MARIAGE FORCÉ 29

MARIAGE FORCÉ 

ÉPISODE 29

Il s'est redressé de sa chaise tellement il était étonné, ça se voyait que Serge l'était encore plus

_ Serge : C'est quoi cette histoire Mégane

_ Mégane : Je ne veux plus me répété je suis déjà assez mal à l'aise comme ça de vous dire une chose pareille donc...et si on faisait plutôt ces examens ?

_ Serge : C'est pas croyable ça donc toi et Edgard, c'était du bluff tout ce temps ?

_ Mégane : On en reparlera à la maison s'il te plaît

Sur ces mots il s'est tu Monsieur Christian n'a rien dit il a passé un coup de file et après quelques minutes un infirmier est venu m'appeler et on m'a fait passer des examens et quelques temps après je suis retournée dans son bureau avec le médecin en question

_ Monsieur les résultats seront disponibles ce soir

_ M Christian : D'accord, vous pouvez rentré

_ Serge : Non nous allons attendre les résultats

_ M Christian : C'est pas la peine rentrée chez vous

_ Serge : S'il vous plaît monsieur est-ce que vous pouvez me donner l'autorisation d'aller voir votre fille ? Je vous en supplie

_ M Christian : …..

_ Mégane : Je vous en pris Monsieur ne lui en voulez pas c'est pas de ça faute si mon mari est un égoïste, un imbéciles où je ne sais quoi d'autre ( j'ai essuyé une larme ) je m'en veux déjà assez comme ça s'il vous plaît si je n'avais pas accepter toute cette mascarade c'est que tout ceci n'allait pas arriver pardonner moi oui parce que c'est moi qui suis en tord dans cette histoire

_ M Christian : Tu as déjà fait preuve d'assez de courage comme ça, te victimiser ne servira à rien

Je n'ai rien dit ce sont les larme qui faisait maintenant le travail j'essayais de me retenir mais c'était plus fort que moi,il a  pris son téléphone et a lancé l'appelle

_ M Christian : Oui allô, dit à Erica que son fiancé est en chemin

Serge était tellement content il voulait aller prendre monsieur Christian dans ses mains il s'est retenu alors il s'est penché vers moi et m'a remercié

_ Serge : Merci beaucoup Mégane tout ça c'est grâce à toi

_ Mégane : J'ai juste réparé l'erreur que j'ai commis 

_ M Christian : Tu n'a commis aucune erreur, c'est à ton mari la faute et tu as endosser son erreur cela prouve a qu'elles point tu es une bonne femme et a quelle point il a de la chance de t'avoir, tout homme mérite une femme comme toi a ses côté

_ Mégane : Merci beaucoup monsieur

_ M Christian : Je t'en prie, et sache une chose s'il a fait c'est pas par égoïsme c'est juste qu'il était jaloux, je suis sûre que lui même ne sait pas qu'il est amoureux de toi parfois nous les hommes nous pouvons être des idiot je t'assure

Nous l'avons encore remercier et nous sommes partis, j'ai insisté pour l'accompagner et en cours de route je lui ai raconté toute l'histoire entre Edgard et moi 

_ Serge : Wahou, vous m'avez vraiment eu je n'ai rien vu venir je ne me suis suis douter de rien 

_ Mégane : Parce que nous étions des bon acteurs

_ Serge : Ou ça peut aussi être que vous vous êtes tombé dans votre propre piège, Mégane tu auras beau dire ce que tu veux ça se voit que tu aime mon frère, quand tu lui donnait à manger, quand tu lui demandais comment il a passé la journée, quand tu lui souriait toute était vrai même quand tu faisais tes petites crise de jalousie et tu ne peux pas me dire le contraire

_ Mégane : Peu importe ça n'a plus aucune importance

_ Serge : C'est ce que tu crois, et je suis également sûre que Edgard t'aime si non il ne se serait jamais comporté de la sorte crois moi

Nous sommes arrivé et sommes descendus du taxi

_ Mégane : Donc maintenant tu prends sa défense ?

Le gardien nous as laissé entrer et quand il a voulu me répondre Erica s'est jetter dans ses bras, elle était à la cour et l'attendait impatiemment

_ Érica : C'est vrai qu' au début j'ai douté mais après réflexion j'ai su que tu ne pouvais pas me faire un truc pareil je suis tellement désolée mon….

Elle n'a pas eu le temps de parler qu'il s'était déjà accaparé de ses lèvre, j'étais là à les regarder comme une sorte de téléspectatrice; j'ai ressenti comme quelque chose en moi je ne saurais comment l'expliquer je ne sais pas si c'était de la joie ou de la tristesse, mes larmes ont commencé à couler sa se voyait qu'il s'était manqué mutuellement ma place n'était pas la ba alors j'ai préféré rentrer

Je suis arrivé à la maison et il se faisait un peu tard c'est maman Lucienne qui m'a accueilli

_ Maman Lucienne : Je commençais déjà à me faire du souci, ou étais tu pendant tout ce temps ? 

_ Mégane : J'étais avec Serge, nous sommes….

Je lui ai raconté tout ce qui s'est passé

_ Maman Lucienne : Donc entre toi et Edgard il n'y a jamais rien eu?

J'ai secoué la tête pour dire non, j'avais tellement honte 

_ Mégane : Je suis désolée de vous avoir menti pendant tout ce temps

Je ne savais pas que monsieur Martin écoutait tout il venait de rentrer

_ Mégane : Je croyais que en le faisant il pouvait finir par m'aimer je suis tellement désolée pardonne moi maman je te jure que j'ai fait tout ce que j'ai pu

_ M Ndiffo : Tu n'a pas à t'excuser ma fille arrête de pleurer

Il m'a pris dans ces bras, puis nous sommes assis

_ Maman Lucienne : Et c'est maintenant quoi la suite ? Tu pourrais aller dans une de nos entreprises pour les vacances, qu'est-ce que tu en penses ?

_ Mégane : Je ne sais pas, je n'ai pas envie de le voir pour le moment, je voulais aussi aller voir les parents ils me manquent beaucoup

_ M Ndiffo : D'accord tout ce que tu veux, si ça peut d'aider à te sentir bien alors tant mieux

_ Maman Lucienne : Tu comptes aller quand ? Et faire combien de temps ?

_ Mégane : Je compte aller demain, et je pourrais faire deux ou trois semaines je ne sais pas encore, l'idée d'aller en entreprise me plaît bien donc plus vite j'irai, plus vite je rentrerai

Ils ont acceptés et je suis monté dans ma chambre, il me fallait encore d'autre de mes affaires je n'étais pas sortir avec Beaucoup de chose, je vais aller les chercher demain à l'heure que Edgard sera en entreprise je quitterai de laba pour l'agence de voyage une seule fois

Edgard

Hier je suis allée chez ben pour voir Mégane et il m'a dit qu'elle est retourné chez mes parents

_  Edgard : Comment ça ?

_ Ben : Je suis rentrée du travail lundi et Sarah m'a dit que ta mère lui a demandé d'aller resté chez elle ce qui est normal il se pourrait que c'est ton père qui a demandé cela à ta mère

_ Edgard : Ah oui je vois, sûrement il a appelé ma mère après notre conversation, pfff je ne suis qu'un con

_ Ben : Heureux que tu le saches

_ Edgard : Je regrette vraiment ce qui s'est passé si seulement je pouvais remonter dans le temps

_ Ben : Choses impossible, et surtout ne la dérange pas maintenant elle vient de finir de composer laisse lui le temps de se reposer

_ Edgard : D'accord frère et merci d'être toujours là pour moi 

_ Ben : C'est à ça que sert la famille

_ Edgard : Sarah n'est pas là ?

_ Ben : Non elle est allé rendre visite à une cousine qui est malade si elle était là c'est que tu n'es plus ici maintenant façon elle a ton mal là humm

_ Edgard : Haha… j'imagine d'abord qu'elle ne m'apprécie pas beaucoup

_ Ben : Voilà

J'ai suivi son conseil et je suis rentré chez moi, comme tous les jours ouvrables je suis en chemin pour le bureau quand je m'apprête à entrer en entreprise je me rends compte que j'ai oublié certain documents à la maison, sans perdre de temps je retourne dans ma voiture les embouteillages alors ne veulent pas me laisser je pouvais bien les laisser à la maison mais je voulais en finir avec ça aujourd'hui, enfin de suis arrivé

Quand le gardien m'a ouvert la porte, j'ai vu une voiture garé dans mon parking c'était celui de mes parents je suis descendu de ma voiture, je voulais aller lui demander qui était la mais j'ai préféré allé voir de moi même, a peine je suis entré que son parfum m'a effleuré le nez je pouvais le reconnaître parmi Mill autre c'était Mégane

Je suis monté à grand pas pour la chambre et je l'ai surprise avec une grande valise à la main qui s'apprêtait déjà à sortir, quand elle m'a vu elle a baissé son visage et s'est incliné pour que je puisse passer au fur et à mesure que je m'approchai d'elle elle reculait jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus fait un pas en arrière car elle était bloqué par le mure; je me suis avancer et elle a voulu passer mais j'ai été plus rapide qu'elle et je l'ai bloqué contre le mure 

_ Mégane : S'il te plaît laisse moi passé

_ Edgard : Je suis désolée pour tout ce que j'ai fait si tu pouvais savoir a qu'elles point j'ai honte, je m'en veux tellement je suis allée te chercher hier chez ben croyant que tu étais encore Laba mais il m'a fait comprendre que tu étais chez les parents, si seulement tu pouvais savoir a qu'elle point je suis content de te revoir

_ Mégane : C'est tout tu as fini ? Maintenant laisse moi passé alors

Elle l'a dit en me poussant c'est clair qu'elle n'était pas assez forte alors j'ai arrêté ses deux mains et je les ai bloqué contre le mure, elle voulait parler mais c'est rendu compte que nos visages étaient tellement proche au point que nos nez se touchaient, je pouvais sentir sa respiration et écouté les battements de son cœur ; nous sommes restés comme ça pendant un moment ont étaient comme deux aimants qu'on arrivaient pas à séparer, puis mes yeux se sont dirigé vers ses lèvres j'avais tellement envie de les goûtées, elles avaient l'air ci délicieuse alors j'ai d'abord commencer par donné un baissé, ensuite deux, ensuite trois je pouvais sentir son cœur s'accélérer un peu un peu et elle n'avait pas l'air de ne pas aimer alors je me suis acapparer de ses lèvres comme si ma vie en dépendait s'en est suivi d'un long baisé langoureux et doux j'ai ressenti des frissons tout au long de mon corps c'était tellement énorme je n'avais jamais ressenti une telle sensation de toute ma vie et je n'ai pas tardé à bander

J'avais fini par lâcher ses main et tout en l'embrassant mes main caressait son magnifique corps elle était si douce au toucher, j'étais capable de lécher son corps tout entier tellement c'était doux elle avait porté un matelot avec un t-shirt ce qui me donnait accès à ses magnifiques jambe j'ai commencé par les carrés tendrement tout en montant et elle aimait je pouvais la sentir se trémousser contre moi ensuite j'ai saisi ses petite fesses et elle a émis un petit gémissements ce qui m'a encore plus existé ça se voyait qu'elle me désirait autant que moi; a un moment je n'en pouvais plus de nos baisées j'en voulais plus alors je l'ai porté et je l'ai coucher sur le lit choses que je n'aurai pas dû faire

Quand j'ai voulu reprendre où on s'était arrêté elle m'a poussé

_ Edgard : Mais….

_ Mégane : Tu n'es qu'un sale profiteur tu voulais abuser de moi c'est ça?

_ Edgard : Abusé de toi? Ne raconte pas n'importe quoi voyons je ne te ferais jamais une chose pareille

_ Mégane : Tout ça c'est de ma faute je n'aurai jamais du te laisser m'approcher car tu n'es qu'un idiot, un salot de la pire espèce

Elle voulait reprendre sa valise mais je l'ai retenu,  je ne comprenais rien j'étais dans tous mes état, puis elle s'est mise a crié

_ Mégane : Lâche moi, ne me touche pas, n'ose plus jamais mettre la main sur moi compris ?

Ah les femmes ! Qui pouvait bien les comprendre ? Seigneur viens moi en aide vraiment ; comment est-ce qu'un être humain peut être si changeant? ça ne fait pas encore deux minutes qu'elle gémissait dans mes bras et la voilà qu'elle me traite de violeur, qu'est-ce qui n'a pas marché ?

À SUIVRE….