Littérature > Jeune adulte

Chapitre 4

Écrire est un art

7 août 2024 - 6 Minutes

Une vie de merde

Effectivement, j’étais devenue la propriété de Monsieur KINKE. Il ne me vendait pas à n'importe qui. Il m’envoyait chez des clients extrêmement riches.

Parfois, il voyageait avec pour les Etats-Unis et la Colombie. J’étais maltraitée non seulement par ces pervers mais aussi par mon patron.

Frida culpabilisait car elle disait que si je me retrouvais dans cette situation, c’est de sa faute.

Non moi je ne pensais pas ainsi, elle m’avait prévenu mais j'en avais fait qu’à ma tête. Et Jason qui n’arrêtait pas de tourner autour de moi.

Il m’énervait franchement, avec tout ce que je subissais, il fallait qu'il en rajoute. Je venais de rentrer d'un voyage avec mon patron.

J’étais encore couchée mais une personne insista sur la sonnette. Je partis ouvrir très en colère. Qui avais-je vu ? Jason.

MORGANA : Que veux-tu ?

JASON : Que tu arrêtes ce que tu fais.

MORGANA : Fiche moi la paix. En voulant refermer la porte, il m'en empêcha et entra en refermant derrière lui.

MORGANA : Sors de chez moi.

JASON : Tu es très insolente. Je ne sais pas ce qui m'attire chez toi.

MORGANA : Tu oses venir chez moi m'insulter ? Je voulus lui donner une bonne gifle mais il arrêta mon bras.

J'eus mal alors qu'il ne l’a pas serré. La douleur était atroce.

JASON : Qu'est ce qui se passe ?

MORGANA : Rien. Sort !

JASON : Montre-moi ça.

Je m’éloignais de lui en courant, il me rattrapa, me prit par les hanches et souleva la manche de ma robe de chambre et vit des bleus. Il me regarda.

Ensuite il déchira ma robe. Il resta figer sur moi car mon corps était marqué de fouet.

J’étais place en me recouvrant à moitié le corps en larme comme une fillette.

JASON : Morgana ! C'est mon père qui te fait ça ?

MORGANA : …….

Il avança vers moi, me recouvra et me prit dans ses bras. Je fondis en larme en le serrant fort contre moi.

MORGANA : Ton père… est…un…monstre.

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JASON : Je le sais. Calme-toi s'il te plaît.

Il me porta jusqu’à ma chambre et me déposa sur mon lit. Il tourna le dos mais je l’arrêtai le bras.

MORGANA : Ne pars pas.

JASON : Ne t'en fais pas je suis là disait-il en me caressant le front.

Il me prit contre moi pour m’embrasser. On fit l’amour. Il savait comment me faire l'amour.

Il me respectait malgré le travail que j’effectuais. Il faisait attention aux marques que j'avais sur le corps.

Il m'avait promis de me sortir de là mais la relation avec son père était de plus en plus pire et s’était de ma faute car il voulait que Monsieur KINKE me donne ma liberté.

On avait une relation amoureuse. Je lui avais demandé que cela reste secret.

Un jour alors que je faisais les courses avec Frida, une voiture gara devant nous, un homme sortit et m'obligea de monter sans résister.

Je le fis sans discuter car il nous avait montré son armé qui était enfouis dans sa veste. Il avait garé devant la demeure de mon boss.

Je commençais à trembler. Il m'avait escorté jusqu’au près du patron.

KINKE : bienvenue très chère. Prenez place.

À chaque fois que j’étais face à cet homme, je ressentais une peur terrible.

KINKE : Tu penses que mon fils et toi êtes trop bien cachés ?

MORGANA : De quoi parlez-vous monsieur ?

KINKE : Ne joue pas à ça avec moi. Écoute-moi très bien. Tu vas te séparer de lui pour de bon.

Le jour que je vous vois encore ensemble, je vais te tuer. J'avais oublié que cet homme était puissant.

Comment avais-je pu croire qu’on devait vivre notre relation sans qu'il ne le sache un jour ?

Il me fit ce qu’il aimait bien me faire (abuser de moi) avant qu'il ne me libère.

Je rentrais chez moi en larme. J'avais trouvé pleins d'appel en absence de Jason. Le connaissant, si je ne lui faisais pas signe de vie, il n'allait pas être en paix.

Alors. Je prie mon téléphone pour le rassurer. 

MORGANA : Allô

JASON : Où étais-tu ? Je t'ai appelé mais tu ne décrochais pas. Tout va bien ?

MORGANA : Il faut qu’on parle.

JASON : sans soucis. Bientôt ça sera ma pause. Je vais passer te voir.

MORGANA : Ok. Je t'attends.

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Il n'avait pas mis du temps à arriver. Il est du genre à courir à chaque fois que j'ai besoin de lui.

Il était là avec une boîte de chocolat et une bouteille de vin. On fit une fois de plus l’amour. Je savais que c’était la dernière fois entre nous.

J'avais enfilé une robe puis je prie place au salon avec mon verre de vin à main. Quelques minutes après, il vint me rejoindre.

JASON : Mon amour. Tu es si belle me disait-il en me donnant des baisers au niveau du cou.

MORGANA : merci Chéri. Tu es aussi très bel homme.

On s'embrassa. Quelques minutes après, je lui avais dit :

MORGANA : Il faut qu'on parle.

JASON : Je t’écoute MORGANA : On doit arrêter.

JASON : Je ne comprends pas bb. Arrêtez quoi ? Me demanda-t-il toujours en me donnant des baisers.

MORGANA : La relation.

Il me lâcha brusquement et me fixa. Je suis une femme très directe qui n'a pas peur de dire réellement les choses.

J'ai toujours été ainsi. Je ne voulais pas tourner autour de la table pour lui annoncer la nouvelle.

Je savais que cette nouvelle devait le chambouler mais j’étais obligée. C’était soit notre relation soit ma vie.

JASON : Nous ne sommes pas le premier avril Aujourd’hui. C’est quoi cette blague ?

MORGANA : Ce n'est pas une blague.

JASON : Et tu me le dis si froide alors que nous venons à peine de faire l'amour ? Quelles sont tes raisons ? Qu'ai-je fait qui t'a déplu ?

MORGANA : Tu n'as rien fait. C’est ma décision.

JASON : Mon père ! C’est lui n'est-ce pas ?

MORGANA : ….

JASON : Morgana !

MORGANA : Ce n’est pas lui. Écoute sort maintenant de chez moi !

JASON : Quoi ? Je rêve ?

J’étais restée silencieuse face à toutes ses questions. Il s’était levé, dirigé vers la chambre.

Après quelques minutes, il prit la porte et la claqua. Je me mis à pleurer.

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C’était quoi cette vie que j'avais choisie ? Qui m'avait envoyé ? Si je savais je me contentais de ce que Frida me donnait mais il a fallu que j'aille chercher loin.

Je m’étais endormie avec tous ces regrets. Lorsque j'ouvris les yeux, je vis deux hommes m'embarquer de chez moi jusqu’à une voiture.

KINKE : Ma chérie ravie de te revoir.

MORGANA : Monsieur, mais que faites-vous là ?

KINKE : Je suis venu te chercher car tu m'accompagnes en voyage.

Nous avions pris un de ses jets privés.

Durant le voyage, il était très content car il avait reçu la visite de Jason qui était convaincu que j'avais mis un terme à la relation à cause de son père.

Monsieur KINKE était un être insupportable, amère, pervers. Je le détestais et je ne souhaitais que le pire pour lui.

Nous arrivâmes au États-Unis dans un quartier très chic. On prit la direction d'un restaurant.

Nous prîmes ensuite un bon dîner puis il me prit la main. Nous étions entrés dans une pièce que je croyais être une chambre ou un bureau mais non ! C’était en fait une salle qui conduisait vers un sous-sol.

Ce que je vis là-bas m'avait glacé le sang. Des femmes sur des tables en pleine opération. Pas des opérations comme des autres.

Elles étaient ouvertes pour introduire de la drogue en elles et ensuite refermer.

D'autres étaient là à attendre leur tour. Elles avaient peur et me demandaient de l'aide à travers leur regard mais que pouvais-je bien faire ? Rien. Moi aussi j’étais une victime.

Monsieur KINKE voulait que je suive ses traces. Il me montrait comment marche le trafic et le reste…

ça ne m’intéressait pas car je voyais des pauvres femmes enlevées et exploitées. J'avais les larmes aux yeux en voyant ces horreurs.

Nous avions fait deux jours aux USA. Croyez-moi, c’était un désastre pour moi. Mon boss m'amenait dans des lieux terrifiants.

J'avais peur, je voulais Jason près de moi. Il m'avait conduit dans un endroit où plusieurs recherchés par les autorités se réfugiaient.

Ils avaient pour boulot de kidnapper les enfants pour recueillir des organes et de les vendre.

Je pensais que mon patron faisait juste dans le trafic de la drogue mais je m’étais trompée.

Il faisait encore bien pire que ça.

A SUIVRE…

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