Ligne Rouge

Liés à jamais...

Une jalousie naissante entre frère et soeur.

Dès qu'elle a disparu, j'ai tiré mon pote dans la salle d'étude.
Jordan: Ta soeur est vraiment belle de plus..
Il s'est tu face au regard sombre que je lui ai lancé.
Jordan : Tu ne pourras pas la protéger éternellement. Les cours reprennent demain, tu sais comment sont les mecs de notre école...
Moi: Je veillerai sur elle.

Jordan: D'accord.
Moi: On peut se remettre au travail ?
Il a sorti son livre de maths et j'ai fait de même. On s'est mis à étudier, j'avais du mal au départ à me concentrer mais j'y suis parvenue finalement.

            ~ Une heure plus tard ~

On avait entamé un exercice compliqué. Depuis près de vingt minutes que nous étions là-dessus....aucun de nous n'avait trouvé une ébauche de solution.
Jordan: Si les meilleurs ne parviennent pas à résoudre ça , c'est que c'est grave !!!
Dit-il en éclatant de rire.

Il avait raison, nous étions les meilleurs en mathématiques de notre classe et avons participé à plusieurs concours. L'un d'eux avait eu lieu récemment, le jour de l'enterrement de ma mère. C'était la raison pour laquelle je n'avais pas pu assister.

Ma mère.

Le fait de penser à elle a fait apparaître l'image de ma sœur dans mon esprit. Que faisait t'elle ? J'aurais peut-être dû l'inviter à se joindre à nous vu que nous étions dans la même classe mais est-ce que ça allait être une bonne idée ?
En pleine réflexion, je l'ai vu apparaître.

Arielle: Tu me cherchais Hadès ?
Demanda t'elle d'un air taquin.
Bizarre, je pensais à elle et directement elle apparaissait.
Moi: Je te cherche pour faire quoi avec toi ?
Dis-je sèchement.

Elle a levé les yeux au ciel et s'est retournée vers mon ami.
Arielle: Comment fais-tu pour le supporter ?
Jordan a souri en évitant mon regard. J'étais furieux, elle faisait exprès de me provoquer apparemment.

Moi: Comme tu le vois, nous sommes occupés.
Arielle: Je vois ça ! 
Dit-elle en retour faisant la moue.
Jordan: Tu fais quelle classe ?
Arielle: Première C pourquoi ?
Jordan: Cool, jete un coup d'œil à cet énoncé s'il-te-plaît.

Il lui a présenté un document et je me suis retenu d'exploser. Elle a croisé mon regard comme si elle connaissait mon ressenti et m'a fait un clin d'œil avant de s'asseoir.
Arielle: Jordan c'est ça ?
Il a hoché la tête.
Elle a poursuivi...
__ Vous n'arrivez pas à résoudre ce problème parce qu'il vous manque certaines données.

Dit-elle en prenant un format sur lequel elle s'est mise à écrire en lui expliquant en détails les éléments manquants. Il l'écoutait religieusement et l'observait de temps en temps. Ses yeux brillaient, il était subjugué et le connaissant ce n'était pas bon signe. 

Il fallait que j'intervienne...
Moi: Microbe, c'est bon ! Retourne dans ta chambre et laisse-nous étudier.
Arielle: Mais...
Moi: Fin du débat ! Allez du balais...
Elle s'est levée et m'a lancé un regard sombre avant de s'en aller. Je savais qu'elle était furax mais je m'en foutais à cet instant précis car je venais t'arrêter un massacre.

#Arielle
Mon frère c'est un gros con, j'ai cru au départ qu'après ce qu'on a vécu il allait mieux se comporter avec moi mais je me suis trompée lourdement. Il agit toujours comme le roi des salauds. 

Moi: Je vais te traiter Hadès.
Ma colère ne s'est pas estompée rapidement et quand il m'a rejoint bien après, il l'a remarqué.
Moi: Sors de ma chambre Hadès !
Hadès : Il faut qu'on parle !
Moi: Désolé mais je n'ai rien à te dire tu vois, va t'en !

Hadès : Je ne m'en irai pas. Tu dois comprendre que mon pote a des vues sur toi et c'est intolérable !
J'ouvre grand les yeux quand il m'avoue cela .
Moi: Je rêve ou tu es jaloux ?
Hadès : Ne devrais-je pas l'être ? Tu penses peut-être que ce qu'il y'a entre nous est un jeu ? Tu m'appartiens Arielle, n'oublie jamais cela .

Ses paroles m'excitent.
J'ai envie de lui à cet instant précis et je compte bien lui faire savoir cela.
Moi: Baise-moi Hadès !
J'enlève ma robe dévoilant mes seins nus déjà dressés et ma petite culotte. Il observe durant deux secondes et verrouille ma porte ensuite pour se jeter sur moi.

Ses lèvres s'écrasent sur les miennes en un baiser torride. Il libère son sexe déjà bien rigide et le recouvre d'un préservatif sorti de son portefeuille avant de me soulever pour me déposer sur le lit. Sans transition, il décale ma culotte et s'enfonce brutalement en moi, profondément. Je halète, manquant de suffoquer. Le plaisir qu'il me procure est intense.

À chaque poussée, je le ressens tout au fond de moi. J'écarte les jambes davantage pour mieux le sentir. Il le remarque et décide de me prendre en ciseaux. Je n'ai jamais vécu un tel plaisir, j'ai l'impression que mon coeur va lâcher . Je lâche un cri mais il insère ses doigts dans ma bouche pour m'empêcher de hurler davantage.
Il agit de manière bestiale, 
J'adore.

Moi: Ne t'arrête pas....
Il me cogne avec toute son énergie si bien que mes fesses se mettent à chauffer. Mon cul est douloureux. 
Mais je désire plus.
Je suis à lui, il est à moi.
Nous ne formons plus qu'un.