#le prix de ma réussite épisode 23
Lire en divertissant

#Episode_23
Yaya Tembu : "durant ces deux années, tu devras faire l'amour à ces hommes comme on fait l'amour aux femmes.
Et tu dois coucher au moins deux fois par semaine avec un individu de même sexe que toi. Et malheur à toi si tu venais à négliger une seule de ces conditions.
Toutefois, tes affaires seront toujours en réussite. Je vais davantage bénir ton commerce. Ton influence commencera à toucher d'autres régions au fur et à mesure que les semaines avanceront.
Si tu réussis à respecter cette deuxième condition au bout de deux années, je reviendrai pour te donner ta dernière condition et je te promets que tu seras richement récompensé. Je te donnerai ce pays à tes pieds. "
Il disparut sous mes yeux. Une fois de plus, j'étais complètement dépassé. Allais-je pouvoir supporter cette condition pendant deux longues années ?
Croyez-moi, dans ce genre de situation, on a l'impression que deux années seront une éternité, qu'une année sera aussi longue qu'un siècle.
Cela voudrait dire aussi que les nombreuses copines dont j'avais, je devais me séparer d'elles.
Et éviter les contacts physiques au maximum avec elles afin de ne point succomber dans la tentation.
"Allez Samuel! Courage tu peux le faire. Deux ans ce n'est pas la fin du monde. Et en plus, tu en as juste pour deux ans et non pour toute la vie. "
Ainsi je me disais intérieurement pour essayer de me réconforter et de me donner du courage.
Dès le lendemain, je me mis à l'œuvre à la recherche des hommes qui aimeront cela.
Rappelez-vous que j'avais de l'argent et certains accepteront facilement à cause de mon statut social.
C'est ainsi que ce soir, alors que je roulais lentement et tranquillement dans ma voiture, je remarque un jeune garçon dans une situation inconfortable près d'un coin de rue.
J'ai avancé doucement ma voiture pour voir ce qui se passait et en effet, le jeune garçon était violenté par une bande de garçons.
Je fais un jeu de clignotant de voitures pour les effrayer. Et cela réussit plutôt bien. À ma vue, ils prirent la fuite en laissant le jeune garçon mal en point.
Je me rapproche alors de ce dernier qui est en train de pleurer. J'essaye de le réconforter et je remarque qu'il a plutôt un comportement efféminé. C'est peut-être une chance pour moi.
Samuel : mais jeune garçon, que fais-tu là ? Pourquoi ces hommes te frappaient ? Et comment te nommes-tu ?
Joël : je m'appelle Joël. Ces gens me frappaient parce que ..... Non Monsieur je suis .... Non monsieur laissez tomber.
J'avais encore certaines capacités de ressentir les auras spirituels. Et je sentais bien que ce jeune garçon avait une aura troublée.
Il était en phase de puberté. Naturellement, c'est la phase la plus bouleversante et instable de notre vie.
C'est à cette phase que l'individu doit commencer à forger une personnalité durable. Lui son cas était un peu particulier car il avait des tendances féminines.
À son âge, il était donc normal qu'il cherche encore sa personnalité et ses repères.
Samuel : viens mon garçon, entrons dans ma voiture. Ça te fera du bien.
Je l’aidais à se relever et je l'accompagnai dans ma voiture où il prit place au siège avant.
Il était tant pour moi de passer à l'action. Mais avant, je devais lui mettre en confiance.
ACHETEZ LE LIVRE: Le prix de ma réussite
Samuel: Alors mon jeune garçon, tu dis que tu t'appelles Joël. C'est ça?
Joël : oui monsieur c'est cela.
Samuel : D'accord. C'est un joli prénom. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me fait penser fortement à une fleur.
Le jeune garçon fit instinctivement des manières ou gestuelles féminines.
Samuel : regarde derrière toi, il y'a du jus et des petits gâteaux. Prends autant que tu veux.
Joël : oh monsieur... Ce n'est pas nécessaire....
Samuel : Non j'insiste mon garçon. Tu dois prendre des forces. Ces gars t'ont roué de coups.
Joël : merci monsieur.
Quelques instants après qu'il eut goûté, je repris la conversation.
Samuel : c’est bon n'est-ce pas? Ça te fait du bien?
Joël : oui monsieur c'est très bon merci beaucoup. Vous êtes très aimable et gentils.
Samuel : oui mon garçon, c'est parce que je suis gentil que tu vas me dire la raison pour laquelle ils te rouaient des coups. Ne t'inquiètes pas fiston, tu peux me faire confiance.
Joël : vous en êtes sûres ?
Samuel : oui mon garçon. Tu peux le faire confiance. Je suis une très gentille personne.
Joël : En fait, si ces garçons me frappaient, c'est parce que je fais souvent comme une fille et je leur ai dit que je me sentais à l'aise ainsi. Ils trouvent que je ne mérite pas alors d'être un humain.
Samuel : ah je vois. Et pourtant, moi je crois que chacun est libre de se sentir comme il veut. Si tu es à l'aise ainsi, pourquoi changer? C'est ta nature. Tu dois t'accepter tel que tu es.
Bien évidemment j'allais profiter de la naïveté de cet enfant pour l'exploiter. Il fallait que lui dise ce que ces oreilles voulaient entendre.
Joël : vous croyez Monsieur ?
Samuel : oui mon garçon. Nous sommes dans un monde évolué maintenant. Accepte-toi tel que tu es. Si la société te rejette, moi je t'accepte volontiers.
Joël : qu’est-ce que ça veut dire monsieur ?
J'avais préparé mon coup à l'avance et j'avais pris soin de l'amener dans un lieu très discret où il n'y avait pas de bruits.
Alors je m'approchai et je me mis à caresser la joue de cet enfant et progressivement je me mis à le toucher.
Samuel : "Écoute Joël. Laisse-moi te prouver que tu as de la valeur et que tu as toujours ta place dans ce monde malgré ce que tu es.
Laisse-toi faire. Je vais bien prendre soin de toi. Mais comme la société ne peut pas encore t'accepter tel que tu es. Ça doit rester entre nous deux.
Tu n'en parles à personne. Tu seras heureux. Je vais te rendre et donner la vie que tu mérites. D'accord mon garçon ?
Joël : Dac.... D'accord monsieur.
C'est ainsi que naïvement, ce pauvre garçon s'est laissé faire et je me mis à lui faire des sales choses dont vous imaginez.
Ce garçon allait me servir ainsi comme cobaye pour ma deuxième condition durant ces deux année-là, j'allais l'exploiter à des fins obscures grâces ou à cause si vous voulez, de sa naïveté.
À vrai dire, le moment de l'acte était vraiment dégueulasse pour moi.
Il me fallait un mental fort et penser fortement à des scènes osées pour que je puisse avoir toutes les aptitudes de passer à l'acte avec ce jeune garçon.
Si je vous disais que j'avais trouvé un quelconque plaisir, c'est que je suis un menteur.
Je l'avais juste fait par contrainte. La peur d'être envoyé en enfer. Ce calvaire allait durer ainsi pendant deux ans.
J'avais donc entamé en quelque sorte, une relation avec Joël. Personnellement cela reste mon pire souvenir.
Par contre Joël avait pris goût au point où il en réclamait davantage.
J'avais formellement interdit à Joël de parler de cette relation à qui ce soit sous aucun prétexte.
Il est vrai que je tenais également à garder une bonne image de moi à la société qui m'admirait et aussi que cette relation était un véritable cauchemar et une atrocité à mes yeux.
Durant ces deux années, j'étais resté fidèle à Joël si je peux dire ainsi.
D'ailleurs quel plaisir un homme trouverait à être infidèle dans une relation entre hommes ?
Pour consommer l'acte avec ce dernier (Joël), je préférais toujours l'amener dans un lieu bizarre comme les brousses ou forêt bref les coins reculés pour qu'on ne soit pas aperçus ensemble.
Je lui mettais dans la tête que si je l’amenais toujours dans les lieux bizarres, c'est surtout parce que j'aimais les sensations fortes.
Le goût du risque! Ce qui était pourtant de vraies histoires à dormir debout.
Je me souviens également que chaque matin que je me réveillais, je prenais toujours la peine de regarder mon calendrier et faire le calcul pour savoir le nombre de jours qu'il me restait pour accomplir cette horrible condition.
Ça peut vous sembler banal et ridicule que je faisais ces calculs tous les jours de ma vie durant ces deux années, mais comprenez par-là à quel point c'était une vie d'enfer pour moi en ce moment-là.
Parallèlement, mes affaires étaient de plus en plus grandissantes. Yaya Tembu ne m'avait pas menti quand il disait que j'allais encore avoir plus d'influences commerciales.
Mes chiffres d'affaires étaient désormais de l'ordre du milliard par an. Mais à quoi me servait toute cette fortune si je ne pouvais pas totalement jouir de tous les plaisirs de la vie comme ces belles femmes, avoir des enfants ou autres?
Mon seul lot de consolation était de voir André ne manquer de rien ou du strict minimum.
Il était désormais ma seule famille et le voir dans l'état qu'il était en ce moment, était une joie pour moi surtout lorsque je pensais à notre époque où nous manquions de tout.
Finalement les deux années s'écoulèrent pour mon plus grand bonheur. Ce qui signifiait que je n'aurais plus à supporter les relations intimes avec les hommes.
Entre-temps, Joël avait contracté une maladie qui se manifestait par le fait que son anus était devenu incapable de retenir les déchets d’excréments.
Cette maladie est souvent connue sous le nom d’hémorroïdes.
Il avait commencé à avoir ces symptômes à peu près un mois avant la fin de ma période de condition.
Je me rappelle de ses mots.
Joël : monsieur Samuel, j'ai un problème.
Samuel : mon Joël, que se passe-t-il ? Tu sais que tu peux tout me dire.
Joël : souvent quand j'enlève ou retire mon bermuda, je trouve des tâches de selles. Parfois ça me fait comme si c'est la diarrhée, et je ne peux freiner ça. Mais ce n’est pas régulier.
ACHETEZ LE LIVRE: Le prix de ma réussite
Moi évidemment, j'avais bien compris ce qui se passait et de quoi il s'agissait. Mais une fois de plus, il me fallait le manipuler dans sa naïveté.
Samuel: ah je vois. Je connais la solution.
Joël : vraiment ?
Samuel: oui oui mon Joël. Attends-moi là quelques instants.
Je partis dans ma mallette que j’emportais toujours avec moi. Je pris à l'intérieur une petite bouteille noire contenant des substances chimiques.
Samuel:" tu vois cette bouteille, tiens ça. Tu vas prendre les substances qui sont dans la bouteille tous les jours. Tu verras ton mal va disparaitre.
C'est un petit problème. Mais tu ne dois montrer ça à personne. Prends ce produit en cachette."
C'est un produit rare et très cher.
En réalité, les substances chimiques dont J'avais donné à cet enfant, étaient des poisons lents qui allaient le décimer à petit feu. Ainsi d'ici un ou deux mois il allait mourir.
Pourquoi j'avais décidé de le supprimer ? Parce que je tenais à ma réputation et je voulais oublier tous cette aventure dès que ma condition serait remplie.
La chance avait voulu que le petit Joël décède donc de causes bizarres à la veille de la fin de ma condition.
C'était une vraie chance pour moi. Tout cette histoire serait à jamais complètement enterrée.
Je me souviens même qu'au lendemain de la fin de condition, j'avais fêté ce moment en couchant avec une belle femme que j'avais rencontré ce même jour.
Oh ce goût de jouissance m'avait tellement manqué. Je m'étais ressenti devenu un vrai homme.
Je ne sais plus combien de rounds j'avais fait sur cette femme-là, peut-être quatre ou cinq?
Toujours en est-il que cette sensation m'avait manqué. J'étais similaire à un homme qui était sorti de prison.
Tellement nous étions fatigués que nous nous étions endormis l'un près de l'autre. La chaleur féminine m'avait vraiment manqué.
Je me suis réveillé finalement en la laissant toujours dans son sommeil en train dormir. J'avais décidé d'aller prendre une douche.
Alors que j'ouvris le robinet d'eau, j'entendis la voix du sorcier Yaya Tembu.
Yaya Tembu : félicitations Samuel ! Tu as réussi ta deuxième condition. Tu es très brave. Je vois que tu n'as pas tardé à retrouver des sensations fortes avec des femmes.
Samuel : grand maître, ce n'était pas quelque chose de facile du tout. Supporter deux ans sans cela.
Yaya Tembu : De toutes les façons, ta troisième et dernière condition ne sera pas aussi longue et elle n'est même pas difficile crois-moi !
Samuel : ah le plus dur a donc déjà été fait.
Yaya Tembu : oui bien-sûr. Pour ta dernière étape, il faut juste que tu m'apportes le sang physique de ton petit frère André.
Samuel : hein .....
À suivre
Auteur : les chroniques d'Andy et Cy