appelé mais son numéro ne passait pas.
J’étais certaine qu’il était allé chez son père. J'avais également appelé ce dernier, lui non plus ne prit son appareil.
Je me précipitai pour sortir de la maison lorsque j’aperçus une personne par la fenêtre de Frida.
Je courus pour frapper à sa porte mais personne n'ouvrit. Après instance, la porte s'ouvrit.
Frida était placée là avec un voile à la tête.
--- Depuis trois jours ? Ma copine où étais-tu ? Demandais-je paniquer
--- C’est une longue histoire.
--- Depuis quand tu mets les voiles ?
--- S'il te plaît je suis épuisée. Va-t'en Je connaissais bien mon amie et je savais que ça n'allait pas…
surtout que je savais qu’elle avait été vendue. Je lui retirai le voile de la tête. Ce que je vis me donna la chair de poule.
Son visage était enflé et elle avait une dent cassée. Elle fondit en larme en disant : « Morgana, c’est quoi cette vie ?
Je veux être libre » je la pris dans mes bras. À l’Intérieur, elle me raconta comment tout s’était déroulé pendant que j’étais en voyage aux États-Unis avec le patron.
--- Lorsque tu es partie avec Monsieur, il y'a un homme qui m'a choisi et m'a beaucoup aimé. Il avait conclu avec Monsieur mon transfert dans sa boîte. Il a offert une grosse somme. Monsieur a donc donné le feu vert à la secrétaire de me laisser partir avec lui. Morgana, chez Monsieur KINKE est mieux lança-t-elle en sanglots…
--- Attendant un peu. Tu veux dire que chez cet homme est pire que chez le boss ? Je suis allée hier où je pensais que c’était la dernière des tortures.
--- Oui. Chez lui c'est l’enfer. Il y'a aussi des hommes qu’ils maltraitent là bas. Eux, ils les obligent à manier des armes pour être des assassins.
--- Qui est cet homme ? Comment se prénomme-t-il ?
--- Aucune idée. On ne prononce jamais son nom ou prénom. Tout ce que je sais, c’est qu’il est Toujours accompagné d’une jeune fille.
--- Il faut qu’on te fasse sortir de là.
--- Mais comment ?
--- Ne t'en fait pas. Tu iras là-bas vers quelle heure ?
--- 20h30
--- Moi aussi c’est à cette heure que je me rends au travail. À 18h je serai là. Promis. Ne sort pas d'ici.
C’était hors de question que je laisse ma copine dans cet enfer.
Je me rendis au travail de Jason. On me fit comprendre qu'il n’était Jamais arrivé.
Chez lui, personne n'ouvrait. Je commençais sérieusement à m'inquiéter.
Je pris le chemin du bordel de Monsieur. En journée, c’était très calme...
Il y’avait presque personne mais il fallait être prudent. J’étais entrée pour voir le Boss. Arrivée devant son bureau, j'entendis des voix.
La voie de Monsieur KINKE et un autre homme discutaient d'un business puis je suivis mon prénom et pour plusieurs femmes qui étaient avec moi.
Monsieur KINKE avait prévu vendre plusieurs d'entre nous excepté moi. L'homme insistait… car il avait vu ma photo.
Le refus de Mon Boss le mit en colère et il le menaça de dévoiler son secret qu'il cache tant à tout le monde car si on l’apprenait, tous ses partenaires le laisseraient tomber.
J'entendis la voir d'une fille qui disait : « papa, je veux déjà rentrer » je retirai mes chaussures et me dirigeai en vitesse dehors.
Je m’étais cachée derrière une voiture. Je vis l'homme un homme assez âgé avec une fille environ 17ans très belle qui montaient dans une voiture.
Sûrement c’est de cet homme et cette fille que parlait Frida. Je retournai dans le bureau de Monsieur KINKE.
Je le suivis au téléphone qui disait : « je ne vendrai jamais Morgana. Trouve une femme pour lui faire une chirurgie.
Je t'envoie la photo de ma belle. Fait de cette femme exactement pareille » je ressentis une main à ma bouche.
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Cette fois, j’étais bien foutue. La personne m'avait traîné jusqu'à la voiture et une autre personne avait démarré.
Qui voyaisje ? Arthur !
--- Mais… que faisiez-vous chez mon boss ?
--- Ça ne vous regarde pas.
--- Ramenez-moi chez moi s'il vous plaît.
--- Comme vous voulez. Nos regards n’arrêtaient pas de se croiser mais personne n’osait placer un mot.
Je me posais trop de questions sur lui. Son chauffeur avait garé. Je me dirigeai vite chez Frida. Je trouvai la porte ouverte.
J'avais fouillé toute la maison. Lorsque je retournai au salon, je trouvai Arthur qui était face à la télévision et retira un objet juste à côté.
--- C’est quoi ça ? Demandais-je
--- Une caméra. Qui vit ici ?
--- Mon amie dont je vous ai parlé. Ce matin, nous étions ensemble maintenant elle a disparu.
--- Avez-vous parlé d'un sujet privé ou compliqué ?
--- Euh… oui je pense.
--- Cette caméra a tout filmé.
--- Non Frida. Aidez-moi à récupérer mon amie je vous en prie.
Il m'avait regardé d'un air étrange puis m'avait dit : « vous avez une allure étrange comparée à la nuit dernière et vos poignets ont des marques. »
C’était quoi son problème ? J’étais inquiète pour mon amie lui était là à me dévisager.
--- Ce n'est rien disais-je.
--- Rentrez chez vous. On se verra d'ici peu. Après ces paroles, il sortit.
Je suivis la voiture s’éloignée. Non seulement Jason était introuvable maintenant c’était le tour de Frida.
A SUIVRE…
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