AMOUREUSE DE MON BOURREAU
CHAPITRE 08: Tu me déçois
Je suis dans un grand pétrin.
***Teyana Musah
C'était tévin..
Tévin : TEYANA
Non pas ça. Il a le regard froid, les yeux rouges et glacés de sang. Oh non, j’suis morte. Ils se retournent, vu qu'il était avec sa copine le temps que Jeffrey et moi on s’habille, puis il se retourne.
Tévin : alors comme t’es qu’une pute en vrai.
Non, Tévin n’a pas dit ça de moi, pas devant eux tous.
Jeffrey : hey, C’est ma faute, je suis le plus âgé et c’était à moi de nous arrêter.
Tévin : ah bon ? Dit-il en lui donnant un coup de poing.
Jeffrey ne réagit pas.
Moi : je... suis... dé...sol...ée frérot, j...
Tévin : tais-toi sale pute, donc c’est comme ça que tu donnes au premier venu. Moi qui pensais que ma sœur était une sainte. Tu me déçois énormément.
Anita : calme-toi mon chéri, c’est l’amour qui nous pousse à faire des choses comme ça.
Moi : désolée mon frère, j...
Il sort de l'appartement et sa copine le suit. Je ne cesse de pleurer. Jeffrey s'approche de moi et s'agenouille près de moi . Il essuie mes larmes.
Jeffrey : Tu vois, c'est justement la raison pour laquelle nous ne devrions pas être ensemble. Je suis désolé, mais ça ne va pas fonctionner.
Moi : Mais... je t'aime, moi.
Jeffrey : Non, tu crois m'aimer, mais en réalité, tu es juste attiré par mon physique, tu te causeras du mal seulement si tu persistes .
Mes larmes continuent de couler. Pour une fois que j'aime quelqu'un, c'est impossible. Il m'embrasse sauvagement, comme si nos vies en dépendaient, puis se détache de moi et quitte l'appartement.
Je m'effondre par terre en pleurs. Je l'aime, bon sang, et je m'en fiche s'il est volage.J'envoie un message à Mira pour lui dire que je ne peux pas venir chez elle aujourd'hui, mais que je serai là demain. Je lance mon téléphone loin de moi, mes larmes redoublant.Pourquoi la vie est-elle si compliquée ? Je n'aime que lui, et le voilà qui m'aime puis me repousse.
***Mira Morey
Depuis hier, mon chéri est fâché contre moi, je sais qu'il ne peut pas me tromper avec elle, mais je n'arrête pas d'être jalouse. Bon, je ne fais que tourner dans mon lit, la grossesse me fatigue beaucoup. Je n'arrive pas à dormir les nuits comme des jours, et lui il dort. Je sors du lit et vais chercher un seau d'eau dans la douche, puis je reviens vers lui pour lui en verser dessus, il se réveille en sursaut.
Horace : MAIS C’EST QUOI TON PROBLÈME ??
Moi : sniff, tu arrives à dormir et moi non, pourtant c’est à cause de toi que je suis dans cet état.
Horace : mon Dieu Mira, j’ai fait quoi pour mériter ça ?
Moi : si je n’arrive pas à dormir, toi aussi tu ne dormiras pas.
Horace : TU ES FOLLE.
Il sort de la chambre, je m’assois par terre, en pleurant, je le déteste. Je me couche à terre, même le sol est glacé et ça n'arrange rien. Je me plie sur moi-même, je tremblais de froid quand j'ai senti une main me caresser le visage, puis me soulever. Je pose ma tête sur son torse et il marche avec moi, puis sort de la chambre. Il entre dans la chambre d’ami, puis me pose sur le lit, il revient se coucher auprès de moi.
Moi : merci mon amour.
Horace : ce n’est pas grave ma chérie.
Moi : je sais que je te mène la vie dure, mais ce n’est pas de ma faute.
Horace : je le sais maintenant dort.
Moi : merci beaucoup.
Il me serre dans ses bras jusqu’à ce que je m’endors. Je me suis réveillée par mon homme, il me ramène ma nourriture ainsi que mes médicaments que je prends.
Horace : bon comme tu as mouillé la chambre, j’ai déjà arrangé cela. Maintenant dans notre chambre, petite princesse.
Moi : hum merci beaucoup mon amour.
Il m’embrasse puis reprend le plateau puis ressort. Je descends du lit et vais à la cuisine, je le trouve en train de laver les assiettes.
Moi : laisse-moi t’aider mon amour.
Horace : non ma puce, assieds-toi, j’ai déjà fini.
Je m’assois et le regarde faire.
Moi : mon amour, j’accepte que les servantes reviennent.
Horace : vraiment ??
Moi : oui bébé.
Horace : et tes jalousies à casser pieds là ?? Moi : je vais essayer d’abandonner, mais pas totalement hein.
Horace : je savais.
Moi : Je te fais confiance, je sais que tu ne me tromperas jamais.
Horace : Je t'aime mon ange.
Après avoir fait la vaisselle, nous sommes allés prendre nos douches. Là-bas, il m'a plaquée contre les parois de la douche et sur notre lit.
Moi : Je t'aime mon amour.
Horace : Moi aussi bébé, allons à la piscine.
Moi : Non, je suis épuisé mon amour.
Il m'embrasse tendrement, je suis restée dans ses bras, il me caresse les cheveux, je le serre dans mes bras quand je l'ai senti en moi.
Moi : Ah mon amour, encore, j'adore. Il m'a prise dans toutes les positions, puis s'est déversé en moi. Il est allé prendre sa douche, puis est revenu. Il est entré dans le dressing et est revenu. Moi : Où vas-tu mon amour ?
Horace : Je vais déposer les enfants chez maman, je reviens. Je t'aime fort.Moi : Je t'aime mon cœur.
Il est venu m'embrasser, puis est sorti de la maison. Je suis allé prendre une douche et me suis assis dans le salon quand Teyana est rentrée, mais elle a quoi ?
Teyana : Je suis dans le pétrin, Mira...!
