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MA BELLE FAMILLE-CHAP 2

May 26, 2024 - 13 Minutes
Larrime 
Larrime 

Ma belle famille 

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Je ne sais pour quelle raison ma belle mère est venue habiter chez moi. Elle amena avec elle Moïse, Aline,Mervy et dorothé. Cette dernière avait des problèmes mentaux. Du coup elle ne venait que quand ça allait mal, pour être près de sa mère. 
J'élevais ma fille tant bien que mal, malgrés ce que je vivais. Louise n'avait jamais demandé à porter sa petite fille volontairement. Il fallait qu'il n'y ait personne à la maison, que je sois entrain de travailler et que l'enfant crie depuis le lit, à ne plus entendre sa voix, pour qu'elle songe à porter l'enfant par que faire. A voir, on remarquait qu'elle ne la portait que parceque les bruits la dérangeait. Bon bref, ça me laissait à 37°. Je prenais soin de ma fille et lui donnait tout l'amour que j'avais. Ce week-end je me suis sentie un peu fatigué pour aller coiffer. Alors je decide de rester à la maison pour m'occuper de ces autres choses dont en semaine j'ai dû négligé. 
MOI: Moïse!! Aline! Mervy!
Il était 9h et depuis le matin, personne n'avait cherché à faire quelque chose pour néttoyer la maison. En les appelant ainsi, j'avais déjà fais la vaiselle et balayé le sol. Mais il fallait bien que je les parle. Ils étaient des enfants.
Mervy: oui tata
MOI: moïse et aline sont où?
MERVY: ils arrivent.
ALINE: oui Hermine (elle était la plus grande d'entre eux, je la dépassait de 10 bonnes années mais jamais ça bouche n'avait glisée pour que "tata" sorte. Bref c'était pas comme si c'était le plus important, mais.. je penses que c'était le minimum)
MOI: depuis le matin vous avez travaillé quoi? 
EUX:...
MOI: vous ne savez pas que lorsque qu'on se lève le matin comme ça on travaille d'abord? Hein aline? Toi la plus grande tu as fais quoi depuis? (demandais-je calmement)
ALINE: hum donc c'est pour ça qu'elle m'appellait? 
Elle avait murmurer assez fort pour que je puisse capter. J'ai fais comme si j'ai rien pigé puis elle a tournée et rentrer à l'intérieur. J'avais fini par dire aux deux autres que lorsqu'on se lève on nettoie la maison avant de s'assoir. Je demandais par la suite à moïse et mervy d'aller puiser de l'eau pour la cuisine que je m'apprêtais à faire. 
MOISE: hum puiser loin làbas? c'est loin hein. En plus je suis fatigué.
MOI: stp, vas-y avec mervy.
MERVY : je peux prendre le sceau ci?
MOI: non. Prends ce que tu peux porter..
MERVY: Moïse prends alors le petit bidon ci on part
Moïse était pourtant le grand frère de mervy.C'est avec beaucoup de supplication qu'il allait me chercher de l'eau. Mervy par contre, je n'avais pas besoin de l'implorer. Elle était la seule qui m'aidait sans mimiques, sans se plaindre, sans que je ne bavarde trop. 
Mervy était en fait la cousine des Aline. Et louise faisait une distiction pas possible. Elle parvenait à faire la dicrimination entre ces enfants, que ce soit sur la nourriture que sur des choses. 
Deux ans plus tard, j'allais à Yaoundé pour rendre visite à ma coépouse, la femme du grand frère de Manu. J'avais un retard de deux semaines. Au moment de rentrer, ma belle soeur Barbara me fit appel. Elle vivait seule avec son fils de 7 ans. Voulant ce pendant chercher à deménager, elle me demandait de rentrer à bafoussam avec l'enfant, pour lui permettre de mieux chercher sans gêne. 
BARBARA:stp Hermine, arrête l'enfant ci comme si c'était le tien stp.
MOI: ne t'inquiète pas, je le prendrais comme si c'était kessy. Je n'ai pas deux coeur sur les enfants.
BARBARA: je viendrais le récupérer une fois bien installé. 
MOI: d'accord, sans souci.
C'est ainsi que je rentrais avec Joseph, de bon coeur et le traitais comme mon propre fils. Tout ce que je faisais à Kessy, je le faisais aussi à lui. Je ne pouvais pas aller au marcher et acheter une robe à ma fille sans lui acheter un pantalon. Ses reactions par contre je ne les comprenait pas. Comme toute bonne mère, je me disais que c'est dès le bas âge que l'éducation commençait. Alors je lui demandais, tout comme je l'aurais fais si kessy avait son âge, de laver les assiettes. Il refusait. Quand j'insistais, il se metait à pleurer et sa grand mère venait riposter.
LOUISE: on ne tape pas sur son beau fils. 
MOI: Je ne l'ai pas taper en temps que tel. Il a 7 ans et je l'apprends comment laver les assiettes. Quoi de mal?
LOUISE: toi même tu as dis qu'il a 7ans. Tu ne vois pas qu'il est encore petit? tu veux fatiguer l'enfant là avant l'âge pourquoi? yeuch! 
MOI : maman je le fatigue comment? C'est quand il aura quel âge qu'il saura qu'il faut travailler le matin?
LOUISE : les assiettes là sont même d'abord où pour que tu envoies l'enfant sur ça ?? Quand Barbara te donnait son fils elle a dit que tu le maltraite?
MOI : j'éduque l'enfant tu dis que je le maltraite ? Si kessy avait son âge, crois moi c'est la même chose que j'allais faire.
LOUISE : mon enfant n'est pas un esclave. Il n'est pas venue ici souffrir. Attends donc kessy , si tu veux même à 4 ans tu lui demande de laver le sol. Tu comprends non!?
Et c'était ainsi à chaque fois. Elle se fâchait quand je lui demandais de faire quoi que ce soit. ce n'était pas que le travail que Joseph fuyait. Cet enfant ne voulait rien faire de chez rien. Quand il partait à l'école, et que le soir je cherchais à l'apprendre, il refusait. Il pleurait et ne voulait pas qu'on fasse ses devoirs. Il ne voulait même pas que je l'apprenne à lire, il n'aimait pas ça, et ne manquait de pleurer, surtout quand il voyait sa grand mère dans les parages. Elle avait fait jusqu'à ce que quand je le reprochais pour une moindre chose, il boudait et disait:
JOSEPH: je vais dire à grand-mère attends, je vais dire! 
MOI: tu vas lui dire quoi? Que tu ne veux pas faire les devoirs qu'on t'a donné ? Tu veux sortir dernier de la classe ?
JOSEPH : laisse moi, laisse moi je veux dormir. Grand mère a dit que tu me laisses tranquille.😒😒
Et comme un sappeur pompier, elle n'hésitait pas à atterir et me passer un savon. 
Je décidais plus tard de ne plus m'occuper d'une partie de la vie de joseph. Ce ci dit, tous ce que je faisais désormais était de laver ses habits (vu qu'il était encore petit), préparer à manger et lui donner. Je ne le reprochais plus de rien, je ne lui demandais plus de faire quoi que ce soit. Je n'aimais pas être grondé, mépriser. Alors il me fallit l'éviter à tout prix. 
Louise était bye and seller (bayam sellam) au marché B et vendait les aliments selon leur saison; avocat, fruit noir, banane, igname. Quand elle rentrait du marché avec quelques beignets gardés; elle remettait le paquet à joseph et il était libre ou pas de partager avec kessy. 
Chose curieuse, quand je reprochais ou fouettais kessy sur une bêtise qu'elle avait faite, ma'a Louise n'ouvrait même pas sa bouche pour demander par expemeple pourquoi je la tape ou gronde. J'attends qu'elle essaye voir de me parler à propos mais rien. Elle devrait sûrement se dire intérieurement " quoi me fais? c'est son enfant, elle fait ce qu'elle veut".
J'avais arrêté la coiffure pour faire une formation en informatique, avec l'argent que j'avais économiser y'a 2 ans. Je laissais kessy chez une tante à Manu, juste en haut de la maison. Elle était très gentille avec moi. Je dirais que ma'a Monique était la seule personne dans la famille d'Emmanuel qui était douce avec moi. Un jour en jouant, Kessy est tombé du haut d'une chaise lorsqu'elle jouait, et ses dents ont percées sa langue. C'est avec une bouche rempli de sang que Manu débarquait au centre de formation me trouver. Mon coeur battait, j'avais peur de ce qui l'était arrivé.
MOI: mais... Emmanuel qu'est ce qui s'est passé? 
MANU: elle jouait et est tombé. Ma'a Monique m'a appelé avant que...
MOI: et au lieu d'aller directement à l'hôpital tu viens ici comment? 
MANU: il faut l'emmener à l'hôpital.
MOI: manu tu es même comment non? Est-ce qu'on fait les choses comme ça ? 
J'allais précipitemment avec lui dans un centre de santé le plus proche. Manu détestait prendre soin de l'enfant, je ne sais pas pourquoi. Il voulait toujours que je m'occupe de tout. Après avoir lavé et prescrit les remède, nous rentrions dans l'espoirs que son mal irait. 
Mon ventre était déjà bien long, j'étais presque à terme. Et surtout, je détestais cette période, car je ne pouvais rien faire par moi même. Il me fallait demander de l'aide à quelqu'un, quitte à savoir si l'on accepterait. 
Un jour, je lavais les habits jusqu'à ce que je fus en manque d'eau. Ne pouvant aller tirer au puit, je demande gentillement de l'aide à aline. 
MOI: aline, s'il te plait ma chérie aide moi à tirer un tour d'eau au puit. 
ALINE: je ne suis pas chaude. 
Mince! cette reponse me glaça, aussi froide soit-elle. J'imaginais juste la scène de comment ça allait se passer si c'était ma propre petite soeur qui me repondait ainsi. Mais pour aline, je me retint. Ne pouvant aller chercher moi même, je laissais les habits inachevés. Bien après, manu est rentré et vu que ses habits n'étaient pas fini, je lui expliquais la situation, qu'aline avait refusé. Il l'appela tout furieux et elle se pointa de suite.
ALINE: oui tonton (disait-elle tout bas)
MANU: qu'est ce qu'il y'a qu'on t'envoit puiser l'eau tu refuse? 
ALINE: tonton je n'ai pas refusé.
MANU:et tu as puiser?
MOI: tu n'as pas dis ici que tu n'es pas chaude?
Elle soulève la tête et me regarde insolement. 
MANU: vas y donc chercher maintenant. Fais vite! et c'est la dernière fois qu'elle t'envoit tu ne pars pas. 
Elle était revenue avec une eau boueuse. Je ne sais pas si elle l'a fait exprès mais j'étais obligé d'attendre que cet eau se décante. Quel Coeur! 
Avant de me coucher le soir, je me suis sentie bizarre. Je savais qu'à n'importe quel moment l'enfant pouvais sortir.Vers 5 h du matin, les contractions me prirent. J'arrangeais vite fais ma chambre et classait comme j'allais acceuiller mon bébé. Le mal devenait de plus en plus sérieux, alors j'appelais aline pour qu'elle m'accompagne à l'hôpital. Je savais bien que je perdais mon temps mais... J'avais tellement mal et besoin d'aide. Comme d'habitude elle comptait ses pas. Puisqu'elle trainait, je commençais à marcher un peu un peu, j'usqu'à trouver la moto. J'avais dit à ma'a monique que j'allais déjà accoucher et elle m'accompagnait. Aline était arrivé à 12h passé, lorsque j'avais déjà accouchée. 
J'étais rentrée le même jour de l'hôpital. Le lendemain, alors que je nettoyais l'enfant, Manu est rentré du travail. Au lieu de me demander comment je vais, au lieu de demander comment va l'enfant, comment s'est passé l'accouchement, il me parler du reste d'argent.
MANU: hier je t'ai remis l'argent pour que tu ailles accoucher non?
MOI: oui? 
MANU: Et où est le reste?
MOI: le reste comment emmanuel?
MANU: mais le reste d'argent non? Il devrait avoir reste sur ce sue je t'ai remis. 
MOI: il n'y a pas eu de reste manu.
MANU: donc tu as tout depenser? Pourquoi tu as tout dépenser? Tu ne pouvais pas supplier qu'on te réduise les prix? 
MOI: manu donc après être rentré de l'accouchement de notre enfant, c'est la première qu'estion que tu trouve à me poser? Tu ne me demande pas comment je vais, ni ta fille. Ce qui t'interresse c'est le reste d'argent? Manu que toi même tu m'as d'abord remis combien? Je ne me plains pas de la sommes mais toi même tu ne vois pas que j'ai beaucoup jongler avant d'acheter même ses couches? Manu il y'a quoi?
MANU : hée ne me parle pas sur ce ton.. et tu me gronde?
J'étais choqué, je ne lui ai pas répondu et mes larmes se mirent à couler. Je ne m'attendait pas à cette réaction venant de lui. J'aurais aimé qu'il me cajole, me prenne dans ses bras et me lâche un "assiah" au moins . On m'avait déchiré pour que l'enfant puisse sortir, car elle pesait 3 kilo 250. Mais mon homme lui, ça ne l'interressait pas. Je me demande si c'était l'éffet de pauvreté qui faisait en sorte qu'il reagisse de la sorte. Quoi que je me suis mise à penser qu'il pouvait être pareil que sa mère. 😓😓
A SUIVRE...
J'ai encore besoin de vous dire d'aimer, commenter et partager??


Louise était bye and seller (bayam sellam) au marché B et vendait les aliments selon leur saison; avocat, fruit noir, banane, igname.  Quand elle rentrait du marché avec quelques beignets gardés; elle remettait le paquet à joseph et il était libre ou pas de partager avec kessy. Je laissais kessy chez une tante à Manu, juste en haut de la maison. Elle était très gentille avec moi. Je dirais que ma'a Monique était la seule personne dans la famille d'Emmanuel qui était douce avec moi. Un jour en jouant, Kessy est tombé du haut d'une chaise lorsqu'elle jouait, et ses dents ont percées sa langue. C'est avec une bouche rempli de sang que Manu débarquait au centre de formation me trouver. Mon coeur battait, j'avais peur de ce qui l'était arrivé.
MOI: mais... Emmanuel qu'est ce qui s'est passé? 


Chose curieuse, quand je reprochais ou fouettais kessy sur une bêtise qu'elle avait faite, ma'a Louise n'ouvrait même pas sa bouche pour demander par expemeple pourquoi je la tape ou gronde. J'attends qu'elle essaye voir de me parler à propos mais rien. Elle devrait sûrement se dire intérieurement " quoi me fais? c'est son enfant, elle fait ce qu'elle veut".
J'avais arrêté la coiffure pour faire une formation en informatique, avec l'argent que j'avais économiser y'a 2 ans. 


J'allais précipitemment avec lui dans un centre de santé le plus proche. Manu détestait prendre soin de l'enfant, je ne sais pas pourquoi. Il voulait toujours que je m'occupe de tout. Après avoir lavé et prescrit les remède, nous rentrions dans l'espoirs que son mal irait. 
Mon ventre était déjà bien long, j'étais presque à terme. Et surtout, je détestais cette période, car je ne pouvais rien faire par moi même. Il me fallait demander de l'aide à quelqu'un, quitte à savoir si l'on accepterait. 
Un jour, je lavais les habits jusqu'à ce que je fus en manque d'eau. Ne pouvant aller tirer au puit, je demande gentillement de l'aide à aline. 
MOI: aline, s'il te plait ma chérie aide moi à tirer un tour d'eau au puit. 
ALINE: je ne suis pas chaude. 

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Mince! cette reponse me glaça, aussi froide soit-elle. J'imaginais juste la scène de comment ça allait se passer si c'était ma propre petite soeur qui me repondait ainsi. Mais pour aline, je me retint. Ne pouvant aller chercher moi même, je laissais les habits inachevés. Bien après, manu est rentré et vu que ses habits n'étaient pas fini, je lui expliquais la situation, qu'aline avait refusé. Il l'appela tout furieux et elle se pointa de suite.
ALINE: oui tonton (disait-elle tout bas)
MANU: qu'est ce qu'il y'a qu'on t'envoit puiser l'eau tu refuse? 
ALINE: tonton je n'ai pas refusé.
MANU:et tu as puiser?
MOI: tu n'as pas dis ici que tu n'es pas chaude?
Elle soulève la tête et me regarde insolement. 
MANU: vas y donc chercher maintenant. Fais vite! et c'est la dernière fois qu'elle t'envoit tu ne pars pas. 
Elle était revenue avec une eau boueuse. Je ne sais pas si elle l'a fait exprès mais j'étais obligé d'attendre que cet eau se décante. Quel Coeur! 


Avant de me coucher le soir, je me suis sentie bizarre. Je savais qu'à n'importe quel moment l'enfant pouvais sortir.Vers 5 h du matin, les contractions me prirent. J'arrangeais vite fais ma chambre et classait comme j'allais acceuiller mon bébé. Le mal devenait de plus en plus sérieux, alors j'appelais aline pour qu'elle m'accompagne à l'hôpital. Je savais bien que je perdais mon temps mais... J'avais tellement mal et besoin d'aide. Comme d'habitude elle comptait ses pas. Puisqu'elle trainait, je commençais à marcher un peu un peu, j'usqu'à trouver la moto. J'avais dit à ma'a monique que j'allais déjà accoucher et elle m'accompagnait. Aline était arrivé à 12h passé, lorsque j'avais déjà accouchée. 
J'étais rentrée le même jour de l'hôpital. Le lendemain, alors que je nettoyais l'enfant, Manu est rentré du travail. Au lieu de me demander comment je vais, au lieu de demander comment va l'enfant, comment s'est passé l'accouchement, il me parler du reste d'argent.
MANU: hier je t'ai remis l'argent pour que tu ailles accoucher non?
MOI: oui? 
MANU: Et où est le reste?
MOI: le reste comment emmanuel?

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MANU: mais le reste d'argent non? Il devrait avoir reste sur ce sue je t'ai remis. 
MOI: il n'y a pas eu de reste manu.
MANU: donc tu as tout depenser? Pourquoi tu as tout dépenser? Tu ne pouvais pas supplier qu'on te réduise les prix? 
MOI: manu donc après être rentré de l'accouchement de notre enfant, c'est la première qu'estion que tu trouve à me poser? Tu ne me demande pas comment je vais, ni ta fille. Ce qui t'interresse c'est le reste d'argent? Manu que toi même tu m'as d'abord remis combien? Je ne me plains pas de la sommes mais toi même tu ne vois pas que j'ai beaucoup jongler avant d'acheter même ses couches? Manu il y'a quoi?


MANU : hée ne me parle pas sur ce ton.. et tu me gronde?
J'étais choqué, je ne lui ai pas répondu et mes larmes se mirent à couler. Je ne m'attendait pas à cette réaction venant de lui. J'aurais aimé qu'il me cajole, me prenne dans ses bras et me lâche un "assiah" au moins . On m'avait déchiré pour que l'enfant puisse sortir, car elle pesait 3 kilo 250. Mais mon homme lui, ça ne l'interressait pas. Je me demande si c'était l'éffet de pauvreté qui faisait en sorte qu'il reagisse de la sorte. Quoi que je me suis mise à penser qu'il pouvait être pareil que sa mère. 😓😓
A SUIVRE...
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