Chapitre 21

Fais-moi câlin.....

Max a Yop !!!

L'instant d'après, il m'a questionné voyant ma mine étrange.
Max:  Tout va bien ? 
Moi: Oui !
Dis-je  en relevant la tête pour lui sourire.
Les mâchoires serrées, il a posé ses mains de chaque côté de mon visage et l'a incliné en arrière. Sans attendre plus longtemps, il a capturé ma bouche à nouveau d'un baiser sauvage et presque violent. 

Je m'entendais fondre un soupir contre sa bouche qui m'embrassait avec avidité. Un désir indescriptible m'a envahit alors que ses lèvres exigeantes dévoraient les miennes avec une redoutable impatience. C'était comme s'il ne pouvait plus retenir la bête qui avait attendu trop longtemps.

Il s'est écarté brusquement en tenant toujours ma tête entre ses mains et j'ai ouvert doucement les yeux. Ce que j'ai vu m'a tétanisé jusqu'au sang parce qu'il affichait une expression vorace et assoiffée. 

Il a pressé ses pouces sur mes joues et a posé à nouveau ses lèvres contre les miennes...allant chercher à mêler sa langue à la mienne pour intensifier ce baiser fougueux et impérieux.
Jamais ô grand jamais un homme ne m'avais embrassé d'une telle façon et chaque pression exercée sur ma bouche se répercutait dans tout mon corps.

Il s'est écarté à nouveau, et a lâché mon visage pour déboutonner sa chemise qu'il a fait tomber par terre sans me  laisser le temps de me préparer mentalement. 

Par la suite, il m'a soulevé et m'a conduit dans sa chambre où il m'a étalé sur le lit. L'instant d'après, il a ôté ma robe dévoilant mon corps sous ses yeux remplis de désir.

Une vague brûlante s'est mise à m'envahir alors qu'il respirait par saccade, s'attardant sur mon corps nu. Un regard indescriptible tant le désir était brutal.

#Max
Je n'avais plus le contrôle, et sentais mon corps et mon esprit fléchir à la même vitesse pour laisser place au véritable Max Ngatchi qui voulait cette jeune femme jusqu'à l'âme. Son corps sublime m'était enfin révélé et il était tel que je l'avais imaginé. Un corps crémeux aux formes voluptueuses et des seins aux rondeurs parfaites. 
Elle s'est enfermée dans une timidité qui renforçait sans vouloir sa beauté captivante et plus je la regardais, plus je voulais la posséder férocement.

De plus, elle était si petite contrairement aux autres femmes que j'avais l'habitude de fréquenter que je me suis surpris à aimer ça à un point tel que je fus envahi de fantasmes inavouables.
Un feu s'est mis à grandir en moi et j'avais l'impression que chaque partie de mon corps était en train de brûler.
Moi: Ne te cache jamais de moi, dis-je avec un désir presque rageur.

Ayant remarqué qu'elle essayait de camoufler son visage.
__  Tu es magnifique, tu es entièrement magnifique.
Elle a lâché un petit soupir tremblant.
Je ne m'étais jamais senti aussi proche de perdre tout contrôle alors que je la soulevais sans effort et la posais sur ma table de travail. Sans plus attendre j'ai écarté ses cuisses et j'ai fait en sorte que son bassin reste ancré contre la table.

#Suzanne
J'ai inspiré profondément. 
Un frisson d'anticipation s'est répandu dans le creux de mes reins alors que je fixais les poutres au-dessus de moi comme seule boussole pour me repérer. Une décharge électrique a irradié tout mon corps quand j'ai senti sa bouche contre mon sexe. 

Instinctivement je me suis cambrée pour échapper à cette vague de sensations et de plaisir, mais d'une pression il a resserré sa prise sur mes hanches qu'il tenait étroitement. Sa langue ne se contentait pas de caresses langoureuses, elle cherchait à s'emparer de chaque fragment de mon intimité.

J'ai  ouvert la bouche en essayant d'avaler de l'air, mais très vite ma gorge s'est contractée de plaisir.
Le contact de sa barbe confiné à la chaleur de sa bouche sur mon intimité m'a arraché un gémissement puis un autre. Il a aiguisé ses irrésistibles va-et-vient et quand il est remonté jusqu'à mon clitoris, j'ai suffoqué de plaisir en fermant les yeux. 

Jamais je n'avais été confrontée à de telles sensations et je me suis surprise à en vouloir plus. Avec une ferveur redoublée il a pressé sa bouche dangereuse sur mon sexe puis s'est écarté brusquement.

Je n'ai pas eu le temps de me sentir abandonnée car une ombre...son ombre s'est projetée sur mon corps embrasé et il a posé sa main sur ma gorge. De l'autre main, il a caressé mon ventre puis est remonté jusqu'à mes seins pour en prendre un dans sa paume de main chaude. 
Je l'ai entendu pousser un son rauque et sombre qui m'a fait frissonner.

Il s'est penché ensuite pour venir mordre mon menton et a fait glisser sa bouche jusqu'à ma gorge puis mes seins qu'il a pris plaisir à aimer.
Je ne m'étais jamais sentie aussi aimée qu'à cet instant...à tel point qu'une larme est tombée dans le creux de ma paupière.

Il m'a soulevé brusquement et m'a ramené jusqu'au lit où il m'a déposé délicatement.
Il m'a fallu plusieurs secondes pour reprendre un peu de mes esprits et j'ai soulevé les paupières pour découvrir l'homme au bord du lit, en train de retirer le reste de ses vêtements. 

Le corps musclé de Max s'est révélé encore plus imposant que je ne m'étais imaginé.
Des veines palpitaient sur ses avant-bras et sur ses muscles saillants. J'ai laissé mon regard tomber sur son torse et sur cette toison virile avant de déglutir péniblement lorsqu'il s'est débarrassé de son caleçon.

Il lui suffisait de s'allonger sur moi pour me faire disparaître complètement sous ce corps musclé et à cette pensée tout mon être s'est mis à vibrer.
J'ai laissé mon regard errer sur ses jambes athlétiques aux reliefs indescriptibles jusqu'à ce que mon regard se glisse sur son sexe érigé.
Je n'ai pu réprimer une expression inquiète devant ce membre turgescent qui comme le reste de son corps était imposant.

Impressionnant tant par sa longueur que sa largeur, j'ai été envahie par une crainte qui grandissait à force de le fixer avant qu'il ne se mette à tirer sur mes chevilles pour me ramener vers lui.

Il m'a écarté les jambes et a posé sa main sur mes joues rouges sur lesquelles il a pressé ses doigts.
Max: Regarde-moi, ordonna-t-il d'une voix de imposante qui m'a fait frémir.

J'ai plongé mon regard dans le sien et j'ai senti en même temps son sexe me pénétrer avec une lenteur qui m'a coupé le souffle. J'avais mal mais le plaisir que je ressentais surpassait cela. 
Une vague de chaleur inouïe est remontée dans mon bas ventre et j'ai été encore plus dévastée quand il m'a montré sur son visage tout ce qu'il ressentait à mesure que je le recevais en moi.

Il a poussé un râle sorti des tréfonds de l'enfer et sa gorge s'est contractée à tel point qu'un sillon de veines s'est formée sur celle-ci.

J'ai continué de le regarder dans les yeux, respirant de plus en plus vite alors qu'il commençait à peine des va-et-vient volontairement lents. Je n'arrivais déjà plus à faire face à ces ondes de plaisir qui déferlaient en moi et j'ai réalisé une seconde après que ce n'était que le début.