GUERRE ENTRE SOEURS

CHAPITRE 10: C'est-à-dire impossible 

Je te ferai que du mal ...!

Michaël : Je suis prête à tout pour le prouver. 
Delrick : D'accord, que veux-tu maintenant ? 
Michaël : Je veux qu'elle vienne habiter avec moi, et après la naissance de notre enfant, nous nous marierons. 
Adriana : Tu peux toujours rêver, jamais ça n'arrivera. dit-elle en s'asseyant. 
Delrick : D'accord mec, je vais en parler à mes frères et à notre mère. S'ils acceptent, je ne pourrai rien y faire. Mais un conseil, l'alcool ne résout pas les problèmes, au contraire, regardez où cela vous a conduits aujourd'hui. Tu as l'air d'être un homme bien alors j'ai envie de te faire confiance.
Julie : En plus, tu es tellement beau. Dit-elle en souriant, mais son sourire disparaît sous le regard de Delrick, qui a l'air énervé à l'entente de cette phrase. 
Delrick : Dans deux jours, je t'appellerai. Donne-moi ton numéro. 
Michaël : Bon, je vais y aller. Bonne nuit ma chérie, prends soin de notre bébé. Je sais que c'est nouveau pour toi, mais tu vas t'y habituer. dit-il en partant. 
En sortant de l'appartement, il monte dans sa voiture où se trouvent son frère et sa mère. 
Angela : Alors ? 
Michaël : Votre stupide plan a fonctionné, son frère dit qu'il va réfléchir. 
Jordan : J'aurais tellement voulu être là pour te voir jouer l'amoureux. 
Michaël : Maman, parle à ton idiot de fils.
Angela : Calmez-vous, et toi, Jordan, arrête. J'ai hâte de rencontrer ma belle-fille.  
Michaël : Maman, elle ne sera jamais ma femme, tu comprends ??  
Angela : D'accord, dit-elle, mais au fond d'elle, elle pense \"c'est ce qu'on verra\".  
Jordan : Bon, papa, et Alma rentre bientôt ?  
Angela : Ah, ma fille m'a tellement manqué.  
Jordan : Dis plutôt que ton mari t'a manqué au lieu de nous tromper ici.  Angela : Viens là, dit-elle en lui tirant les oreilles.  
Jordan : Aïe aïe aïe, maman, arrête, tu me fais mal.  
Michaël ne cesse de les regarder à travers le rétroviseur tout en conduisant.  
Jordan : En fait, elle vient chez toi quand ?  Michaël : Dans deux jours.  

Tard dans la nuit, pendant que Adriana dormait, Julie se réveille pour aller boire de l'eau. En entrant dans la cuisine, elle crie en voyant une silhouette, surtout qu'ils avaient regardé un film d'horreur plus tôt. Il s'agissait de Del. Celui-ci s'approche d'elle et lui ferme la bouche pour éviter qu'elle ne réveille Adriana avec ses cris.  
Julie : Hum hum, dit-elle en se débattant, mais il ne la relâche pas.
Puis il allume la lumière avant de relâcher sa bouche.
Elle se retourna et vit que c'était Delrick.
Julie : Tu m'as vraiment fait peur !
Delrick : C'est compréhensible, tu avais peur d'un vampire.
Julie : Oh, pas du tout, mon pote.
Delrick : Alors, pourquoi as-tu profité de l'occasion pour me serrer dans tes bras ?
Julie : N-non, je... je suis juste venue chercher de l'eau, dit-elle en se retournant pour prendre de l'eau.
Il ne put s'empêcher de contempler son derrière bien rebondi dans ce pyjama. En buvant, elle en renversa quelques gouttes sur son haut, le collant à sa peau et laissant entrevoir le bout de ses seins. Quand elle se retourna, Delrick ne put s'empêcher de la dévorer des yeux avec envie.
Julie : Bon, je vais y aller, dit-elle en passant près de lui.
Delrick : Et zut, dit-il en la tournant par le bras pour capturer ses lèvres et l'embrasser sauvagement. Il l'embrassa avec passion et fougue, elle eut du mal à suivre son rythme mais essaya de s'adapter tout en répondant à son baiser.
Julie : Mmm... je..., dit-elle contre ses lèvres.
Delrick: \"chut\" dit-il en la soulevant, puis elle entoure ses jambes autour de sa taille. Il la pose sur le plan de travail et revient vers ses lèvres avec voracité. Elle répond passionnément au baiser, et les deux s'embrassent avec passion. Sa main droite commence les caresses, faisant gémir la jeune femme malgré elle. Soudain, il déchire son haut pour libérer ses seins, dont il prend un en bouche pour sucer tout en les mordant parfois, pressant l'autre avec vigueur. La jeune fille gémit involontairement. Il abandonne ses seins pour son cou, lui laissant une marque de suçon à cause de la pression de ses dents. De retour sur ses lèvres, qu'il dévore tout en pressant fermement ses deux seins bien ronds et fermes. Pendant ce temps, elle continue de lui caresser le dos en émettant de petits gémissements. Il glisse sa main dans sa culotte, et sans prévenir, il enfonce un doigt en elle, lui arrachant un cri de douleur. 


Julie : « AÏE AÏE » dit-elle.  
Delrick : « Tu me rends fou », dit-il en l’embrassant tout en la doigtant fortement. 
Elle gémit de douleur et essaie de le repousser, car il commence à lui faire mal avec son doigt, mais il continue de plus belle en lui pressant les seins fortement. Elle décide de le repousser vigoureusement.  
Julie : « Non, pas comme ça », dit-elle en larmes, puis descend de la table pour courir dans la chambre, les seins en l'air.  Delrick se passe nerveusement la main sur le visage avant de donner un coup dans le mur.  
Delrick : « Merde, qu'est-ce que j'ai fait. Putain, je lui ai fait mal. Ahhhhhhh », crie-t-il, pendant que la jeune femme pleurait sous la douche en se remémorant ce qui s'était passé et la manière dont il lui faisait toutes ces choses…  
Julie : « Pourquoi ne pouvait-il pas y aller doucement avec moi ? Je veux le détester vu la manière dont il me traite, mais mon putain de cœur, lui, l'aime. »

Le lendemain matin autour de 6 heures, pendant que tout le monde dormait encore, Julie se lève, prend ses clés et se dirige vers sa maison. Elle avait pleuré toute la nuit. En rentrant chez elle, elle se rend directement dans la salle de bain pour prendre un bain. Vers 8 heures, Delrick se réveille, se lave puis se rend dans la chambre d'Adriana pour la réveiller avec Julie, mais il ne trouve pas Julie nulle part. Il vérifie les autres pièces, mais en vain. En se rendant au garage pour vérifier sa voiture, il réalise qu'elle est partie. Il se blâme pour cela. Delrick décide de l'appeler, mais Julie laisse son téléphone sonner sans répondre. Il tente de lui écrire un message, auquel elle a apparemment jeté un coup d'œil. Après un deuxième message resté sans réponse, il s'excuse dans ses messages, mais Julie lit sans répondre et finit par éteindre son téléphone. 
Delrick est un peu troublé par son comportement, alors il décide de préparer le p’tit dej de sa sœur avant d’aller chez Julie pour voir si tout va bien. Une heure plus tard, il a fini puis écrit une note qu’il pose sur la table pour sa sœur qui dort. Il se change puis sort pour grimper dans sa voiture et se dirige chez Julie. Au bout d’une heure, il arrive puis demande à la voir. Mais la servante dit que Julie n’est pas là sur recommandation de celle-ci.
Delrick : Ses parents sont là ??
Servante : Non, ils sont en voyage.
Delrick : Parfait, dit-il en montant vers la chambre de celle-ci…
Il ouvre la porte ..
Julie : J’ai dit que je ne voulais voir personne, dit-elle en étant sous la couverture.
Delrick : Même moi ??
Elle se lève en sursaut sur le lit en entendant cette voix.
Julie : Tu fous quoi chez moi toi, dit-elle énervée.
Delrick : Je suis désolé pour hier.
Julie : Ok, je peux te poser une question ??
Delrick : Vas-y.
Julie : Pourquoi tu me traites ainsi, pourquoi ce comportement envers moi ?? 
Delrick : Pour te protéger de moi, je ne veux pas que tu souffres, tu comprends petite. Avec moi, tu subiras mes vieux démons intérieurs. Je n'arrive pas à contrôler ma jalousie et ma bestialité au lit. Je ne veux pas te faire de mal avec ma manière d’être, dit-il en s’approchant d'elle.
Julie : Mais tu ne me feras pas de mal...
Delrick : Écoute, tu mérites mieux que moi, quelqu’un qui te rendra heureuse et non quelqu’un de toxique comme moi, dit-il tristement.
Julie : Tu n'es pas toxique, dit-elle en lui caressant la joue et en le regardant dans les yeux. Celui-ci prend sa main qu’il embrasse. 
Delrick : Bon, j'y vais.
Julie : Et si tu suivais une thérapie pour guérir ?
Delrick : J'y réfléchirai. Bon, eh bien, je vais y aller.
Julie : Delrick...
Delrick : Oui, petite puce ?
Julie : Je t'aime. 
Pour toute réponse, il capture ses lèvres pour un bref baiser puis s'en va sous le regard amoureux de Julie.