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La vendeuse de piment-Chapitre Final

Écrire est un art

13 mai 2024 - 5 Minutes

Dernier Chapitre

Le revoir me donna l'envie de l'étrangler. 

__ que veux-tu ?


__ toi bien-sûr ma belle. Je veux t'épouser 


__ impossible


__ pourquoi ?


__ eh bah, appelle le boss.


__ je sais qu'il veut t'épouser mais moi je viens te faire une offre. Je suis candidat pour être gouverneur. Tu ne manqueras de rien bb. Tu vivras comme une reine. J'ai besoin d'une femme comme toi.


__ Léon tu ne m'intéresses pas. Dégage !


__ ne me parle plus jamais ainsi sale pute !


__ oui je suis une pute et puis quoi ? Sors d'ici sinon je vais appeler les gardes de te corriger. 


__ ça alors. J'adore ce caractère. C'est certain, je ferai de toi ma femme Dadjuana. Je reviendrai mon amour.


Ce gars me dégoute. Arrivée dans mon bureau, j'appelai Olivier et je lui racontai ce qui venait d'arriver. Il me demanda de me calmer car ce soir là, on devait exécuter le plan.

Charlotte devait installer les bombes cachés dans son sac dans quelques pièces de l'institut après avoir réunir les filles dans une seule pièce. 


Très tôt, je la fis voyager pour aller à la rencontre d'un client. Tout se passa comme d'habitude. Lorsque l'heure arriva, je fis signe à charlotte. Elle avait déjà tout préparé.

C'était la fin du travail. Les filles sortaient une à une comme si elle se rendit normalement chez elle. 


Charlotte les avait déjà expliqué de monter dans la camionnette blanche garée de l'autre côté de la rue. Toutes partirent jusqu'à ce qu'il ne resta plus que Charlotte, les gardes et moi.


 À notre tour, on sortit et les gardes rentrèrent chez eux. Nous montâmes dans ma camionnette. On attendait voir tout prendre feu. Pendant que nous attendions, un véhicule gara devant les lieux. Léon sortit du véhicule avec ses gardes.

Ils entrèrent facilement puisque nous n'avions pas fermé à clé. À peine entrés, l'institut a sauté. 


Les gens étaient apeurés. Plusieurs personnes avaient des téléphones soit pour filmer soit pour appeler les urgences. Le chauffeur démarra le véhicule.

Le filles étaient si joyeuses qu'elles ne cachèrent pas leur joie. On arriva devant un manoir. 


Le chauffeur et Olivier firent descendre rapidement les filles ainsi que nous. Derrière le manoir, se trouvait un jet privé.

Les filles montèrent à l'intérieur et Olivier rappela au pilote ce qu'il devait faire. Charlotte nous remercia en larmes ainsi que les filles. Une fois partir, je regardai Olivier et je lui dis :


__ c'est trop facile. Tu ne trouves pas ?


__ si et ça m'inquiète. Ton type là doit préparer quelques choses.


__ exactement. Léon est mort.


__ j'ai vu. As-tu ton passeport ?


__ oui.

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__ il faut qu'on y aille.


On se dirigea vers l'aéroport. Olivier conduisait en regardant son rétroviseur. 


__ bb tout va bien ?


__ non chérie. C'est trop calme et ton homme là n'a encore rien tenter.


__ restons juste sur nos gardes.

Nous parlions lorsque deux voitures se mirent à nous suivre. Je reconnus une d'elle. C'était celle dans laquelle Abe avait l'habitude de monter. 


Nous arrivâmes sur une route déserte et là, une nous doubla et vint devant nous. Nous étions coincés. On sortit du véhicule. Dans l'une des voiture, Abe avec une arme à feu. 


Il était si en colère. Il pointa l'arme sur nous et me dit :


__ je t'ai rendu ce que tu es Aujourd'hui et c'est comme ça que tu me remercies ? Je t'ai prêt à tout faire pour toi.  


__ elle ne vous appartient. Laissez-la en paix ! 


__ c'est pour lui que tu voulais me laisser ? Haha... Il n'est rien devants moi.


__ c'est ce que vous pensez.

Abe tira sur l'épaule de Olivier ce qui me fit paniquer. Olivier me demanda de ne pas s'inquiéter car tout ira bien. Abe voulut encore tirer. Je me plaçai devant Olivier et je dis à Abe :

__ tues-moi à sa place. 


__ où sont mes filles Dadjuana ? 


__ en sécurité loin de toi.


__ parle ou bien je vais en terminer avec lui.


__ tu me tueras d'abord.

Il braqua l'arme sur moi et voulut tirer. Dès véhicules de police arrivèrent de part et d'autres et même des hélicoptères. 

Abe était impuissant. Je pouvais voir de la haine dans ses yeux. Il fut arrêter. Un homme en costume vint vers nous et regarda la blessure se Olivier. Il lui informa que ce n'était pas profonde.

 
__ à moins un il nous tuait.


__ ce qui n'a pas été le cas. 


Cet homme est le père adoptif de Olivier. En étant au Canada, Olivier à travailler pour lui. Il était son chauffeur. Il a apprécié son travail et il a décidé de l'adopter après avoir appris son histoire. Il est un général. 

Olivier lui a expliqué le plan. Son père adoptif nous suivait puisque les deux savaient que Abe devait tenter quelque chose. Je bondis dans les bras de Olivier. Voilà comment tout se termina.

Je suis quittée d'une vendeuse de piment, un épicé à une vendeuse de piment comme on le dit en Afrique qui est la prostitution.

Dans la vie, il ne faut jamais perdre espoir car Dieu a un plan pour tous. Il faut juste avoir la foi. Je n'ai plus jamais entendu parlé de Angèle, charlotte est fiancé en France où elle vit et moi je suis en lune de miel avec Olivier. 

J'attends un bébé. Cette nouvelle le rendit tellement heureux. J'aurai voulu que ma tante soit là ainsi que ma'a Francine. Concernant ma mère, mon beau-père avait fait des recherches. 

Elle m'avait délibérément abandonné parce qu'elle voulait vivre une vie de lux avec un homme. Ce dernier lui avait donné la condition de m'abandonner pour se marier avec elle. 

Elle vint à mon mariage lorsque mon beau-père lui a parlé de moi après l'avoir retrouvé. Je l'ai prise comme une inconnue. Je ne veux rien à voir à faire avec elle. Je remercie le seigneur de m'avoir remis mon Olivier.


Fin

  1. Écrire 

Nous devons accepter une décision limitée, mais ne perdre jamais perdre un espoir 

Martin lutter king Jr
Vengeance
Famille
Prostitution
Espoir
Évasion