SUBLIME VENGEANCE 3
Bonne lecture
La petite plume
- Écrire ma passion
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Rêver est magique
Réaliser est puisant
Aimer est divin
Notre jeune protagoniste vivait dans un quartier plutôt connu de la ville de Douala "DEIDO" ce quartier était connu pour son ambiance, elle était plus précisément au " grand moulin dit terrain de basket" il n'y avait pas un terrain de basket seul les anciens savent la raison pour laquelle ils l'avaient nommé ainsi, elle est sorti de son petit appartement ou elle vivait avec sa mère, elle a dit bonjour au voisin avant de quitter la mini cité en ouvrant la grande barrière noir, le lieu était entièrement goudronnée et la route était un peu saturé le matin par les élèves qui partait à l'école, d'autre qui allait s'approvisionner dans la boutique et des travailleurs comme elle qui se depechait pour ne pas arriver en retard, le matin, personne n'avait le temps, elle a emprunté une moto et est parti
Le seigneur à des drôles de manière de répondre à nos prière croyez moi, je suis arrivé au bureau pil à l'heure comme à mon habitude j'ouvre et
_ Surprise !!!!
Avait dit mes collègues tous en choeur grande fut ma surprise j'ai mis les mains sur la bouche pour retenir mes cri, j'étais ému, oui très ému, ma patronne m'avait organisé une fête pour ma promotion, tous mes collègues y étaient chacun me félicitait
_ Moi : Merci beaucoup…merci pour tout
_ Tu le mérites
Avait répondu ma boss
J'avais même eu droit à mon propre bureau personnel tout ce que j'avais toujours souhaité, Sandra est venu me féliciter à son tour
_ C'est qui l'a nouvelle chef ?
On s'est mis à crier tout les deux avant de se faire un câlin
_ Félicitations ma belle
Je l'avais remercier, tout allait pour le mieux dans ma vie, qui étais-je pour me privé de ce bonheur, je priait pour cela chaque jour, et je crois que je le mérite
Ma journée s'annonçait bien, j'ai décider d'oublier tout ce qui s'est passé à la veille et de me concentrer sur mon travail, sinon j'allais tout mélanger, les émotions et le travail ne font pas bon ménage, je devais prouver que je mérite vraiment ce poste, je me suis mise au travaille jusqu'à épuisement, et quand je jette un coup d'œil à ma montre celui-ci marque 16h30 je ne m'étais pas levé de mon bureau de toute la journée, il était déjà presque l'heure du retour alors j'ai encore traîné quelques minutes avant de me décider à rentrer, à peine sorti de la boîte je tombe nez à nez avec Stéphane mon ex
_ Lui : Dis moi que ce que j'ai vu au journal n'est qu'une blague
Je lui ai poussé histoire de le dégager de mon passage
_ Lui : Danielle j'ai droit à des explications bon sang
Je me suis arrêté de marché et je me suis tourné pour lui faire face
_ Elle : De quelles explications me parle tu? Je tiens à te rappeler que nous ne sommes plus ensemble et ceci depuis trois mois déjà donc ma vie j'en fait ce que je veux ok?
À ses mots j'ai voulu m'en aller mais il m'a retenu
_ Lui : C'est vrai que nous ne sommes plus ensemble mais je ne peux pas te laisser gâché ta vie de cette façon, ce mec n'est pas net crois moi
_ Elle : Cela me concerne et personne d'autre donc Lâche moi les basquettes…tu crois vraiment qu'après m'avoir larguée comme une vieille chaussette tu pourras venir me dire ce que je dois faire ou ne pas faire comme bon te semble ?
_ Lui : C'est pour te venger que tu l'as fait ? Tu sais très bien la raison pour laquelle je t'ai trompé c'est toi qui veut en faire toute une montagne
J'eus un rire ironique
_ Elle : Et le plus dure dans tout ça c'est que tu es sérieux, non mais….je me demande ce que j'ai bien pu te trouver, je regrette amèrement de t'avoir rencontré crois moi, tu n'en vaut pas la peine…à quoi je pouvais m'attendre d'un homme aussi paresseux que toi
_ Je ne te permet pas de m'insulter
_ Moi : Ah oui? Que pense tu que j'ai ressenti quand tu m'a demandé de coucher avec ton patron hein dis le moi
_ Je te les demander pour notre bien à tous les deux, mais je me suis rendu compte que tu ne m'aimait pas assez, mais cela n'empêche que je tient toujours à toi, raison pour laquelle je viens te supplier de ne pas commettre l'irréparable
_ Moi : Tu n'est qu'un bon à rien, ce qui te dérange réellement c'est le fait qu'il soit un homme, un vrai….et bien sache que tu m'a perdu pour de vrai cette fois ci
Pendant ce temps Alexandre était dans son bureau et était surpris de n'avoir pas eu des nouvelles de la jeune journaliste de toute la journée, alors il envoya son chauffeur la chercher, le chauffeur est arrivé et Danielle était en train de causer avec Stéphane quand elle à vu le chauffeur elle à compris et est directement entré dans la voiture après que celui-ci l'ai ouvert la portière
Elle était toute furieuse, pour qui se prenait-il pour lui parler de la sorte? Il devait sûrement être jaloux que le grand Alexandre s'intéresse à elle, lui qui était vraiment meilleur que lui, qui sera capable de la traiter comme il le faut, de prendre soin d'elle, pas comme lui qui l'a envoyé coucher avec son patron pour avoir une promotion, une larme s'est échappé qu'elle a vite fait d'essuyer quand elle à repenser à la scène, la voiture s'est garé, le chauffeur a ouvert la portière et elle est sorti
_ C'est par ici madame
L'immeuble était vachement grand, depuis le temps que je rêvais d'y mettre pieds, le chauffeur est monté dans l'ascenseur et je l'ai suivi pour le 4eme niveau il ne parlait pas il faisait ce pourquoi il avait été commissionné l'ascenseur s'est ouvert et j'ai pu contempler le 4eme niveau qui contenait plusieurs bureaux, je n'avais pas eu le temps de compter qu'il était déjà devant la secrétaire, elle était classe vêtu d'une jupe droite noire et d'un chemisier blanc son chignon faisait ressortir son visage et son maquillage l'allait à la perfection…c'est sure qu'elle touchait le trible de mon salaire, je me suis regardé et je n'avais pas sa classe, j'étais vêtu d'une robe en satin bon marché violet et des escarpins acheter au marché chinois avec un sac à main assorti, j'avais fait un brushing sur mes cheveux que j'avais laissé au vent, sans maquillage, j'avais juste une petite gommette qui entourait mon poignet gauche, rien de bien couteux, à une époque, j'aurais tout donner pour travailler au service d'entretien de cette entreprise mais aujourd'hui J'étais en voix d'être l'épouse de l'actionnaire majoritaire
_ Le patron vous attend
Avait elle dit avec un sourire rayonnant, j'étais stressée et anxieuse à la foi et ma conversation avec Stéphane n'arrangeait pas les choses
Le chauffeur à ouvert la porte je suis entré et la refermer juste après, je le regardais partir, j'étais désormais face à mon destin
J'ai pris un grand souffle avant de regarder devant moi, monsieur Alexandre était assis sur la chaise de son bureau, il s'est levé et à fermé sa veste pour être plus présentable, cette fois si son costume était bleu nuit, accompagné d'une chemise blanche, une cravate noire et une paire noire…
_ Lui : Ne restez pas debout
Avait il dit en me présentant un canapé qui était dans son bureau, je suis allée prendre place timidement et il a fait de même
Je le regardait et avait l'impression qu'il était devenu encore plus beau au point où j'avais du mal à croire que ce qui s'est passé entre nous hier soir était un rêve, j'eu des frissons tous d'un coup
_ Lui : Avez-vous froid ?
_ Moi : Oui un peu
Je ne pouvais pas dire le contraire, c'est qu'il se serait douté de quelques choses, il a diminué la climatisation
J'ai jeté un coup d'œil dans la pièce et elle était très grande, au centre il y’avait son bureau et deux chaises devant, derrière lui se trouvait une grande fenêtre qui donnait vu à la ville, à gauche, une armoire où il classait ses documents et à droite une cave à vin et un peu plus devant un salon d'un canapé deux places qui faisait face à deux canapés une place séparé par une belle table vitrier, c'est la que nous étions assis
J'étais perdu dans mes pensées jusqu'à ce qu'il ne parle
_ Moi : Pardon ?
_ Lui : Je n'ai pas eu de vos nouvelles depuis lors, j'attends toujours votre réponse
_ Elle : J'accepte
Avais je répondu sereinement, le regardant dans les yeux, tout ce que j'espérais est qu'il était vraiment sérieux dans ses dit
_ Lui : D'accord…
Avec un sourire au coin des lèvres
_ Lui : Je ne m'attendais pas à ce que ça soit si facile
J'ai juste sourire
_ Lui : Il ne te reste plus qu'à signer ce contrat
Avait t'il dit en me donnant le contrat, je l'ai pris et je l'ai directement signé
_ Lui : Vous ne le lisez pas ?
_ Elle : Ce n'est pas nécessaire
J'ai déposé le stylo sur la table, ça devait sûrement être un contrat de mariage ou quelque chose du genre, je ne vois pas pourquoi je perdrais mon temps à le lire
_ Lui : D'accord, le mariage sera pour ce weekend
_ Elle : Si tôt ?
_ Lui : Que voulez-vous ? Je suis excité d'être votre époux
Quand il à dit cela j'ai eu un pincement dans le cœur ce qui m'a mise mal à l'aise
_ Lui : Vous trouvez cela précipité peut être ?
_ Moi : Non c'est bon, c'est juste que je ne m'attendais pas à ce que ça soit si rapide vous voyez?
_ Lui : Nous sommes tous les deux d'accord, alors je ne vois pas la raison pour laquelle nous devions attendre plus longtemps et en plus de cela J'ai peur que vous changez d'avis, vous les femmes vous êtes si indécise
J'ai eu un sourire maladroit
_ Lui : Si vous n'avez plus de préoccupation vous pouvez vous en aller je vous tiendrai informé
Je me suis levé timidement de mon siège et il m’a accompagné à la porte en m’ouvrant, je lui ai donner mon plus beau sourire avant de m’en aller
A SUIVRE…
